Bonjour kognou !
Mon action sur le sceau se fait précisément (autant que possible) lorsque l'enrouleur est à 0 tour et puisque c'est aussi à cet instant que le sceau se trouve le plus haut. A cet instant, l'énergie potentielle du sceau est maximale et elle est RETIREE, SOUSTRAITE à l'énergie totale de départ (par mon action), cette énergie est perdue pour le système (système = patineur + sceau + structure + etc... ). A cet instant, la traction du sceau sur les fils qui retiennent les bras du patineur disparaît: les bras s'écartent donc un peu plus. Puis, presque immédiatement (alors qu'on a repris moins d'un tour sur l'enrouleur), les bras retombent à toute allure (!) comme une masse morte (!) et tapent violemment contre l'axe de rotation... En retombant on note une augmentation de la vitesse de rotation mais celle-ci s'éteint presque aussitôt (!) et le patineur se retrouve à l'arrêt... je l'empèche de repartir... et je compte seulement 2,5 tours sur l'enrouleur.Envoyé par kognou
Entre le moment où j'ai attrapé et soulevé le sceau (à 0 tour sur l'enrouleur) et le moment de l'arrêt du patineur, il s'écoule environ 2s seulement.
Si je ne soulève pas le sceau alors les bras et le sceau redescendent lentement et il s'écoule 6 secondes jusqu'à l'arrêt du patineur et 17,2 tours sont repris par l'enrouleur.
Dans les deux cas, l'élastique récupère la totalité de l'énergie restante et puisque lorsque le patineur est à l'arrêt, l'énergie potentielle des bras et du sceau est nulle.
Ce n'est pas ça du tout !!!... Si je soulève le sceau alors je ne retrouve QUE 2,5 tours à l'enrouleur (et non pas 17,2).Envoyé par kognou
C'est seulement lorsque je ne touche pas au sceau que je retrouve 17,2 tours !!!...
La différence entre bras attachés et bras libérés (cf. première expérience décrite du message 28) est de seulement 0,3 tour!!!... L'élastique ici n'explique rien (ou seulement une partie du minuscule 0,3...).Envoyé par kognou
NON !!!... cette explication ne peut intervenir que pour une valeur inférieure à 0,3...Envoyé par kognou
D'abord, rectifiez dans votre esprit les quelques points qui le méritent et selon mes explications ci-dessus et ensuite le problème apparaîtra plus clairement. Mais au lieu d'affirmer ce qu'il est ce problème, cette fois-ci c'est moi qui pose deux questions:Envoyé par kognou
A- pour que dans l'expérience idéale (dans l'espace) le patineur1 annule totalement le mouvement du patineur2, comment définissez-vous (avec quels termes, quels concepts) ce POUVOIR d'annuler le mouvement du patineur2 ?
B- Ce "POUVOIR" ne pourrait-il être mesuré par un nombre de tours d'enrouleur et par unité de temps (dans l'expérience idéale comme dans l'atelier) ?
Moi j'en vois un et puisque vous associez vous-même le moment cinétique au couple (et donc au nombre de tours par unité de temps)!!!!!!......... Donc, vous-même, vous donnez de la pertinence à cette remarque que pour que le patineur1 puisse annuler le mouvement du patineur2 dans l'expérience idéale, il doit reprendre environ 17 tours dans l'expérience d'atelier!!!.... (et étant donné le 0,3).Envoyé par kognou
j'espère y avoir réussi et j'attends avec impatience votre réponse.Envoyé par kognou
cordialement
ventout
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