Bonjour. Mon érable a beaucoup souffert des sècheresse de l'an dernier et de l'année d'avant. Est ce que je dois couper les branches dégarnies ou pas?
Merci pour tout conseil que vous pourrez me prodiguer
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Bonjour. Mon érable a beaucoup souffert des sècheresse de l'an dernier et de l'année d'avant. Est ce que je dois couper les branches dégarnies ou pas?
Merci pour tout conseil que vous pourrez me prodiguer
Bonjour,
Pour ma part je les ais coupé au printemps et mon érable se porte bien.
@+
Ne pas supprimer une branche tant qu'elle est vivante.
L'électronique c'est comme le violon. Soit on joue juste, soit on joue tzigane . . .
Je ne coupe qu'après le printemps suivant, quand la pluviométrie est redevenu plus ou moins normale après l'été.
Dans les villages gaulois, ils ne sont jamais tous d'accord. Jules César
Salut,
Avant de les couper et avant qu'elles ne deviennent trop grosses, essayes d'établir ton arbre en pliant les branches de façon à ce qu' il forme un panier, c'est pas facile, il faut les attacher, les caller, les tirer et tout ça sans casser ni blesser les branches
Si un jour tu en coupes une, n'oublie pas de traiter la plaie avec un mastic ( L'homme Lefort ) sinon ça pourri et ça creuse le tronc de l'intérieur
Il parait près de la clôture ! non ?
Dernière modification par Positron1 ; 03/08/2025 à 16h30.
Le savoir des uns peut faire le bonheur des autres
Mastiquer une plaie de taille n'apporte rien et peut être nuisible.
Et j'en ai marre d'expliquer pourquoi à chaque fois![]()
L'électronique c'est comme le violon. Soit on joue juste, soit on joue tzigane . . .
Re,
Dommage !! où puis je trouver l'explication ?Et j'en ai marre d'expliquer pourquoi à chaque fois
Le savoir des uns peut faire le bonheur des autres
Ka commence il y a déjà fort longtemps avec M de la Qintinie, jardinier du roi, qui fustigeait les charlatans à ce propos.
Et lui avait testé et établi des compte rendu de ses observations.
Plus près de nous les universités de Bordeaux, Clermont-Ferrand, Montpelliers (et sans doutes d'autres) ont publié des travaux à ce sujet. Pas toutes à ce sujet, mais toutes ont publiés des résultats de recherche concernant l'arbre.
Pour résumer :
- les pathogènes sont déjà présents dans l'arbre sain qui les empêche de percer les parois cellulaires
- une coupe active des défenses suffisantes chez l'arbre sain
- le mastique va favoriser l'apparition d'un biotope favorable aux pathogènes (chaleur humide) alors que c'est vraiment le moment
L'électronique c'est comme le violon. Soit on joue juste, soit on joue tzigane . . .
C'est un arbre d'ornement, donc tu fais ce que tu veux pour ton ornement.
Un érable supporte trés bien une taille rigoureuse. La famille érable est trés trés vaste.
J'en connais trés bien un qui a une taille ( hauteur ) approchante du tiens ( pour les principales charpentières ) et qui prends une taille sévère 1 an sur 2. Il est systématiquement rabattu aux charpentières existantes.
Il faut tenir compte de l'espact pratique. Couper à 3 mètres du sol sur une échelle, ce n'est pas couper à 5 mètres par exemple.
En 2 ans avant rabbatage, l'arbre crée véritablement quelques quelques petites de pousses ( 3 mètres en 2 ans ) et pas juste 20 ou 40 pousses. Il es plein sud mais agé, et il a les pieds dans l'eau ( la nappe phréatique est à peine en dessous de 2 mètres du sol en plein été ). C'est un érable plane.
Un érable, tous les cultivars, ça aime la flotte.
Pour les palmatums japonais, un ombrage partiel sera nettement préférable.
Tu as peut être un érable campestre, en photo de loin c'est difficile.
![]()
Salut,
Et j'en ai marre d'expliquer pourquoi à chaque fois*
Merci d'avoir enfreint ton état d'esprit*!
Mastiquer une plaie de taille n'apporte rien et peut être nuisible
Ah bon*!
