expérience de young
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expérience de young



  1. #1
    invite0e4ceef6

    expérience de young


    ------

    j'ai un peu de mal a comprendre comment dans les expérience de young, ont peu en ralentissant le flux le lumière?, faire apparaitre sur un ecran des particules... de quoi est donc fait cet écran?? pour pouvoir rendre si précisément la nature corpusculaire de la lumière...

    en fait j'y crois pas du tout a cette histoire de corpuscule et de dualité... comment donc procedez-vous aujourd'hui pour qu'un ecran puisse compter(faire apparaitre) des particules sans que celui-ci n'y rajoute son 'grain' de sel atomique??


    meurci d'avance..

    -----

  2. #2
    Coincoin

    Re : expérience de young

    Bonsoir à toi aussi...
    Euh... je ne sais pas ce que tu appelles les expériences de Young, mais personnellement ce que j'appelle (ainsi que de nombreux physiciens = l'expérience des fentes d'Young (un écran percé de deux fentes) ne montre pas du tout l'aspect corpusculaire de la lumière, mais est au contraire à la base des interférences et donc de l'aspect ondulatoire.

    Et il faudra que tu m'expliques ce que tu entends par "en ralentissant le flux de lumière"...
    Encore une victoire de Canard !

  3. #3
    yahou

    Re : expérience de young

    Bonsoir.

    Il me semble que vous parlez de la même expérience. Simplement ce que l'on observe dépend pas mal de l'intensité lumineuse que l'on envoie sur l'écran.

    Si cette intensité est grande (devant l'intensité associé à un photon), l'aspect corpusculaire du photon ne se manifeste pas.

    Mais si on envoie ces photons un par un (c'est ainsi que je comprends "en ralentissant le flux de lumière"), on peut les détecter individuellement sur l'écran.

    Je trouve d'ailleurs que le passage d'une situation à l'autre est une illustration assez intéressante de la fameuse dualité onde-corpuscule.

    Pour ce qui est des méthodes de détection d'un photon, elles sont basées sur le même principe qu'une photodétection à l'échelle macroscopique, mais avec en plus des ruses pour amplifier le signal jusqu'à le rendre détectable.

    Voici deux liens correspondant à deux systèmes de détection :

    - http://caeinfo.in2p3.fr/detecteurs/detecteur1-3.html pour le photomultiplicateur

    - http://www.abcelectronique.com/dossi...rs/chap3.phtml pour la photodiode à avalanche

  4. #4
    invite0e4ceef6

    Re : expérience de young

    donc en fait, tout ces expériences sont aujourd'hui basé sur l'effet photo-electrique d'einstein... qui veux que parceque la matière est granulaire seul un corspuscule est capable d'entré en commun avec elle..

    quand un photon très energétique rentre en contact avec un electron il arrache celui-ci, ce que perçoit, n'est pas le photon, mais l'effet du photon sur la matière... et c'est par la relation "possible" entre ces deux objets physique que l'on déduit les propriétés de l'un et de l'autre... c'est une particule agit sur une particule.. einstein ayant crée et déduit l'effet photo-electrique parcequ'il n'y avait pas de solution a ce problème pour une onde agissant sur la particule electron....

    mais aujourd'hui que l'on connait un peu mieux la nature de l'electron, peut-on toujours déduire que la relation "possible" entre la lumière et la matière implique necessairment le passage par l'idée de corpuscule???

    si pour einstein, seul une particule pouvait agir sur une particule, alors l'effet photo-electrique démontrait la propriété corpusculaire de l'electron et du photon

    mais si l'electron est une onde, la relation photoelectrique est toujours valable, mais démontre que la lumière est aussi une onde... sans avoir besoin de passer par l'idée de corpuscule, idée qui semble si je ne trompe de plus en plus s'affaiblir...

    d'autant plus que j'ai un peu de mal a imaginer un corpuscule photonique se deplacant au environ de C capable de rencontrer et de percuter une autre particule comme l'electron se deplaçant juste 300 fois moins vite, soit quasiment a l'arret et sur des distance, qui ramener a leur proportion semble tenir du miracle??? un electron serait gros comme un pomme a coté de la terre et le photon comme une noisette.. une noisette devant atteindre une pomme probabiliste presque a l'arret?? hm!!

    bon, je n'ai pas toute les données, mais, mais, y'a vraiment quelquechose qui m'echappe.... je pense que le problème est surtout là... donc al'aide

  5. A voir en vidéo sur Futura
  6. #5
    deep_turtle

    Re : expérience de young

    Citation Envoyé par quetzal
    donc en fait, tout ces expériences sont aujourd'hui basé sur l'effet photo-electrique d'einstein... qui veux que parceque la matière est granulaire seul un corspuscule est capable d'entré en commun avec elle..
    On a quand même aussi des indices directs indiquant que la lumière elle-même est un objet quantique, avec des propriétés plutôt ondulatoires et d'autres plutôt corpusculaires.

    Un des indices est le spectre du corps noir : la radiation émise par un corps à une certaine température ne peut être comprise que si la radiation elle-même est composée de photons.

    Un autre indice assez fort est tout simplement donné par l'électrodynamique quantique, la théorie qui décrit l'électromagnétisme de manière quantique. Cette théorie n'est en accord avec les expériences que si la lumière est constituée de photons.

