Bon, si on prend l'hypothèse 2 du message #8 de Michel (mmy), avec parité sur n :
alors l'expérimentation sur tableur montre que :2) il faut comprendre a/2 comme la division euclidienne (et alors U0 peut être impair)
- si U0<2a, la suite finit par alterner entre 2a–1 et a–1 (les couples {U2n,U2n+1} "croissent" vers {2a–1,a–1})
- si U0>=2a, la suite finit par alterner entre 2a et a (les couples {U2n,U2n+1} "décroissent" vers {2a,a})
Mais ceci est toujours vrai sans condition de parité sur a.
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