Fractal = autosimilarité ? - Page 3
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Fractal = autosimilarité ?



  1. #61
    invite00beb24a

    Re : Fractal = autosimilarité ?


    ------

    Mario Cosentino à

    JPL

    Bonjour à tous,

    En effet quand quelqu'un entre en conflit avec les personnes et non avec son travail de recherche pour moi on sort du cadre rigoureux qu'est d'une part l'éthique et en même temps ont sort de celui de la science. Par contre nous entrons dans le domaine des discussion complètement stériles, vides qui ménent à rien!
    L'histoire des sciences a suffisamment démontré que ce type de querelles font perdre du temps contrairement aux discussions objectives où, en général, soit on à compris qu'on a pris une fausse piste soit on a avancé grâce, à un travail en commun qui à aboutie une nouvelle synthèse. Ça c'est de la science!

    Au sujet de Bernard Lempel.

    Bernard Lempel ne s'appuie que sur des observations (et uniquement des observations) et surtout jamais SUR DES SIMULATIONS PAR ORDINATEUR. Quand il propose des hypothèses, il le dit à l'avance. Quand il en rejette certaines, c'est toujours avec des arguments très bien étayés. Dans ses pages internet, il donne, quand c'est possible, les références et liens vers les documents qui lui ont servi pour travailler.
    J'ajoute que son site est très visité. Selon vous pour quelle raison?...

    Lorsque vous dites:
    "je constate seulement qu'il s'appuie sur des coïncidences numériques"

    Où sont les preuves pour dire que se sont des "coïncidences numériques"??? ...
    En science lorsque nous sommes en présence non d' une (ou même plusieurs, c'est-à dire 2) mais de nombreuses coïncidences (car non encore toutes discutées dans ce forum) le calcul des probabilités est pris en compte pour aller au-delà de "simples coïncidences". Une fois de plus l'histoire des sciences nous apprend que ceux qui ne font pas attention aux messages de la nature ne font pas non plus progresser la science car ils sont "passés à coté", ils ont "raté quelque chose". Nous savons que dans la démarche scientifique tout commence par les observations, le questionnement, les hypothèses, les modèles explicatifs et enfin les expériences. Dire tout de suite que ce que j'observe se sont des "coïncidences numériques" pour moi ce n'est pas faire toutes les étapes scientifiques, objectives citées précédemment. Ainsi quand la nature nous donne ce type d'observations ils faut y plonger nos regards et les étudier sans idées préconçues.

    La période de Jupiter est très bien connue, et nous avons une bonne approximation des cycles du Soleil et de OJ287. En physique lorsqu'on prends parfois des moyennes est-ce que nous employons le mot "corrigé"??? Et si éventuellement la réponse serait "oui" cela n'a rien de péjoratif!

    Pour ceux qui souhaitent aller directement sur les dossiers du site de Bernard Lempel voici les liens:

    "Étranges Coïncidences entre le Soleil et OJ 287:

    http://lempel.pagesperso-orange.fr/coincidences_ etranges_01.html

    "Etranges Coïncidences entre le Soleil, Jupiter et OJ 287:

    http://lempel.pagesperso-orange.fr/c...ranges_02.html

    A mariposa,

    Tu dis :
    "Rapprocher les Mots quantique et fractal me semble un exercice dangereux".
    En science il faut, souvent, prendre des risques pour essayer d'arriver à des résultats neufs!

    Tu me demandes des "précisions" :

    voici, dans ses grandes lignes, les postulats du "New Big-Bang Fractal" (il pourraient être étayées au fur et à mesure de l'avancement de la discussion):

    1.Un Big-Bang ayant la température de Planck qui aurait donné naissance à 2 Univers à parité opposée ( un Univers de matière et le second d'antimatière)

    2.Ces 2 Univers se seraient éloigné l'un de l'autre avec une distance bien calculable "calibré" par un des trous de l' "ÉPONGE DE MENGER".

    3.Des phases de refroidissement, qui par changement de phase ou régime, qui l'aurait fait passer de la température de Planck à 2,726 K.

    4.Cette dernière serait devenue une propriété intrinsèque du vide quantique et serait une constante grâce à la propriété géométrique fractale de l'espace-temps en "EPONGE DE MENGER". Il y aurait ainsi une cause à effet entre la dimension fractale CONSTANTE D = 2,726 8 et la température du vide quantique. Selon ce postulat le CMB en aurait la dimension fractale D qui est une CONSTANTE et cela ferait du CMB également une température CONSTANTE à Tuo = 2,726 K. Conséquence importante de ce postulat: notre Univers ne subirait aucune "mort thermique par une grillade" ( un retour à la fournaise du Big Bang) ni à une "mort thermique par congélation" (par une expansion accélérée de l'Univers! ).

