Semblant de théorie, masturbation intellectuelle, délire complet,
pour moi, et jusque là, c’est un peu des trois.
Qu’en pensez-vous ?
Je me demandait, donc, comment, avec ma modeste connaissance de la relativité, la lumière pouvait « garder » sa vitesse constante ; ou comment le temps propre d’un système pouvait « ralentir » avec la vitesse.
Pfff ... compliqué ! Alors je me suis inventé une histoire :
Par une loi du genre Réciprocité vis-à-vis des observateurs, on pourrait dire que l’éloignement ralenti l’horloge propre et le rapprochement l’accélère. ( ?)
La complexification induite par une multitude de sources énergétiques primordiales cherchant à exister telle une onde se propageant dans le champ du possible interférant, petit à petit, avec la multitude des autres sources énergétiques cherchant à exister ... (une poignée de cailloux jetés dans une marre).
La lumière ne serait, peut-être, qu’une source non encore interférée sinon libérée depuis la frontière des interférants (les Existants) vers un « lieu » du possible encore vierge.
(Au passage, si tous les points possibles sont des sources énergétiques, alors qu’est ce qui crée le « désordre » apparent dans lequel nous vivons ? le souffle de Dieu ? le chaos ? alors qu’est ce qui crée le hasard ? )
Tout n’est peut-être qu’énergie et transfert d’énergie. Nous serions fait de Lumière et d’un groupe d’interférences. Notre « temps » serait celui de la lumière : le « temps absolu ».
Alors peut-être que nos ondes constituantes, simples interférences, verraient la fréquence de la lumière « ralentir » avec l’éloignement, accélérer avec le rapprochement, comme un voyageur sur les vagues de l’océan.
En fait, je cherche juste à comprendre ...(?)... merci
-----