Et stp fais un effort pour écrire sans une faute tous les deux mots , amicalement (oui j'en fais aussi tkt pas )
-----
Et stp fais un effort pour écrire sans une faute tous les deux mots , amicalement (oui j'en fais aussi tkt pas )
Re : Choix du bois de chauffage
Je connais bien j'ai grandi avec ce mode de chauffage.
Moi, aussi avec le poêle ronflant les soirs de tempête et un petit point de ciel visible à travers le lambris depuis mon lit.
Sauf qu'aujourd'hui après 12h sans chauffage, il fait encore plus de 19°C au même endroit, la solution est ailleurs que la grosse bûche..
Oui avec vos maisons rt2012 la villa de mes parents à 25 ans avec l'iso d'origine, donc la grosse buche était la solution
Il y a 25 ans et encore aujourd'hui, la solution pour passer la nuit avec un poêle dans une maison qui refroidie vite, c'est le charbon,
et le charbon en boulet, ce n'est pas le combustible brut humide des centrales thermiques honnies mais bien utiles, mais entre avoir froid en polluant et chaud en polluant, faut choisir.
Dans les villages gaulois, ils ne sont jamais tous d'accord. Jules César
mais va le faire comprendre a certaine personne âgé ou d'autre plus jeuneIl y a 25 ans et encore aujourd'hui, la solution pour passer la nuit avec un poêle dans une maison qui refroidie vite, c'est le charbon,
et le charbon en boulet, ce n'est pas le combustible brut humide des centrales thermiques honnies mais bien utiles, mais entre avoir froid en polluant et chaud en polluant, faut choisir.
bonsoir ,et moi j'ai grandis avec ça et j'ai chauffée comme sa pendant 15 ans avec avant d'avoir le chauffage centrale bois/ fuel
les bicoques actuelles (ou les anciennes que l'on retape) n ont plus grand chose a voir avec ce qu'ont connu nos aïeux.
sans vouloir jouer les causettes à mon tour, j'ai également vécu mes plus jeunes années (m 'enfin j'étais tout petit...après j'ai profité d'une construction neuve tout élec fin des seventies), cette maison qui existe encore est toujours dans son jus... pas de sanitaires, deux grandes chambres (qui ont logées jusqu'à dix personnes simultanément). Jusqu en 85 la seule source de chaleur en hiver se résumait à une cheminée et une cuisinière charbon en fonte (pour le chauffage des chambres... c'était des braises du foyer dans un seau). En revanche fin du fin de la mi XXeme, un réservoir fonte à l arrière du foyer fournissait l'eau chaude au robinet (mais fallait faire du feu pour en avoir...). Bref, avant de posséder mon propre poele dans ma cambuse qui n a plus rien à voir avec les vieilles bâtisses, je ne connaissais du feu que celui pratiqué "à l'ancienne".
paquets de sarments, journaux et grosses buches.
Surtout pas de feux vifs (feux d'enfer!), pour ne pas tout bruler d'un coup (cuire au début puis plus rien après), ou bien risquer de cramer les chaussons de bottes en train de sécher près du feu ou bien la toile cirée de la table. De toute façon, même si tu brulais fort et qu'il faisait vraiment froid dehors, ben t avais chaud qu'auprès du feu... passé 3 ou 4 mètres du foyer, c'était frisquet...
Et puis, pas question non plus de se retrouver avec de l'eau fumante au robinet de l'évier (sous peine non seulement de se bruler ...mais surtout de se faire enguirlander par grand mère...).
Tout ce HS pour constater qu'un feu d'avant dans une cheminée n' a pas grand chose à voir avec un feu de maintenant dans un foyer haut rendement. Il m a fallu lire (bouquins, forums), discuter et pratiquer (surprises, réussites, échecs) pour comprendre
Dernière modification par AD 44 ; 06/01/2017 à 22h40.
mon secret? ... Ne rien dire.
