Que ce soit clair tout de suite : j'ai une installation datant de 2002 qui n'est pas "drain back" (donc une installtion sous pression, avec du glycol).
Il me semble utile d'intégrer dans votre raisonnement quelques "anomalies" genre panne de courant ; mon capteur en sortie de panneaux a enregistré des températures maxi impressionnantes (je ne me souviens plus, mais de l'ordre de grandeur de 200 ° C un jour de blocage - il a résisté).
Il y a effectivement la question de la "relance" du circuit en raison des prélèvements. Le calcul fait par quelqu'un plus haut ne tient pas car les ballons sont stratifiés. Exemple : le ballon est à 70 ° C. Le circuit, si j'ai bien compris, se vide car il n'y a plus de besoins... Supposons qu'il soit 15 h en plein été. Le soleil est "pêtant"... 2 personnes prennent une douche. Drôle d'idée à cette heure là, mais bon, ils s'en passent des choses dans une vie... Ils viennent de terminer un jogging, non, mais, vous pensiez à quoi ! L'eau froide remplit le ballon par le bas. La sonde (qui est en partie basse) note que la température a chuté à 20 ° (même s'il reste 275 l d'eau chaude à 70 ° au-dessus) et relance la recharge... Les panneaux sont à... je ne sais pas 250 ° C (ils n'étaient pas refroidis)...
Dans mon système, il y a une sécurité. Le boitier ne relance pas le circulateur si l'écart entre la sonde du ballon et celle du capteur est supérieur à 50 ° C. Je suppose pour éviter les "chocs thermiques" trop violents. Mais les panneaux chauffent bel et bien. Je n'ai jamais rien fait, ni couvert, ni rien. Cela dure depuis 2002. Je ne sais pas si cela va durer longtemps encore !
Je ne peux pas imaginer que les concepteurs n'aient pas prévu ça. Mais les autoc-consctructeurs, pensez-y !
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