    Citation Envoyé par quetzal
    d'autant plus que j'ai un peu de mal a imaginer un corpuscule photonique se deplacant au environ de C capable de rencontrer et de percuter une autre particule comme l'electron se deplaçant juste 300 fois moins vite, soit quasiment a l'arret et sur des distance, qui ramener a leur proportion semble tenir du miracle???
    C'est parce que tu raisonnes avec ton intuition basée sur la mécanique classique, qui n'est pas appropriée pour ce type de phénomènes ! En fait il n'y a pas de "choc" ou "percussion", il y a interaction. Ce concept d'interaction recouvre les manière usuelles de réagir quand on met des particules ensemble : s'attirer, se repousser, se dévier l'un l'autre, mais le 20ème siècle nous a appris qu'il y a une autre manière d'interagir pour les particules : se transformer les unes en les autres (suivant certaines règles bien sûr), ce qui inclut être absorbé ou être émis...

    Quand à la "taille" des électrons, comparée à celle des photons, tu peux aller jeter un coup d'oeil ici :

    la taille d'un électron
    Dernière modification par Rincevent ; 08/11/2004 à 09h25. Motif: correction coquille

  7. #6
    invite0e4ceef6

    Re : expérience de young

    je dirais deep_turtle en retour que ta vision du problème est fille des équations né de ce problème... la nature du photon, ou celle de l'electron, la pensée même qui en sont a l'origine determine tout le reste... ton imaginaire compris...

    mis a part la notion de corp noir que je n'ai pas regardé, j'ai un dernier point de doute...
    ce qui me pose problème, c'est la formalisation du modèle de l'atome par borh suite ua modèle classique de rutherford... le problème de l'electron tournant autour du noyau, qui finit par rayonement par perdre son energie cinétique pour finalement s'ecraser sur le noyau... ce qui n'est pas le cas...
    Borh, si je ne trompe a, dans la continuité de ce modèle estimé que le problème ne venait pas du mouvement de l'electron car par annalogie, le mouvement de celui-ci reste le meilleur moyen de contrer l'attraction du noyau...
    n'ayant pas plus de donnée sur le sujet, je me dit que borh n'a pas du tester que cette solution-là...
    et j'aimerais savoir si l'on peut imaginer l'electron comme un champs energétique étendu autours du noyau, comme une sphère elastique, dont la présence ferais de fait apparaitre une orbitale.. chaque orbitale pouvant acqueillir nfois sa charge minimale... de plus cette cohésion plus ou moins sphérique, elastique l'empecherait d'avoir une surface inférieure a son energie globale... donc de s'effondrer sur le noyau..
    l'attraction du noyau etant plus ou moins équivalente en tout point, l'orbitale se trouve toujours dans une position equidistante centré sur le noyau...
    l'orbitale peut-etre considéré comme une onde, autour du noyau... chaque niveau d'energie correspondant a une nouvelle orbitale, ou champs sphérique, sa tension, lui imposant une aire minimale...
    de là les intérractions me semble beaucoup plus simple a imaginer, pour la lumière devant rencontrer simplement une orbitale et non un electron....
    ainsi, une onde lumineuse peut facilement interagir et sur-saturé cette orbitale et expulser le niveau d'energie necessaire pour qu'une onde aquiers la stabilité d'un electron libre...
    [mode desespoir ON]
    perso, je trouve ça logique, mais tu vas certainement me dire que j'ai tort encore une fois... et que je n'y comprend rien... :bouuuuh:
    [mode desespoir OFF]

  8. #7
    Rincevent

    Re : expérience de young

    Citation Envoyé par deep_turtle
    Un des indices est le spectre du corps noir : la radiation émise par un corps à une certaine température ne peut être comprise que si la radiation elle-même est composée de photons.
    ça me paraît un peu "inexact" de dire ça comme ça : pour le corps noir, on peut très bien supposer un rayonnement non-quantifié mais émis par paquets uniquement avec une quantification des niveaux d'énergie des particules matérielles.

    les véritables "preuves" de l'existence du photon existent, mais elles sont plus récentes que ça : j'ai entendu dire que même pour l'effet photo-électrique, y'avait possibilité de monter un modèle (certes complexe) dans lequel la quantification ne touchait que la matière. Mais bon, maintenant on a même des gadgets technologiques qui observent les photons un par un...

    Un autre indice assez fort est tout simplement donné par l'électrodynamique quantique, la théorie qui décrit l'électromagnétisme de manière quantique. Cette théorie n'est en accord avec les expériences que si la lumière est constituée de photons.
    ça me semble aussi l'un des grands arguments. Surtout avec le modèle électrofaible et l'observation des bosons vecteurs...

    Citation Envoyé par quetzal
    et j'aimerais savoir si l'on peut imaginer l'electron comme un champs energétique étendu autours du noyau, comme une sphère elastique, dont la présence ferais de fait apparaitre une orbitale.. chaque orbitale pouvant acqueillir nfois sa charge minimale...
    l'electron n'est pas qu'une onde... suivant les expériences, il est parfois onde, parfois particule. As-tu lu le texte de Bitbol?

    il est inutile de chercher à te représenter les choses avec des images classiques. Tu ne pourras que visualiser de manière incomplète et fausse.

    ps: on écrit Bohr...

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