En 1915, Albert EINSTEIN a élaboré sa théorie de la relativité générale en partant d'une expérience de pensée, "un homme dans un ascenceur", d'où il déduisit que la masse inerte est équivalente à la masse pesante.
A ce jour, la relativité générale n'est toujours pas compatible avec la mécanique quantique dont Max PLANCK a jeté les bases en 1900.
Je propose à votre réflexion une nouvelle équivalence, avec l'espoir qu'elle ménera à cette compatibilité tant recherchée :
"L'infini est équivalent au hasard".
Voici le raisonnement qui m'a amené à cette équivalence :
Dans la mécanique classique de Newton, l'énergie, le temps, l'espace, peuvent devenir infiniment grands ou infiniment petits.
Ces grandeurs sont CONTINUES, et déterministes (pas de hasard).
Dans la mécanique quantique, l'énergie, le temps, l'espace, sont quantifiés (pas d'infiniment petits) et ne peuvent pas devenir infiniment grands (renormalisation).
Par ailleurs, le hasard est présent partout (relation d'incertitude de Heisenberg).
Or, si on fait tendre (par la pensée) la constante de Planck, h, vers zéro, et si on fait tendre la vitesse de la lumière, c, vers l'infini, alors la mécanique quantique et la relativité générale s'expriment comme la mécanique classique de Newton.
D'où ma déduction : L'infini est équivalent au hasard.
Est-ce que cette équivalence vous inspire ?
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