Mon père était arboriculteur, et lorsqu'il taillait ses arbres , qu'il devait couper des branches assez grosses, il ne manquait pas de le soigner par masticage, il y tenait à ses arbres, c'était son gagne pain*!
Je joins des photos
La première, c'est un Érable, dont le propriétaire précédant a taillé et n'a pas soigné, voilà ce que c'est devenu*! Un trou énorme que je nettoie chaque année, sans succès, je vais faire comme ce qui a été fait aux platanes de la commune qui ont les mêmes blessures, couler du ciment*!
La deuxième photo, est une plaie suite à une coupe que j'ai faite et que j'ai soigné, pour faciliter la cicatrisation, cet hiver je vais affranchir la coupe pour pas que l'écorce n'ait à franchie cette bosse
La troisième photo, est une plaie immense qui va de la tête au pieds, due à la brûlure de l'écorce par le soleil, si je ne l'avais pas soigné, le tronc aurait pourri et l'arbre crevé, ce sera dur, mais j'espère bien le sauver
Je n'ai pas la prétention de donner des leçons, je ne vais pas contredire les universités, loin de moi cette idée, mais c'est du vécu*!
Erable2_ 20250804_100414.jpg
Branche traitée 1_20250804_100430.jpg
Le savoir des uns peut faire le bonheur des autres
Re,
Ne pourrait on pas réduire la taille !! (grandeur !!) de l'image Merci
Dernière modification par Positron1 ; 05/08/2025 à 14h47.
Le savoir des uns peut faire le bonheur des autres
Mon dernier message ici
Le nettoyage aussi peut être nuisible -> les champignons de se développent pas dans l'eau
Pour le béton, j'ai jamais compris d'où venait cette histoire. Cela est aussi parfois nuisible et jamais bénéfique.
La première photo représente un gros massacre, la deuxième un petit. Quand on massacre il ne faut pas s'attendre à ce que le sujet se porte bien![]()
L'électronique c'est comme le violon. Soit on joue juste, soit on joue tzigane . . .
Re,
Alors, a ton avis, que puis je faire pour l'érable de la première photo ?Quand on massacre il ne faut pas s'attendre à ce que le sujet se porte bien
Le savoir des uns peut faire le bonheur des autres
Le mal est fait, c'est irréversible. Plus rien à faire pour l'arbre, ce qui ne l'empêchera pas de vivre pendant un certain temps.
L'électronique c'est comme le violon. Soit on joue juste, soit on joue tzigane . . .
Re,
Et bien, je vais tout de même lui faire un curetage, enlever toute la partie pourrie, couler un ciment de façon à ce que l'eau ne rentre plus dans le tronc, traiter la blessure comme j'ai l'habitude et même couvrir pour que tout reste au secLe mal est fait, c'est irréversible. Plus rien à faire pour l'arbre
Je te tiens au jus dans quelques années !!
Le savoir des uns peut faire le bonheur des autres
Ben oui, tu fais comme tu veux.
En ne faisant rien ce sera un pauvre arbre martyrisé (!), avec du béton dedans ce sera une grosse mocheté.
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Salut,
Tu fais bien de le dire !! je le peindrais en marron !!!avec du béton dedans ce sera une grosse mocheté.![]()
Le savoir des uns peut faire le bonheur des autres
Y'a quand même une sorte de dichotomie dans ce truc. D'abitude c'est les arbres qu'on au milieu du béton . . .
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boucher le trou avec du béton.... pour entretenir l'humidité et faire proliférer la pourriture au contact du béton.....
pour le dit 'mastic' proposé.... si c'est simplement un bidule collant et gras pour faire joli.... encore NON
mais si ça contient des composés antiseptiques (antifongiques en particulier) là ça présente un intérêt certain.....
remarque pour les radins, et si ça n'a pas encore été interdit, car c'est cancérigène (si on se badigeonne la peau avec tous les jours....) il y a le très bête goudron de Norvège (naturel car c'est bêtement du pin ou sapin (je ne sais plus) chauffé et cuit en atmosphère inerte....