    5.Que cet espace-temps, ou vide quantique, ne serait pas lisse ou continu mais "granuleux" semblable une sorte d' "éther". Je précise qu'actuellement il y a un retour très sérieux à ce type d' "éther" moderne ( on aura l'occasion d'en parler par des références bibliographiques).
    Une conséquence de cet "espace granuleux" serait qu'il faudrait réinterpréter le décalage z vers le rouge. Les équations du modèle du "New Big-Bang" nous présentent une nouvelle interprétation du z dans le cadre d'une la théorie moderne de la "lumière fatiguée" d' Einstein sans, évidemment, faire appel à une hypothétique expansion accélérée de l'Univers.

    6.Au cours de son expansion l'Univers possèderait des "oscillations radiales relativistes" ("ORR"), avec amplitude très faibles, qui ne seraient autres que les amplitudes des "oscillations périphériques relativistes"("OPR") . Ces 2 modes d' "oscillations" pourraient expliquer la cause des fluctuations du CMB. Au cours de la dilatation du vide quantique l' amplitude des "ORR" serait passée de la longueur de Planck à la valeur maximale qui correspondrait à la longueur d'onde de Compton de l'électron.

    7.Une fois cette amplitude maximale atteinte notre Univers aurait STOPPER son expansion! Pour quelle raison ? Une extrapolation des expériences faites à l' École Polytechnique de France me fait ajouter le postulat suivant : lorsque notre Univers serait devenue entièrement fractal il aurait STOPPER son expansion. Ce caractère fractal serait une des 2 causes principales qui l'aurait fait passer d'une phase dynamique à une phase complètement STATIQUE.
    L'autre cause, de cet ARRÊT de sa dilatation, serait dû à la "polarisation" de l'énergie du Big-Bang" par le vide quantique. Ainsi "faute de bois le feu de l'expansion s'éteindrait"!

    8.Si notre Univers serait quantique alors on peut postuler que son expansion reflèterait cette quantification ( l'équation de cette expansion quantifiée du vide quantique est actuellement en préparation. Elle va se traduire par une expansion qui s'effectuerait par sauts discrets ou quantifiés nous ramenant, une fois encore à l' "ÉPONGE DE MENGER" ) .

    9.La phase STATIQUE ou équilibre de l'Univers n'est pas possible dans un modèle d'univers où seule la gravitation est prise en compte. Par contre le postulat d'un Univers STATIQUE semble être envisageable dans un Univers qui aurait des propriétés oscillatoires et quantiques et en rotation à l'exemple des énergies misent en jeu qui équilibre l'atome d'hydrogène. Grâce à la mécanique quantique nous savons tous pourquoi l' électron ne tombe pas sur le noyau qu'est le proton.

    10.Tout comme la mécanique quantique assigne à un atome un nombre quantique principal "n" , en fonction de ses orbitales , on peut également postuler que l' "Atome Univers quantique" lui aussi aurait un nombre quantique principal " nU" différent au cours des "orbitales" obtenues au cours de son expansion.
    Ce nombre "nU" commencerait par une valeur MINIMALE "nU1" = 1 et lorsqu'il STOPPERAIT son expansion il terminerait par une valeur MAXIMALE "nUo" = 1.78 .10 ^18 .


    11.La durée de l'expansion quantifiée de l'Univers aurait durée 18 milliards d'années.

