Salut,
lorsque l'on essaie de définir la primitive complexe de 1/z on se rend compte qu'il y'a forcément un problème.
Notamment, on remarque que si on veut définir une primitive de 1/z, on est obligé de faire une coupure dans le plan complexe (usuellement on prend R-).
On a donc une infinité de singularité pour cette fonction log, qui de plus sont non isolées. (une demi droite)
Or notre fonction de départ n'avais qu'une seule singularité (et donc isolée) qui était un pôle simple(le pôle 0).
Je pense que si on a un pôle w d'ordre n fini pour une fonction f, alors f est équivalente en w, à 1/(z-w)^n à une constante multiplicative non nulle près (ie: lim(f*(z-w)^n) est fini et non nul lorsque z tend vers w)
Ceci se voit facilement avec le développement en série de Laurent de f.
Je ne sais pas de quelle manière rigoureuse cela marche, mais je suis convaincu, que celà implique qu'une primitive de f ne peut pas alors avoir un pôle d'ordre supérieur à n-1 (peut etre en intégrant terme à terme?)
En d'autres termes, j'ai l'impression que si on a une fonction f développable en série de Laurent, alors ses primitives auront une singularité non isolée w, si et seulement si le terme 1/z apparait dans le développement en série de Laurent de f.
Est ce vrai?
y'a t'il des exemples simplement calculable, autres que celui du log et de 1/z?
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