Si c'est même bien pourri dans le tronc, on peut mélanger avec le dit goudron de Norvège, d'autres trucs aux propriétés fongicides,
dans certains cas, un truc agréé en agriculture biologique (quoique pas bon du tout à manger...) ça peut être les ions Cu++, sulfate de Cu ou autres.....
ou/et d'autres, pas homologués pour cet usage....alors je ne préciserai pas.....
Une fois la pourriture définitivement neutralisée, et un surplus de désinfectant toujours en place, alors peut-être boucher le trou avec du béton peut-être???
Dernière modification par Bounoume ; 06/08/2025 à 23h18.
rien ne sert de penser, il faut réfléchir avant.... (Pierre Dac...)
Le souci, c'est qu'on ne peut pas résumer.
Il faut voir arbre par arbre ( enfin la variété ).
Ensuite, il y a les mastics, et aussi les badigeons plus liquide aprés taille. Et avec quelles matières fongicides dedans ( ou pas ).
Et puis il y a le type d'infection dont on veut se préserver, et puis la qualité de la taille.
Si si on peut
On parle évidemment d'un arbre sain (qui en a l'air . . .) et d'un travail de taille correctement effectué.
Résumé : le mastic ne sert à rien et est parfois nuisible.
Pour se (les) préserver d'une infection en particulier on sort la grosse cavalerie (exemple des platanes infectés par chaiplucoi) :
- choisir pour l'intervention une météo favorable
- désinfection des outils de taille
- personnel en tenue à usage unique
- déchets de coupe sous bâche puis évacuation et incinération
- après intervention, site et outils (ne pas oublier les camions !) désinfectés, tenues à usage unique confinées et incinérées
Faut voir la tête des élus pendant la lecture du devis . . .
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Je crois comprendre ce que tu veux dire, je crois que tu comprends ce que veux dire.
En usage "amateur" les contraintes sont autres.
Je zappe la désinfection, quand on ne taille pas en intensif pendant 3 mois d'affilé la donne est différente.
Pour une plantation parasitée suspectée, pour de la taille de verger par centaines / milliers de pieds successifs avec les même outil, c'est un cadre ou les gens ici ne viendront pas chercher les réponses, ils n'ont pas besoin de FS et d'autres sources plus pointues.
Une taille propre, encore une fois à considérer selon les espèces, c'est déjà un travail que tout le monde ne fait pas en amateur. Un moignon constitue une base possible d'infection, par exemple. Une coupe rase ( parfois même concave, la cicatrisation est trés rapide et l'écorce nouvelle recouvre vite la plaie de taille ( exemple type d'une branche basse ou moyenne coupée à raz du tronc ). Un moignon qui dépasse, il y a des pleurs qui ne durent pas longtemps et le moignon est vite "mort" puisque sans circulation de sève, et constitue une plaie ouverte durable ( et un nid à saloperies ).
Dans un exemple cité plus haut en photo, il y a une coupe, et il y a un écorçage long sur le tronc, et un trou en haut.. Certaines espères le supportent "bien" avec un bois durable, dans d'autres espèces c'est un bois qui sera continuellement rongé par un tas de xylophages destructeurs, et la vie de l'arbre sera plus limitée. Dans le cas présent, le trou en haut est un souci majeur.
Ceci étant, les érables sont trés permissifs à la taille, même forte et même récurrente, pour se recentrer le message initial.
Pour les vergers et les fruitiers ( cas évoqué aussi plus haut ), ce sont presque tout le temps des arbres fragiles. Des badigeons au pinceau ou des "mastic" ont peu être efficace autrefois, contenant de la "vieille" chimie efficace, souvent interdite depuis. Dans les alternatifs, il y a de l'inutile et des trucs qui marchent "un peu", mais la prophylaxie reste le meilleur allié.
La coupe rase est exigée par le grumier (qui aide bien lorsqu'il y a du gros à évacuer) pour ne pas gondoler le plateau du camion.
Pour l'arbre, on coupe le bois de branche sans toucher au bois de tronc (c'est lui qui va former le tissus cicatriciel qui va recouvrir la coupe). Ce n'est pas vraiment une coupe rase.
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Si tu veux être précis, coupe rase s'entend raz de l'écorce, sans aller la grignoter évidemment.
