Bonjour,
j'aimerai avoir des précisions sur la construction de ces intégrales.
L'intégrale de reimann consiste en gros a subdiviser l'espace et on calcul la valeur de l'intégrale en sommant la valeur de f prise par n'importe quel point de cette subdivision multiplier par la "largeur " de cette subdivision.
Plus la subdivision sera "petite" plus on approchera de la valeur réel de l'intégrale (surface sous la courbe).
Concernant Darboux, on fait le méme travail a l’exception que l'on ne prend pas n'importe qu'elle valeur de f dans la subdivision mais soit le sup soit le min (selon la définition).
Jusque la est ce que c'est juste ?
Maintenant je voudrais montrais que dans la limite ou N tend vers l'infini (cad que la "largeur " des subdivisions tend vers 0) ces deux intégrale sont égale si f est continue.
Auriez vous un cheminement a me proposer, ou au moins une piste parce que je patauge depuis quelque temps a donner une démo correct.
Merci.
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