    12.Aujourd'hui notre Univers serait dans une phase STATIQUE au moins depuis quelques 60 milliards d'années! Son âge minimal serait ainsi de l'ordre de grandeur de quelques 80 à 100 milliards d'années (N.B.: même ordre de grandeur que celui de Fred Hoyle). Cet âge minimal autorise la présence des poussières, des galaxies, des amas de galaxies qui sont presque contemporaines du Big-Bang! Cet âge autorise aussi les gigantesques "murailles de galaxies" occupant dans l'Univers des proportions qui mettent dans une situation très inconfortable le modèle de concordance!
    Les problèmes liés aux observations présentés dans les articles de Serge Brunier (dans Science & Vie N°1063, avril 2006) nous montre que le modèle d'Univers accepté par la majorité "est dans une impasse". "Autant dire que quelque chose cloche... (...). En clair, avec l'amélioration des techniques d'observation, certains astronomes s'attendent à trouver des objets encore plus vieux dans l'enfance de l'Univers. Si cela se confirme, la fissure qui apparaît dans la chronologie cosmologique dictée par le big bang pourrait bien se transformer en véritable faille, voire en gouffre... . (...). Roberto Abraham, qui a découvert avec son équipe de chercheurs américains et canadiens, après un grand sondage de galaxies en 2004, que l'Univers, moins de trois milliards d'années après sa supposée naissance, était déjà peuplé aux trois quarts de galaxies vieilles, elles-mêmes constituées d'étoiles âgées de plusieurs milliards d'années, résume assez bien l'état d'esprit des cosmologiques: "Les théoriciens ne paniquent pas encore, mais ça va finir par arriver" " .

    Je me permet d'ajouter,selon ma conviction personnelle, que la panique est certainement déjà là car aujourd'hui, en fin 2011, les observations nous montrent des objets à quelques 200 MILLIONS d'années seulement après le Big-Bang!!!
    Et dans l'infrarouge les choses seront certainement décisives car il semble qu'on est de plus en plus convaincu que des objets invisibles en optiques devraient pointer leur bout du nez ...

    Cette situation justifie les postulats du "New Big-Bang" comme modèle alternatif... voir comme un modèle de synthèses des modèles cosmologiques ...

    mariposa j'espère avoir fait, en ta demande, un résumé des postulats les plus importants du "New Big-Bang Fractal".

    A fram,

    Également dans le modèle du "New Big-Bang Fractal" la constante de structure fine alpha est la pierre angulaire où dérive les paramètres qui caractérisent notre Univers. Tout semble se passer comme si les caractéristiques de notre Univers était déjà "programmé" ou "codifié" dans cette constante alpha. Par la suite notre Univers serait devenu un "GIGANTESQUE ORDINATEUR" (N.B.: je signale que ce postulat rejoint celui d'autres spécialistes!).

    Bien cordialement

    -----

  2. #62
    JPL
    Responsable des forums

    Re : Fractal = autosimilarité ?

    Citation Envoyé par Cosentino Voir le message
    Des phases de refroidissement, qui par changement de phase ou régime, qui l'aurait fait passer de la température de Planck à 2,726 K.

    4.Cette dernière serait devenue une propriété intrinsèque du vide quantique et serait une constante grâce à la propriété géométrique fractale de l'espace-temps en "EPONGE DE MENGER". Il y aurait ainsi une cause à effet entre la dimension fractale CONSTANTE D = 2,726 8 et la température du vide quantique.
    Il y a juste un problème. Si le point d'origine des Kelvins est bien naturel, ensuite l'échelle des Kelvins est arbitraire car calquée sur un espacement qui est celui des degrés Celsius. Si on avait pris une échelle avec des barreaux un peu plus écartés, ce que rien n'interdit car l'écartement des barreaux est arbitraire, le CMB ne serait pas à 2,726 K mais à une autre valeur... et du coup plus aucun rapport avec la dimension fractale de l'éponge de Menger. Donc encore une simple coïncidence.
    Dernière modification par JPL ; 06/12/2011 à 15h03.
    Rien ne sert de penser, il faut réfléchir avant - Pierre Dac

  3. #63
    stefjm

    Re : Fractal = autosimilarité ?

    J'ai déjà signalé ce point à Mario et n'ai pas eu de réponse qui me satisfait.

    Citation Envoyé par stefjm Voir le message
    Une question : Considérez-vous que le kelvin est une unité naturelle sans dimension pour associer cette grandeur physique à un nombre pur?
    Moi ignare et moi pas comprendre langage avec «hasard», «réalité» et «existe».

  4. #64
    mariposa

    Re : Fractal = autosimilarité ?

    Citation Envoyé par Cosentino Voir le message
    A mariposa,

    Tu dis :
    "Rapprocher les Mots quantique et fractal me semble un exercice dangereux".
    En science il faut, souvent, prendre des risques pour essayer d'arriver à des résultats neufs!

