résoudre l'équation E ((z+1)/(z-1))^n=e^(inθ) avec θ ∈ ]0,2π/n[
merci d'avance pour vos réponses!
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résoudre l'équation E ((z+1)/(z-1))^n=e^(inθ) avec θ ∈ ]0,2π/n[
merci d'avance pour vos réponses!
A la louche (vérifier les détails et notamment la restriction sur theta) : (z+1)/(z-1)= i theta+ k (2pi/n), d'où z=(i theta+ k (2pi/n)+1)/(i theta+ k (2pi/n)-1)
C'est quoi "E" ? Le nom de l'équation, ou une fonction E (exp ?) que l'on évalue en (z+1)/(z–1), évaluation élevée ensuite à la puissance n ?
Bref :
ou :
voire :
Je devine que la première égalité est la bonne, d'où la solution proposée...
J'ai lu trop vite : je devine que c'est la deuxième égalité qu'il faut retenir.
L'auteur de l'énoncé devrait préciser ses notations...
Moi, j'imaginais effectivement la première, qui, correctement écrite avec la ponctuation, aussi nécessaire en mathématiques qu'en français (car avant tout, les mathématiques sont du langage) :
La seconde (équivalente à la troisième, en fait, si E est l'exponentielle) donne :Résoudre l'équation (E) : ((z+1)/(z–1))n = einθ, avec θ ∈ ]0,2π/n[
Résoudre l'équation : expn((z+1)/(z–1)) = einθ, avec θ ∈ ]0,2π/n[
Résoudre l'équation (E) : ((z+1)/(z–1))n = e^inθ, avec θ ∈ ]0,2π/n[
Escusez-moi il s'agit bien de celle-ci!(E) s'agit bien du nom de l'équation!
svp?une petite aide??
Que sais-tu dire de la relation entre deux nombres complexes a et b si on sait que an=bn ?
Il n'y a aucun souci avec inθ.
Je réitère mon indication à leptiflo en lui suggérant de ne pas utiliser l'aide de poinserré, car elle a les capacités à trouver sans cette aide, à partir de mon indication.
Bon allez, je donne :
(on suppose a et b non nuls)
si , alors a/b est une racine nième de l'unité.
Ici, et
Où est le problème ?
Normalement cette équation admet n racines complexes , donc je vais le faire avec ....
l'équation demandée est alors :
Alors tu pose et tu as :
et et
qui admet n racines complexes de la forme :
avec
ensuite il te reste à exprimer z en fonction de Z pour avoir l'ensembles des solutions de l'équation initiale .....
Sinon , la méthode inspirait par breukin (mais dans tous les cas il te restera à isoler z en fonction de a ....) :
(on suppose a et b non nuls)
on pose pose et
ici ( car), tu as donc :
, donc est une racine n-ième de l'unité , donc :
, avec , soit :
Cordialement
désolé de répondre maintenant!!!Merci à vous en tout cas!!!
une coquille dans la dernière ligne !
cdt
On peut faire plus synthétique, tout en étant parfaitement justifié, en écrivant simplement :
donc :
avec k de 0 à n–1
donc si :
et sinon z n'est pas défini.
Donc en général n solutions, mais n–1 solutions si
quelques précisions comme même dans le cas ou , ce n'est pas aussi simple, mais enfin peut être que je me trompe ?
si alors , donc les solutions sont de la forme :
, avec .
on a , si :
<=> <=> <=> <=>
Donc :
* si n est pair , l'équation avec , possède n solutions , avec .
* si n est impair , l'équation avec , possède n-1 solutions , avec .
Cordialement
Oui, vous vous trompez, la parité de n n'intervient pas.
Si n'est pas une racine nième de l'unité, alors les n solutions données par la formule que j'ai fournie sont toutes définies.
Si est une racine nième de l'unité, donc de la forme pour un p donné de 1 à n, alors les n solutions données par la formule que j'ai fournie sont toutes définies sauf une seule, celle où k vaut n-p.