Bonjour
J'aimerais avoir une certitude
Dans nos discussions, Floris et moi meme , nous sommes arrivé a ca :
Une interference en modelle ondulatoire correspond t elle a une collision en modele corpuscullaire.
Une collision n'existe elle que lors d'une interference ?
merci
Non, une collision a lieu entre deux objets, deux électrons, un électron et un proton, deux éléphants, bref deux trucs.Une interference en modelle ondulatoire correspond t elle a une collision en modele corpuscullaire.
Le phénomène d'interférence fait intervenir une onde qui peut par exemple (mais pas seulement) représenter l'amplitude de probabilité de présence d'une seule particule (un électron, un photon). ça peut être aussi tout bêtement des ondes sur l'eau ou des ondes sonore !
Bien justement en fait la question que nous nous somment posé était la suivante. Je résume: Pour qu'il y est crétion de paires électron positron, faut t'il que deux faisseau de rayonement gamas soit superposer dans une direction en oposition, l'un ver l'autre et l'autre vers l'un. Sachan de plus que les bosons peuvent se traverser, comment interpretter cette question?
D'autre part, une autre question, on sait que l'énergie des rayonement est régit par un phénomène de périodicitée. Nous savons bien qu'on emploi souvent le model corpusculaire pour expliquer ce phénomène. Mais il nous a semblé interessant de prendre en compte que l'énergie du rayonement dépend de la fréquence. Et la question qui aparait est de savoir comment un phénomène périodique peut t'il régir la création des paires.
L'idée de François était de dire, qu'en réalité la longueurs d'onde ne joue pas dans la création des paires, mais que lorsque l'on travail en dessous d'un certains seuil d'énergie, les paires se redésintégre dés lors qu'elle ont été créé. Dù à la différence de spin oposé, de l'e- et l'e+, plus l'énergie du rayonement sera importante, plus les paires posséderont une quantitée de mouvement importante (de direction oposé), ce qui contredira l'attraction entre les deux particules.
Mon idée était de penser que ces l'espace entre les crétes d'onde qui régirait l'aparition des paires. L'intensitée du rayonement, régirait non seulement la quantitée de paires créé, mais aussi leur quantité de mouvement oposé (en raison du spin oposé) qui enpaicherait une redésintegration. J'ai consiédérer que la longueurs d'onde est une propriété fondamentale dans la nature des futures particules créé. Mais j'ai abandonner cette idée pour l'idée de François aux quel j'au été très séduit.
Si quelqu'un pouvait nous donner des comantaires sa serai très sympatique.
Bien cordialement
Quand on se met à parler d'un photon isolé, il faut oublier la notion de périodicité, de crête, etc... La dualité onde-corpuscule dit certes que l'objet quantique qui décrit l'électromagnétisme a des caractéristiques qui semblent corpusculaire et d'autres qui semblent ondulatoires, mais il ne faut pas mélanger les deux non plus.
En fait, dans le cas de l'électromagnétisme, il y a une relation d'incertitude assez peu souvent citée, qui relie, pour la description d'une onde monochromatique, le nombre de photonsà l'incertitude sur la phase de l'onde
Ca implique que pour 1 photon, l'incertitude sur la phase est maximale, à tel point que la notion même de phase devient inutile, et on ne peut plus trop définir les crêtes de l'onde.