    Tu me demandes des "précisions" :

    voici, dans ses grandes lignes, les postulats du "New Big-Bang Fractal" (il pourraient être étayées au fur et à mesure de l'avancement de la discussion):

    1.Un Big-Bang ayant la température de Planck qui aurait donné naissance à 2 Univers à parité opposée ( un Univers de matière et le second d'antimatière)

    2.Ces 2 Univers se seraient éloigné l'un de l'autre avec une distance bien calculable "calibré" par un des trous de l' "ÉPONGE DE MENGER".

    3.Des phases de refroidissement, qui par changement de phase ou régime, qui l'aurait fait passer de la température de Planck à 2,726 K.

    4.Cette dernière serait devenue une propriété intrinsèque du vide quantique et serait une constante grâce à la propriété géométrique fractale de l'espace-temps en "EPONGE DE MENGER". Il y aurait ainsi une cause à effet entre la dimension fractale CONSTANTE D = 2,726 8 et la température du vide quantique. Selon ce postulat le CMB en aurait la dimension fractale D qui est une CONSTANTE et cela ferait du CMB également une température CONSTANTE à Tuo = 2,726 K. Conséquence importante de ce postulat: notre Univers ne subirait aucune "mort thermique par une grillade" ( un retour à la fournaise du Big Bang) ni à une "mort thermique par congélation" (par une expansion accélérée de l'Univers! ).

    5.Que cet espace-temps, ou vide quantique, ne serait pas lisse ou continu mais "granuleux" semblable une sorte d' "éther". Je précise qu'actuellement il y a un retour très sérieux à ce type d' "éther" moderne ( on aura l'occasion d'en parler par des références bibliographiques).
    Une conséquence de cet "espace granuleux" serait qu'il faudrait réinterpréter le décalage z vers le rouge. Les équations du modèle du "New Big-Bang" nous présentent une nouvelle interprétation du z dans le cadre d'une la théorie moderne de la "lumière fatiguée" d' Einstein sans, évidemment, faire appel à une hypothétique expansion accélérée de l'Univers.

    6.Au cours de son expansion l'Univers possèderait des "oscillations radiales relativistes" ("ORR"), avec amplitude très faibles, qui ne seraient autres que les amplitudes des "oscillations périphériques relativistes"("OPR") . Ces 2 modes d' "oscillations" pourraient expliquer la cause des fluctuations du CMB. Au cours de la dilatation du vide quantique l' amplitude des "ORR" serait passée de la longueur de Planck à la valeur maximale qui correspondrait à la longueur d'onde de Compton de l'électron.

    7.Une fois cette amplitude maximale atteinte notre Univers aurait STOPPER son expansion! Pour quelle raison ? Une extrapolation des expériences faites à l' École Polytechnique de France me fait ajouter le postulat suivant : lorsque notre Univers serait devenue entièrement fractal il aurait STOPPER son expansion. Ce caractère fractal serait une des 2 causes principales qui l'aurait fait passer d'une phase dynamique à une phase complètement STATIQUE.
    L'autre cause, de cet ARRÊT de sa dilatation, serait dû à la "polarisation" de l'énergie du Big-Bang" par le vide quantique. Ainsi "faute de bois le feu de l'expansion s'éteindrait"!

    8.Si notre Univers serait quantique alors on peut postuler que son expansion reflèterait cette quantification ( l'équation de cette expansion quantifiée du vide quantique est actuellement en préparation. Elle va se traduire par une expansion qui s'effectuerait par sauts discrets ou quantifiés nous ramenant, une fois encore à l' "ÉPONGE DE MENGER" ) .

    9.La phase STATIQUE ou équilibre de l'Univers n'est pas possible dans un modèle d'univers où seule la gravitation est prise en compte. Par contre le postulat d'un Univers STATIQUE semble être envisageable dans un Univers qui aurait des propriétés oscillatoires et quantiques et en rotation à l'exemple des énergies misent en jeu qui équilibre l'atome d'hydrogène. Grâce à la mécanique quantique nous savons tous pourquoi l' électron ne tombe pas sur le noyau qu'est le proton.

    10.Tout comme la mécanique quantique assigne à un atome un nombre quantique principal "n" , en fonction de ses orbitales , on peut également postuler que l' "Atome Univers quantique" lui aussi aurait un nombre quantique principal " nU" différent au cours des "orbitales" obtenues au cours de son expansion.
    Ce nombre "nU" commencerait par une valeur MINIMALE "nU1" = 1 et lorsqu'il STOPPERAIT son expansion il terminerait par une valeur MAXIMALE "nUo" = 1.78 .10 ^18 .