La fendeuse c'est l'ancien modèle sur pieds vendu par Castorama. Un copain ayant décidé de faire des briques de terre comprimées de façon un peu plus productive que la simple utilisation de la presse à main (sinon sa maison ne sera jamais construite) en a acheté plusieurs d'occasion afin de récupérer le moteur et la partie hydraulique. Quand on les a démonté, on a constaté que bien les marques soient différentes, elles étaient toutes basées sur le même modèle et qu'elles sortaient toutes de la même usine. Il n'y avait guère que des détails de finition (à titre principal, le piètement).
Pour le thermomètre, j'ai pris ce que j'ai trouvé. Clairement, pour ce que c'est le prix (près de 20 €) est bien trop élevé. M'enfin, ça fonctionne et il m'a fait économiser bien plus que son prix en bois. C'est celui-ci http://images.google.fr/imgres?imgur...h=768&biw=1440
C'est ce qu'à tendance à faire ma femme de peur de ne pas contrôler la combustion. Invariablement ça se termine par une combustion qui s'étouffe, un poêle et une vitre toute noire.
Ça m'arrive aussi quand je brûle du 50 ou du 40 cm. La combustion sur les côtés est moins bonne qu'au centre, là où l'air arrive.
Les bougies sont très probablement en paraffine. Il s'agit de tout le stock de bougies de la famille qui m'a été refilé après le décès des anciens (réflexe de la guerre) et après que ces dames se soient penchées sur la pollution engendrée par la combustion des bougies parfumées dans la maison (on a une étudiante en chimie dans la famille). Le stock épuisé, ma femme veut que j'utilise de la cire d'abeille. Il paraît qu'on utilisait ça autrefois pour les bougies et que ça vaut la paraffine, l'aspect pollution en moins. Bon, pourquoi pas.
Bonjour,
Pour la fendeuse je n'ai qu'un modèle manuel, basique donc j'imagine.
Question sur les chenets : le jeu consiste a laisser le plus d'air possible passer via la grille qui se trouve au fond du poêle, c'est bien ca ?
(J'imagine 2 morceaux posés de part et d'autre de la grille et parallèles, et sur lesquels repose un 2d juste au dessus)
Du coup que l'on pose le bois en haut et en bas de la grille ou à droite et à gauche ca a une incidence ?
Pour le thermomètre j'en trouve à 5€ +/- mais je me demande si c'est vraiment utile, on voit bien quand le feu s'éteint , non ?
Et si l'on respecte les kgs de bois prescrits par la doc du poêle alors j'imagine que l'on sait vite a peu prés quelle quantité max mettre. Vous allez jusqu'a choisir une température fixe pour remettre du bois ??
Bonjour,
Je profite de cette discussion pour glisser une interrogation :
Nous avons acheté cet été une maison avec chauffage poêle à bois, et nous "tâtonnons" donc un peu pour ce premier hiver : après une première livraison de bois en Octobre, dont nous étions plutôt satisfaits, nous avons testé un nouveau fournisseur récemment. Le "nouveau" bois s'allume très bien, plutôt mieux que l'ancien, et produit très peu de cendre, on en a été très (agréablement) surpris. Toutefois les bûches ont malheureusement tendance à s'arrêter de brûler, il faut toujours être là à remuer, aérer, remettre du bois frais pour relancer la combustion... donc plutôt prenant, et surtout décevant car lorsque nous partions plusieurs heure avec l'"ancien" bois nous avions le plaisir en rentrant de trouver encore quelques braises bien rouges au fond qui permettaient de rallumer très vite un nouveau feu. Avec celui ci impossible, quand on rentre tout est éteint et froid, avec une grosse bûche noire au milieu...
Je crois que c'est dû notamment au fait que les bûches en combustion ne se "défont" pas, rien ne tombe au fond alors qu'avant nous avions rapidement un beau lit de braises rougeoyantes qui se formait sous les bûches en combustion.
Mais puisque le bois s'enflamme très facilement j'en déduit pourtant qu'il est bien sec ?
