D'un puma, oui, mais pas d'un léopard. L'empreinte dans ton lien parle de léopard. Et quand bien même, 100 km²...impossible de faire une carte des diverses attaques, faire des recoupements et deviner des territoires?Envoyé par kaolin
Evident...dès le début, on nous dit qu'ils ne sont pas fertiles entre eux et qu'ils ont de graves problèmes de comportement (ce qui ne les empêche pas d'être hyper-furtifs, apparemment)...Envoyé par kaolin
Et cela dénoterait une stupéfiante fréquence de croisements dans nos campagnes, vu les tableaux de wikipédia; ça ne doit pas courir les rues.
Reste la possibilité d'une petite population d'une même espèce, ayant réussi à s'acclimater à un tel point qu'elle vit et se reproduit, fait ses territoires depuis des années.
Je sais, Sanderson évoquait déjà ce phénomène (sur la base de son seul témoignage d'ailleurs) en Afrique en 1948.Envoyé par kaolin
Mais l'anecdote ne fait pas une règle, et cela n'a jamais empêché les naturalistes pionniers de débusquer ces animaux avec moins de technologie, ni empêché Rossif et Vienne de tourner des documentaires y compris au fin fond de l'Amazonie inondée.
Les Highlands ou le Pas-de-Calais sont-ils plus impénétrables?
Je ne crois pas qu'à notre époque, il faille des chasseurs de fauves façon 19ème pour les trouver, sinon, nombre d'éthologues et zoologistes actuels auraient eu une certaine peine à exercer leurs talents. Nul besoin d'invoquer les masaï ou des amérindiens...il doit bien exister, par chez nous, des naturalistes de terrain étant déjà sortis d'Europe pour étudier in situ des fauves. Pierre-Jean Corson n'est quand même pas seul...Envoyé par kaolin
Au final, je ne pense pas que ce fil permette une identification crédible des félins impliqués, même si l'on peut échafauder des hypothèses.
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