    11.La durée de l'expansion quantifiée de l'Univers aurait durée 18 milliards d'années.

    12.Aujourd'hui notre Univers serait dans une phase STATIQUE au moins depuis quelques 60 milliards d'années! Son âge minimal serait ainsi de l'ordre de grandeur de quelques 80 à 100 milliards d'années (N.B.: même ordre de grandeur que celui de Fred Hoyle). Cet âge minimal autorise la présence des poussières, des galaxies, des amas de galaxies qui sont presque contemporaines du Big-Bang! Cet âge autorise aussi les gigantesques "murailles de galaxies" occupant dans l'Univers des proportions qui mettent dans une situation très inconfortable le modèle de concordance!
    Les problèmes liés aux observations présentés dans les articles de Serge Brunier (dans Science & Vie N°1063, avril 2006) nous montre que le modèle d'Univers accepté par la majorité "est dans une impasse". "Autant dire que quelque chose cloche... (...). En clair, avec l'amélioration des techniques d'observation, certains astronomes s'attendent à trouver des objets encore plus vieux dans l'enfance de l'Univers. Si cela se confirme, la fissure qui apparaît dans la chronologie cosmologique dictée par le big bang pourrait bien se transformer en véritable faille, voire en gouffre... . (...). Roberto Abraham, qui a découvert avec son équipe de chercheurs américains et canadiens, après un grand sondage de galaxies en 2004, que l'Univers, moins de trois milliards d'années après sa supposée naissance, était déjà peuplé aux trois quarts de galaxies vieilles, elles-mêmes constituées d'étoiles âgées de plusieurs milliards d'années, résume assez bien l'état d'esprit des cosmologiques: "Les théoriciens ne paniquent pas encore, mais ça va finir par arriver" " .

    Je me permet d'ajouter,selon ma conviction personnelle, que la panique est certainement déjà là car aujourd'hui, en fin 2011, les observations nous montrent des objets à quelques 200 MILLIONS d'années seulement après le Big-Bang!!!
    Et dans l'infrarouge les choses seront certainement décisives car il semble qu'on est de plus en plus convaincu que des objets invisibles en optiques devraient pointer leur bout du nez ...

    Cette situation justifie les postulats du "New Big-Bang" comme modèle alternatif... voir comme un modèle de synthèses des modèles cosmologiques ...

    mariposa j'espère avoir fait, en ta demande, un résumé des postulats les plus importants du "New Big-Bang Fractal".

    Bonjour,


    C'est bien gentil à toi d'avoir répondu à ma question.

    Je reprend ton seul premier point:

    Je cite:


    1.Un Big-Bang ayant la température de Planck qui aurait donné naissance à 2 Univers à parité opposée ( un Univers de matière et le second d'antimatière)



    Tu parle de matière et d'antimatière, cad d'un concept qui est la conséquence des travaux de Dirac

    qui a "synthétisé" RR et MQ mettant évidence le concept de couple matière/anti-matiére.

    parme les nombreuses conséquences des travaux de Dirac est la prédiction du facteur gyromagnétique de l'électron avec

    10 chiffres significatifs, en plein accord avec l'expérience.


    D'où mes questions:


    1- D'où sort l'anti-matiére selon toi?


    2- Que proposes-tu de nouveau pour prédire le facteur gyromagnétique de l'électron?


    Pour ton information: A l"époque du big bang "standard" il n y a pas de matière.


    d'où ma question:


    3- Comment justifies-tu l'existence de matière à l'époque de Planck?



    Merci de répondre avec précisions à mes questions.

  5. #65
    invite00beb24a

    Re : Fractal = autosimilarité ?

    Mario Cosentino à
    mariposa

    Voici tes questions:

    1."D'où sort l'anti-matière selon-toi?"
    La matière et l'anti-matière ne pouvaient se former au moment du Big-Bang, à cause de la très haute température de Planck, mais un peu plus tard lorsque l'Univers était plus froid.
    Selon une expérience [1] on constate que certaines antiparticules rebondissent sur la matière sans s'annihiler.
    Donc il devient possible que peu de temps après le Big-Bang les 2 constituants se seraient éloignés l'une de l'autre formant 2 Univers très distant l'un de l'autre... Certains vont même jusqu'à dire que "l'antimatière aurait carrément été éjectée dans un Univers parallèle: un anti-Univers."[2]
    "On a de bonne raisons théoriques de penser que toutes les particules possèdent une antiparticule (bien que certaines, c'est le cas du photon, puisent être à elles-mêmes leur antiparticules)".[3]

    2."Que propose-tu de nouveau pour prédire le facteur gyromagnétique de l'électron?"
    Sur ce problème Il faut que je reprenne mes travaux

    3.La matière n'aurait pas été créée tout de suite à l'instant du Big-Bang mais un peu plus tard, lorsque l'univers était devenu plus froid.