En bonsai ( mais pas 100 % des espèces non plus ) on utilise abondement la pince concave. Certes, ça limite à la coupe de branches de 3 ou 4 cm de diamètre ( c'est une pince coupante et pas une tronçonneuse hein ) mais l'esprit reste le même. Le contexte, c'est que la coupe disparaisse à terme, avec une écorce qui recouvre la plaie et qq années plus tard, on ne voir plus grande chose. Et qq plus tard encore, l'ancienne cicatrice disparait et se fond totalement dans l'écorce "mature".
La photo ci dessous est pour illustration.
La taille absolue du tronc n'a pas d'importance, ce qui compte c'est la taille relative de la branche coupée versus le diamètre du tronc ( et la qté de tire sève au dessus - voir plus bas ( * ) ).
Ici le tronc en bas photo doit faire 6 ou 7 centimètres, et la moitié en haut.
On voit la pince d'ailleurs, pince concave.
Les branches enlevées étaient plus ou moins grosses en pourcentage de diamètre du tronc à l'endroit de la coupe, les coupes sont plus ou moins récentes ( ou plus moins vieilles ). Les ronds rouges matérialisent les branches éliminées.
On peut voir facilement qu'avec des coupes "rases", l'écorce recouvrent le plaie ( et ici c'est que "rasé" puisque la pince concave enlève un petit creux de matière au coeur de la coupe pour faciliter le recouvrement par la nouvelle écorce ). Si un moignon dépasse, il restera un moignon ad vitam eternam. Certaines espèces supportent celà des décennies ou des siècles vis à vis des infections parasitaires, d'autres en meurent.
Le 1er rond rouge en haut, la plaie est refermée ( sans doute en 2 ou 3 ans ).
En dessous pour la plupart c'est en bonne voie, même durée.
La trés grosse coupe juste au dessus de la tête de la pince, l'avant dernier rond rouge de haut en bas, c'est la coupe d'un tire sève sacrifice qui faisait la même taille que le tronc restant au dessus, et 80% du diamètre en dessous de la coupe. Il faut un peu plus de temps, forcément, mais ça se referme aussi..........
Le 4eme rond rouge en partant du haut, il suffit d'un an de plus pour tout refermer. C'est plus facile, la branche coupée devait faire 30% du diamètre du tronc. Mais encore une fois, cette "fermeture de plaie" se fait par cette coupe plus que rasée puisque concave.
( * )
Une coupe sur un tronc avec du "tire sève" au dessus, c'est le cas facile avec une écorce en pleine activité, ça va refermer.
Une coupe terminale c'est pâs la même chose du tout.
Coupe rase ? Histoire de mots qui ont un sens . . .
C'est ce que tu appelles un bonzaï ?![]()
L'électronique c'est comme le violon. Soit on joue juste, soit on joue tzigane . . .
hm... il n'y a de branche qui ne puisse être coupé alors qu'elle est vivante... mais au bon moment, et de la bonne façon
sinon, l'érable, selon sa force, parceque c'est un arbre généralement fort (gite de plus d'un mètre voir plus) à la repousse
peux demander une taille plutôt en début d'automne, car il vas avoir tendance à "pleure/perte de sève" au printemps (érable à sucre (sacharinum)) mais aussi argenté... le tient semble-être un jeune sycomore... donc pareil, plutôt début d'automne, que le bois d'hivers ait le temps de cicatriser la plaie et de préparer de nouveau bourgeon pour le printemps
libera me : ungoogled chromium, e.foundation (anti-droid)
Je répondais à ça :A situer dans le contexte d'un arbre "qui semble dépérissant".Est ce que je dois couper les branches dégarnies ou pas ?
Une branche en train de mourrir ou de s'affaiblir pour cause de pathogènes (dont la présence a été favorisée par un affaiblissement des défences dû à la sécheresse) fait circuler des hormones dont l'arbre profite.
Résumé : moins vous le tripotez et mieux il se porte![]()
Dernière modification par antek ; 07/08/2025 à 15h38.
L'électronique c'est comme le violon. Soit on joue juste, soit on joue tzigane . . .
Avec un Z je ne sais pas de quoi tu parles.