Bref je m'interroge, et même si l'on se dit qu'on ne reprendra sans doute pas de bois chez eux il nous reste tout de même 5 stères à utiliser...
Qui a des idées pour expliquer ce phénomène ?
Qui a des idées pour que notre feu tienne mieux ?
Merci par avance !
Ah oui et dernière précision il "pète" beaucoup, je ne sais pas si ça peut aider au diagnostic
bonsoir sais tu quel le bois? photos?
il est bien sûr à l'abri?
quelle section et taille des bûches? refend à 8-10 cm de section pour voir
bonsoir ,il y a le hêtre et le peuplier qui pète beaucoup et moi aussi
Alors après vérification il s'agit de chêne et de hêtre, ce qui peut expliquer les manifestations sonores...
Il vient d'être livré, et est en effet à l'abris chez nous (même mieux stocké que la première fournée où nous avions été pris de court avec les travaux de la maison et où il était resté en vrac au sol sous une bâche...) : celui ci est bien rangé, sur une palette, et couvert d'une bâche mais pas jusqu'en bas afin que l'air circule.
Longueur 45cm, section très variable et ce sont en effet surtout les grosses bûches qui posent problème, celles ci peuvent faire jusque 20cm de diamètre. Nous allons sans doute recouper du coup, mais je m'interroge toujours sur le pourquoi nous n'avons pas eu ces soucis avec l'ancien bois dont certaines bûches étaient également très grosses et au contraire très utiles puisque c'est elles que nous mettions avant de nous absenter.
le bois avait bien sécher a coté de celui la
Bonjour,
Auriez vous une explication sur ce Point ?
J’ai acheté du hêtre appelé foyard ici il y a 4 ans il est bien sec, il a changé de couleur, il a blanchi et d’année en année sa combustion provoque de moins en moins de chaleur ? Cette année c’est même la catastrophe ! Du foyard plus récent avec le même séchage pas de soucis !
Est ce le même cas pour d’autres espèces d’arbre ?
Merci
déjà pour info:
https://www.plantes-et-nature.fr/332...un-fayard.html
le hêtre est un des bois les plus performant en terme de calories
après parfois le bois a des "troubles":ainsi la texture peut devenir "spongieuse" et là oui ça chauffe moins
mais cela veut dire qu'à la base le bois était "malade"
car avec un hêtre sain 4-5 ans ne changera rein à la chauffe
Stocké comment ?
Le seul truc qui limite la production de chaleur, c'est les champignons et les xylophages, car moins de matière à brûler.
Un truc qui limite la production de chaleur utile, c'est l'humidité réelle du bois, la chaleur produite servant à sécher le bois.
Sous une bâche étanche, c'est plus humide que dehors, sauf sous la pluie.
Dans les villages gaulois, ils ne sont jamais tous d'accord. Jules César
aurais tu quelques photos de ces bûches pour être sûr qu'on parle bien du hêtre?
Bonjour Kibu,
Pour moi, pour le Hêtre (foyard localement), c'est 6 mois de séchage à air libre sous abri voir 1an 1/2. Le bois perd vite de ses qualités contrairement au chêne qui peut être stocké + longtemps. Le + pratique est de le fendre en quartiers raisonnable suivant le foyer de combustion. Le bon indicateur de séchage, prêt à l'emploi, est la présence de fente de dessication sur la tranche avec décollement de l'écorce sur les bords. le hêtre sèche assez vite surtout maintenant avec les conditions climatiques.
Le problème du hêtre est qu'il faut le sortir de la forêt relativement rapidement pour lui éviter de passer par des périodes de séchage, ré-humidification- séchage très néfastes pour son pouvoir calorique. Pour nous, en plaine , le bois coupé en décembre serait idéalement à sortir de la forêt avant la feuillaison complète du printemps (pas toujours possible si printemps pluvieux repoussant les opérations de débardage).