    Bien cordialement

    Références

    [1] http://www.techno-science.net/?onglet=news&news=5736

    [2] SCIENCE & VIE: LES ÉNIGMES DE L'UNIVERS, Éditions de La Martinère, 2009,page 61

    [3] LA NOUVELLE PHYSIQUE Sous la direction de Paul Davies, Avant propos de Pierre-Gilles de Gennes, page 427.

  6. #66
    invite00beb24a

    Re : Fractal = autosimilarité ?

    Mario Cosentino

    Bonjour à tous

    Voici, comme promis, l'équation qui semble avoir gouverné l'expansion de l'Univers par sauts quantifiés pendant 18 milliards d'années - c'est-à dire jusqu'à ce que l'Univers aurait STOPPE sa dilatation.


    Mario Cosentino

    LE «*NEW BIG-BANG FRACTAL*» ET L'EXPANSION DE L'UNIVERS PAR SAUTS QUANTIFIES

    Voici l'équation, en développement en série de Taylor, qui relie le nombre quantique principal n de la mécanique quantique avec la dimension fractale de D = 2,7268 de l' «*ÉPONGE DE MENGER*»*:


    nuo
    D ε ^ D / φ = e – 1 = Σ 1/ 1! + 1/ 2*! + 1/ 3*! + ...+ 1/ n*! (1)
    nu1 = 1

    ici nous avons la relation entre les nombres quantiques de l'Univers qui au fur et à mesure aurait construit un espace-temps géométrique à dimension fractale en "ÉPONGE DE MENGER".

    POSTULAT: lorsque la construction complète de l' "ÉPONGE DE MENGER" aurait été atteinte celle-ci aurait causé l' ARRET de l' expansion de l'Univers.

    D = φ ( e – 1 ) / ε ^ D = ( 137 / 136 ) ^ ( 1/ α ) (2)

    ε = ( 1/ α ) / ( (1 / α) – 1 ) = 137 / 136 (3)

    ε = «*Effet de packing*» ou son inverse
    Voici les paroles de Sir Arthur Eddington sur ce paramètre expérimentale de la physique*:

    «*On pourrait hésiter à introduire un facteur d'allure aussi bizarre que 136 / 137 si l'on ne connaissait pas un autre cas dans lequel le degré de liberté radial se trouve également supprimé et pour lequel ce facteur a été vérifié par l'observation. C'est ce qui se présente quand un proton pénètre dans le noyau quasi-rigide d'hélium. On constate que sa masse ou énergie est réduite dans un rapport très voisin de 136 / 137; cette réduction a reçu le nom d'effet de packing ou effet de tassement. La disparition d'un degré de liberté est essentiellement de même nature dans le noyau d'hélium et dans le champ métrique*; le noyau d'hélium ne peut subir une expansion radiale parce qu'il est rigide, le champ métrique ne peut s'étendre parce que son rayon est l'étalon de longueur[1]*»

    α = constante de structure fine

    1 / α = 137, 035 96

    φ = le nombre d'or

    N.B.*: Pour ceux qui pourraient nous taxés de faire de la «*numérologie*» nous lisons dans l'ouvrage [2]*:

    «*Nous avons suggéré que la section dorée et les approximations de Fibonacci étaient mises en œuvre dans la nature elle-même. Le célèbre problème de la reproduction des lapins qu'avaient posé les Anciens en est un exemple. Nous allons, dans ce chapitre, en voir d'autres*: la généalogie du bourdon, les conifères, les coquilles de mollusques, les fleurs de la famille des composées telles que le tournesol, et la phyllotaxie. La structure mathématique de la beauté naturelle vient donc ici servir notre anthologie*.»

    Les nombres de Fibonacci se trouvent dans la nature. Or nous savons aussi qu'il existe un lien entre les nombres de Fibonacci et le nombre d'or φ .