Avec un S, n'hésites pas à monter ou expliquer ta maitrise du sujet.
Tu te réfugies dans des mots sans les décrire, jusque là je crois avoir nettement plus explicatif. Et la coupe rase et le concave, en expliquant bien plus que tu n'as daigné le faire.
Tu as en photo un bout de tronc qui date de 3 ans, c'est un projet de forme literati en cours de construction ( sujet qui ne t'évoque sans doute rien et tu n'a pas vu ce qu'il y a en bas et plus haut, le crop de la photo postée était elle dans le sujet de la taille ).
Tu as sans doute une grande maitrise du marché public pour l'entretien des végétaux. Dans le genre du prestataire le plus cher et le plus qualitatif. Mais bon, on parle de marché public de mairie, le sommet qualitatif c'est le haut de la montagne de la stupidité selon DK, on est loin de l'état de l'art.
En végétal ornemental, je crois me situer au creux de la vallée de l'humilité. J''en sais plus que toi, je proclame pas grand chose, mais ce que je peux conclure c'est que c'est trés compliqué et qu'il faut rester prudent avec les conclusions trop faciles / évidentes.
Tu as parlé de conclusions d'universités, et tu n'as pas rebondi sur mon rebond. Il existe pléthore d'étude de chaque fac ou organisme sérieux sur le sujet, et les conclusions sérieuses ne portent QUE sur une espèce à considérer ET un produit de mastique / badigeon précis ( en matière active du moins ).
Oxycro a eu le mérite se recentrer sur le sujet initial ( même si Mariepour n'est pas repassée depuis qq jours et fort possiblement ne repassera pas ) avec un message fort et important: l'étable est une arbre "fort" point de vue taille, et une période adaptée sera un critère primordial. Je suis trés adepte de la taille automne, mais ça suppose un hiver "relativement doux et tardif" que tout le monde n'a pas. Dans le cas inverse, l'automne sera pas mal.
L'avant dernière phrase du message 27 de antek laisse encore plus à penser qu'il n'a pas compris grand chose.
Un arbre à dominance apicale et pas basale ( cas majoritaire chez nous pour les espèces communes ) engendrera facilement des branches mortes en partie basse, d'autant plus que l'exposition solaire ne leur convient pas. La nature n'est pas toujours bien faite ( non et non, pas toujours ), une branche morte en partie basse sur certaines espèces peut être un facteur d'augmentation du risque champignons et parasites.
Si Antek ne faisait pas de vision trop généraliste, et s'il ne mettait de Z à la place de S, il aurait un peu moins de non connaissance pour connaitre les essences plus ou moins sensibles la taille, au retrait de sève, et à la cicatrisation. Dans le monde avec le S, il y a ce qu'on appelle les Jin et les shari donc les bois morts.
En traitant le bois mort ( des sortes de "xylophène" bien avant l'heure ou ça existait, certaines espèces sont pérennes sur plus d'un siècles, d'autres rejoindront le bac compostable en 10 ans ou même mois même en y mettant les meilleurs soins du monde. Certaines espèces exposées à la kokufu ten sont documentées en photo depuis un siècle en photo pour des arbres de 250 ans et plus ( pas de photos avant le siècle , forcément ). Pour d'autres espèces, le pragmatisme de X siècles ( et X fois 4 ou 5 en nombre de générations successives ) a bien compris que ça marchait pas........
C'est grotesque.
Une branche presque morte ( je ne parle pas de l'arbre déjà dirigé vers le ad patres ) ne fait plus rien circuler.
Il n'y a rien de bénéfique ou pas bénéfique, il ne faut pas chercher un déterminisme ultime quand il n'en y a pas, encore moins en usage ornemental.
Si on coupe une branche intermédiaire ( c'est juste un exemple ) qui serait une branche trés forte est dotée de beaucoup de bourgeons, alors en la coupant on va lever la dormance des bourgeons latents de la branche juste en dessous, qui était inhibée par rétro action de la branche forte juste au dessus.
Ach, ça devient trop technique pour moi, je ne sais pas (et pas envie de) faire dans le persiflage.
L'électronique c'est comme le violon. Soit on joue juste, soit on joue tzigane . . .