https://revue-sesame-inrae.fr/cause-...sujet-sensible
Projeter nos visions déjà anthropomorphiques du règne animal (dont la conscience, la sensibilité, l'intelligence, la dignité, des droits humains, etc) sur tous les végétaux: est-ce sérieux?
Et avec quelques réflexions sur des motivations inattendues....
rien ne sert de penser, il faut réfléchir avant.... (Pierre Dac...)
Texte intéressant, merci Bounoume!
"mal nommer un objet, c'est ajouter au malheur de ce monde". Albert Camus
Bonjour,
Il y a plusieurs écoles, celle défendue par Florence Burgat est axée sur des idées bien arrêtées mais qui font débats (droit des personnes non humaines).
en complément de ce qui est proposé ici:
https://www.quae.com/produit/1640/97...ce-des-plantes
https://www.quae.com/produit/1520/97...ce-des-animaux
L'idée de présence ou d'absence de néocortex est centrale pour Florence Burgat pour promouvoir le véganisme: les plantes ne lui disent pas merci
Sans questions il n'y a que des problèmes sans réponses.
Si les psychologues veulent étudier la raison de cette sacralisation du concept d'être vivant, à savoir pourquoi elle se développe dans le cerveau d'un humain, c'est de la science.
Si le but est de trouver une logique morale à cette sacralisation, ce n'est plus de la science donc HS.
Bjr à tous, Sans aller dans le domaine "végétal", que dire de ceux qui ne veulent plus "voir" de viande (ou autre) n'ont
aucun remord à chasser (tuer)....les moustiques. et autres bébétes !!(Ah oui , ils sont...insignifiants !!.... donc ... peu d'importance)
Se torturer l'esprit ??
Bonne cogitation
Dernière modification par f6bes ; 23/06/2023 à 15h35.
l'extension de l'humanisme en dehors de H.sapiens est déjà du grand n'importe quoi, dans l'idée même.
- le droit étant un concept politique impliquant des devoirs, et surtout la responsabilité pénale & civile
- déjà que nos mineurs ne sont pas apte totalement à cette responsabilité civile & pénale, bien qu'ils soient sapiens,)
- delà vouloir l'étendre au-delà de ceux qui manifeste clairement ces facultés... est juste une démonstration que ces droits ne peuvent pas être étendu "d'emblé" à toute les têtes de linottes pourtant dotée d'un télé-encéphale et d'un pouce préhenseur..
- question faut-il le les leur supprimer en phase de ces preuves manifestes d'incompréhension des droits que la sociétés leur garanti "apriori" mais qu'il ne semble pas vraiment entraver
- au-delà de l'humanité donc l'extension de droit est simplement un non-sens "tactique"
- et la bonne question, comprennent-il ce qu'ils ont entre les mains, et doivent-il être mis "en minorité" civile (pas pénale toutefois) le temps qu'ils comprennent ce que droit , justice, civilité puisse vraiment vouloir dire
- ensuite que les propriétaires de terre, foret, champs, animaux divers, voit leur devoir et obligation être augmenté au bénéfice de leur possédé... pourquoi pas... mais espérer, qu'une bryophyte vas aller ester au tribunal de grande instance... toute seule, comme une grande...
pour le reste " un vivant est un vivant, ça se protège simplement parceque ça se mange" ... (dictons végétarien & carnophyle)
libera me : ungoogled chromium, e.foundation (anti-droid)
Ce qui est "n'importe quoi" est quand on porte une idée irrationnelle ET à contre courant de la société. C'est le cas de ceux qui veulent sacraliser tous les êtres vivants de façon inconditionnelle.l'extension de l'humanisme en dehors de H.sapiens est déjà du grand n'importe quoi
Le simple fait d'être irrationnel n'est pas du tout "n'importe quoi" car l'humain standard a un besoin vital de çà. On ne rigole pas avec les besoins vitaux de l'humain standard.
Juger et classer en "grand n'importe quoi" est un peu rapide, la lecture attentive de ce qui a été donné sur ce fil est assez ardue pour arriver au stade du débat d'idées.
La complexité réside dans les définitions des concepts, le langage par exemple peut s'envisager en tant qu'action induisant une réaction.
Dans la prise de position sur qu'est-ce qu'il faut ou non manger, je regrette que l'on ne définit pas le fait de se nourrir comme une appropriation de l'environnement qui induit la perte de l'espace vital d'un être vivant au détriment d'un autre: manger le corps d'un autre être vivant consiste à lui ôter son espace vital. Une plante qui pousse à un endroit empêche d'autres de pousser au même endroit.. Il y a matière à réflexion mais celle-ci est actuellement baissée par des enjeux dont le cadre n'est pas l'objet scientifique du sujet.
Sans questions il n'y a que des problèmes sans réponses.
Effectivement, la plupart des vies trouvent l' énergie nécessaire à leur entretien en consommant la matière provenant de la destruction d'autres vies .et de l'appropriation de leur support...... en tout cas dans le règne animal...
mais cette extension à un domaine externe au sujet, c'est simplement le mécanisme très 'naturel'Envoyé par oxycryo
on ne scie pas la branche sur laquelle on est assis..... ni ne détruit ce qui nous nourrit.....
ça, c'est simplement notre intérêt.... bien compris.....mais encore faut-il être capable de comprendre......
Dernière modification par Bounoume ; 23/06/2023 à 19h29.
rien ne sert de penser, il faut réfléchir avant.... (Pierre Dac...)
Question de définition si tu prends celle ci :" manger le corps d'un autre être vivant consiste à lui ôter son espace vital" tu étends la chose à l'espace et au temps donc à la graine et au végétal.. Cela paraît capillotracté mais la plante en place empêche souvent la vie d'une plante en devenir qu'est la graine.
Le petit bouquin ouvre sur ce genre de réflexions en expliquant quelles sont les visions formatées et simplistes que nous avons sur les plantes (téléchargement gratuit en pdf sous réserve de créer un compte: le compte n'est pas à confirmer par mail) .
Sans questions il n'y a que des problèmes sans réponses.
Remoi, En résumé :A chacun de vivre sa vie comme il le désire...sans vouloir l'imposer à son voisin!
Bonne journée
Je me contenterai de dire qu'il n'est pas scientifique de dire que l'animal à des droits supérieurs aux végétaux en raison de sa nature biologique. En prenant soin de donner pour seul cadre au mot "droit", le fait de limiter l'action humaine sur les écosystèmes à ses strictes besoins vitaux.
Sans questions il n'y a que des problèmes sans réponses.
Remoi, Voir ce que font (encore de nos jours) les peuplades indigénes vivant en autarcie (ex: amazonie et autres)
Ne prélévent QUE le nécessaire en respectant la nature ( sous toutes ses formes)
Bon WE
