bonjour à tous
ça gaz sur ce fil et les mauvaises langues disaient qu'il était mort
souvent les deux se complètent , mais ne te trompes pas, je suis un pragmatique avant tout, et je m'assure toujours de comprendre ce que je fais. J'ai appris à reconnaitre et à faire confiance aux gens d'expérience et je n'ai jamais eu de problème à remettre en question mes acquis. C'est ainsi que j'ai appris seul mon métier, persévérance et goût du détail on fait le reste.
pour moi il est clair que la combustion a principalement lieu dans la BaF, il s'agit ici de bruler les quelques molécules de CO qui ont échappé au brasier (0.1% du volume pour le graph). J'étais sur que ça allait te faire réagir cette dichotomie trop tranchée AP/AS et j'ai sans doute parlé trop vite de flamme, puisqu'il s'agit plus de produits de combustions. je ne parle donc pas du gros de la combustion, mais des miettes.
maintenant si tu me dis qu'il n'y a aucune chance de dépasser 700° après l'encorbellement, il n'y a du coup aucune chance de bruler ces restes oubliés non plus, dans ce cas la chambre haute ne mérite pas le nom de post-combustion, l'enroulement de fumée n'à aucun intérêt, autant la faire plus petite, surtout avec un four blanc.
là ce serait dire que Stevnove ou Kutznenov, qui sont sans doute des hommes d'expérience, font fausse route? es tu certain qu'on a aucune chance de dépasser 700°C la haut ?
si c'est le cas, je vais surement m'orienter vers une chambre de post combustion ouverte sur le foyer comme sur les hiemstra
et puisqu'on est dans le pragmatisme, comment fait tu pour gérer tes 6 TC? tu branches et tu débranches? t'as un bornier et un sélecteur?
mais nooon, c'est juste qu'on approche des sujets intéressantsJ’ai peu être fait un peu long aussi
cordialement
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