Trouver toutes les fonctions (réels) telles que
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Trouver toutes les fonctions (réels) telles que
Bonjour,
Cliquez pour afficherJe dirais que et .
If your method does not solve the problem, change the problem.
Cliquez pour afficherPour y=0, on obtient f(g(x))=(1+f(0))f(x)-f(0), donc insérant cette expression dans l'équation initiale et en posant y=x : f(x)²-x²=f(0)². On montre ensuite que nécessairement f(0)=0, donc |f(x)|=|x|, puis il ne reste plus qu'à faire une distinction des différents cas.
If your method does not solve the problem, change the problem.
pas convaincu ..
Comment montres tu que f(0)=0 ?Cliquez pour afficherPour y=0, on obtient f(g(x))=(1+f(0))f(x)-f(0), donc insérant cette expression dans l'équation initiale et en posant y=x : f(x)²-x²=f(0)². On montre ensuite que nécessairement f(0)=0, donc |f(x)|=|x|, puis il ne reste plus qu'à faire une distinction des différents cas.
Dans l'ordre :
* On prend . On obtient .
* En particulier, pour y = x = g(0), on obtient et donc .
* De là, il découle que , et en particulier que .
* On prend maintenant . On obtient . En particulier, .
Pas fait la distinction de cas qui s'ensuit naturellement. Je suppose que, si l'on n'a pas d'hypothèse supplémentaire ( et continues, par exemple), il peut se passer des choses assez méchantes.
Il me semble pouvoir confirmer le résultat de Phys2.
La méthode n'est pas très directe, et je pense que MMu va nous proposer une solution élégante et rapide.
Cliquez pour afficherPour : ; en particulier: .
On a donc : .
Si est paire, la relation fonctionnelle fournit, pour tout :
soit :
Par addition : donc serait constante, ce qui est impossible.
Donc il existe tel que , et la relation fonctionnelle fournit :
soit :
et par addition : , d'où : et, pour tout : .
La relation fonctionnelle fournit alors, pour tout :
donc est impaire.
En reprenant les cas : et , désormais valides pour tout :
et est impaire.
Mézalor, pour tout couple :
et par addition: .
On sait que, pour tout , ou , et on en déduit que le choix est indépendant de car ne peut pas être la fonction nulle.
On a donc:
– ou bien et alors : ;
– ou bien et alors : .
Bon, je me suis effectivement planté de façon grossière. pour me racheter, je propose une simplification de la preuve de God's Breath.
Cliquez pour afficherRemarque préliminaire : de façon évidente, ne peut pas être constante.
On calcule tout d'abord : *. En particulier, est impaire.
De plus, on a *. On a donc l'alternative suivante :
* ;
* est paire (ce qui est équivalent à " est paire").
Si ne vaut pas , alors est constante. C'est impossible. Donc , et est impaire. De même, la partie paire de étant nulle, la fonction est impaire, donc .
Le reste de la preuve est similaire aux dernières lignes du messages de God's Breath.
* il suffit de regarder les couples et .