    Voici un autre exemple qui concerne l'expansion par sauts quantifiés de l'équation (1)*:

    «*Les nombres de Fibonacci réapparaissent dans les atomes idéalement simplifiés de l'hydrogène[2]*.»
    Il est intéressant de remarquer que dans cet ouvrage il est question des niveaux d'énergie de l'électron.

    Ainsi , le travail d'exploration et d'exploitation sur le nombre d'or ( en mathématique et physique) est immense...

    Lorsque l'Univers était en expansion l'égalité entre sont énergie cinétique et son énergie potentielle faisait que son paramètre de décélération était égal à qo = 1 / 2 = 0,5.



    Au vu des relations (1) , (2) et (3) nous constatons que pour le calcul de qo nous avons l'équation remarquable*:

    qo = 2^ 0,5 ε ^ 3D / 3 (4)

    Ce paramètre se trouve dans la plupart des équations du «*New Big-Bang* Fractal*». Sa valeur 1/ 2 *est indispensable à l'équilibre de l'Univers en rotation lorsque ce dernier STOPPE son expansion .

    Un des POSTULAT, supplémentaire, du modèle du «*New Big-Bang*» est que dans l'univers il y aurait un ordre sous-jacent certainement encore plus splendide où tout serait en relation. Cet ordre sous-jacent n'est pas toujours évident. Il faut se donner la peine de découvrir ses différentes facettes ce qui évidemment exige des efforts.
    Au sujet de l' «*ordre sous-jacent*» il existe de plus en plus d'ouvrages très intéressants comme par exemple les livres [3] et [4].

    n = nombre quantique de l'Univers dans sa phase de dilatation d'une durée de 18 milliards d'années jusqu'à ce que n = nuo = 1,78.10 ^18 . Le domaine de définition ou «*'spectre' du nombre quantique principal de l'Univers apparient au domaine [ 1; 1,17.10^18 ].


    Références

    [1] Sir Arthur Eddington*: «*L'UNIVERS EN EXPANSION*», HERMAN et Cie, Éditeurs, 1934,page 148.

    [2] M. Neveux / H. E. Huntley*: «*Le nombre d' or*», Éditions du Seuil, octobre 1995, page 305

    [3] Robert B. Laughlin (Prix Nobel de physique)*: «*Un univers différent Nous vivons la fin du réductionnisme, la fausse idéologie qui promettait à l'humanité la maîtrise de toute chose*», Librairie Arthème Fayard, 2005.

    Robert B. Laughlin est professeur de physique à l'université de Stanford, où il enseigne depuis


    1985 . En 1998, il a été colauréat du prix Nobel de physique pour son travail sur l'effet Hall quantique fractionnaire.

    [4] Jacques Ricard* préface de Claude Debru*: «*Pourquoi le Tout est plus que la Somme de ses Parties Pour une approche scientifique de l' Émergence*», Hermann Éditeurs, 2008.

    Jacques Ricard, Professeur honoraire à l'Université Paris 7 Denis-Diderot, est Directeur honoraire de l'Institut Jacques-Monod ( Université Paris 6, Paris 7 et CNRS ). Il est aussi Membre, ou

    Membre correspondant, de l'Académie des Sciences, de l'Académie Internationale de Philosophie des Sciences et de l'Académie des Sciences de New York.

  7. #67
    obi76

    Re : Fractal = autosimilarité ?

    Je reste sans voix...
    \o\ \o\ Dunning-Kruger encore vainqueur ! /o/ /o/

  8. #68
    invite00beb24a

    Re : Fractal = autosimilarité ?

    Mario Cosentino

    N.B. : dans l'équation (1) nuo et nu1 = 1 se situent en haut et en bas du signe sigma.

    A la fin de chaque équation le chiffre entre parenthèse et le numéro de l'équation.

    Bientôt je reviendrais sur le problème des échelles des températures.
    Merci de votre patience...

    Codialement

  9. #69
    obi76

    Re : Fractal = autosimilarité ?

    D'ailleurs, après réflexion je reste tellement sans voix que je décide de fermer. Et effectivement, on peut parler ici de numérologie, quoique vous en disiez. Je rouvrirai si vous me faites parvenir votre diplome Universitaire permettant de prouver que vous êtes effectivement professeur. Dans le cas contraire, comme il a été dit dans le message #15, vous tombez sous le coup de la loi. De plus, comme l'a dit JPL à de nombreuses reprises, on s'est clairement éloigné du sujet initial.

    Pour la modération,
    \o\ \o\ Dunning-Kruger encore vainqueur ! /o/ /o/

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