Bonjour,
Lorsqu'on est au contact optique avec le Michelson, on a un déphasage de 0 ou pi et donc des interférences constructives ou destructives sur toute la figure d'interférence. Ainsi, on n'a pas des interférences constructives qui compensent les interférences destructives. Il y a donc une incohérence d'un point de vue de la conservation de l'énergie, non ?
Une autre petite question : j'ai lu qu'il y avait un déphasage de pi supplémentaire dans l'interféromètre de Michelson. Celui-ci est justifié par une réflexion verre/air dans un cas et air/verre dans l'autre dans ce topic : http://forums.futura-sciences.com/ph...michelson.html
Mais les séparatrices sont normalement traitées de telle sorte qu'une fine couche métallique joue de rôle de semi-miroir : donc, qu'on vienne de l'air ou du verre, on a une réflexion métallique et donc un déphasage de pi. Est-ce que ça dépend des cas, qu'observe-ton expérimentalement (la frange centrale est-elle sombre pour tous les interféromètres ?) ?
Merci d'avance.
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