Dans ton cas, si c'est pour le poêle de masse, je le casserais en 4/6cm maxi de préférence. si tu n'as pas le temps au printemps, tu le stockes à l'abri en quartier moyen et tu le refends ensuite en petits quartiers.
J'en casse régulièrement l'hiver des morceaux de 50cm de long avec simplement une petite hachette sur laquelle je frappe avec un gros marteau sur la tete = le bois sec s'éclate en 2 avec un plaisir pour moi sans beaucoup d'effort sans me servir de merlin à fendre à ce stade de séchage.
Le bois, c'est un plaisir personnel mais cela nécessite quelques contraintes de façonnage, de stockage, de mise en oeuvre pour avoir le meilleur rendement calorique sans trop polluer.
Ne jamais stocker du bois sous bâche étanche, du moins pas dans nos contrées humides, c'est le meilleur moyen de conserver l'humidité dans le tas de stockage et de détériorer les bois tel le hêtre, charme et autres bois blancs.
Le bois se sèche à l'air libre avec une couverture uniquement mais débordante si possible (plastique, toles, membrane butimineuse,...) ou sous appentis. Le bois séchera d'autant plus vite s'il est recoupé en petites longueurs.
Un stockage de bois mélangé peut se présenter en triant si on le peut : du chêne au sol en long sur lequel on pose transversalement les rondins (ventilation basse) et du chêne en haut sous la "couverture de toit" qui absorbera mieux les variations d'humidité sous la protection. Ce type de stockage évite bien des pourritures ou dégradations qualitatives de certains rondins.
Le foyard chez moi ,couper hors sève et dégrader en juillet et bâcher et bruler 2 ans après
Bonjour Kibu74,
à part toutes les remarques justifiées qui ont été faites, il y en a une que je te propose qui vient de mon grand père qui choisissait ses arbres dans la forêt.
ton problème peut être accentué par le lieu où ont poussés les arbres: si le terrain est trop humide, l'arbre aura poussé plus vite mais le bois (pour chauffer) sera de moins bonne qualité.
Cdlt,
Bonsoir,
Merci pour toutes vos réponses,
Le bois est correctement stocké sans bâche sous un avant toit, séché par la bise.... je suis persuadé que ce n’est pas un problème de séchage car il est entreposé au même endroit et chaque année il y a de moins en moins de chaleur ! La 1ere année c’était top puis ça a baissé progressivement en corrélation avec la décoloration du bois du marron au blanc ...
en normandie j’utilisais que du chêne et je n’ai jamais constaté ce phénomène.
Lap41 Le bois vient du jura bois certifiè hêtre ou foyard,
demain j’essaierai de vous faire une photo d’une buche. Chez un collègue suisse qui ne se chauffe qu’au bois et qui coupe lui même son bois que du hetre on voit bien ses piles de bois au bout de 3 ans elles blanchissent lié a une dégradation du pouvoir calorifique ?....
Sur un forum ils disaient que c’était lié à la dégazéification du bois du au vieillissement du bois vous y croyez ? C’est vrai que la majorité de l’énergie du bois vient de son gaz et très peu de la matière sèche
Merci
Kibu
Faut donc leur faire expliquer l'incendie de vieux chênes mondialement regardé le 15 avril 2019.Sur un forum ils disaient que c’était lié à la dégazéification du bois du au vieillissement du bois vous y croyez ? C’est vrai que la majorité de l’énergie du bois vient de son gaz et très peu de la matière sèche
Les bois exposés au UV réagissent, les possesseurs de bardage s'en plaignent.
Ce qui joue le plus, c'est l'humidité, un "bois sec" se met en équilibre hydrique avec l'air ambiant, une bûche de 3.4kg venant d'un abri extérieur a mis 14 jours pour être en équilibre dans mon salon à 50% et 21°C.
Pour ici je pense que le souci est là, quand le bois est brûlé après une période sèche ça va, mais c'est le deuxième hiver doux et humide que l'on vit.
Dans les villages gaulois, ils ne sont jamais tous d'accord. Jules César