Je reviens sur cette étude. En relisant l'étude complète, j'y trouve de quoi rebondir à nouveau sur un point qui est repris par Raphaël Bobeda (son dernier point) et Eric Amman (en fin d'étude).
L'étude base ses calculs sur une moyenne sur une saison de chauffe. Or, on constate que l'irradiation journalière (p6) est sensiblement variable pendant cette période, et est exactement inverse au besoin (DJU). Ainsi, en faisant les calculs sur des moyennes mensuelles, voire hebdomadaire, les bilans seraient sans aucun doute très contrastés (d'autant qu'en mi-saison, il y a fort à parier que les apports solaires ne soient pas nécessaire, étant donné que le besoin de chauffage peut être nul dans ce cas ; on comptabilise ainsi un gain sur la moyenne dont on ne profite pas en terme de réduction du besoin de chauffage).
On notera aussi l'avertissement sur la page du l'article :
ATTENTION ce guide va prochainement faire l'objet d'une mise à jour afin de tenir compte de l'évolution des caractéristiques techniques des produits disponibles et des méthodes de calcul du coefficient solaire par les fabricants. Les résultats pourraient être sensiblement différents, en faveur du triple vitrage.
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