Sans vouloir relancer la polémique, il y a une question que je me pose.
Compte-tenu de la très haute conductivité thermique de l'acier, comment se fait-il qu'il ait pu atteindre une température capable d'affaiblir ses propriétés mécaniques?
Je m'explique : pour moi a priori, il est peu probable que la température des poutrelles ait pu être élevée dans la zone du crash sans que l'ensemble de la structure métallique de l'immeuble ait atteint une température élevé. La chaleur voyage très vite dans le métal, si on chauffe très fort à un point, la chaleur va diffuser très rapidement vers les zones froides, empêchant une augmentation de la température dans la zone concernée.
Peut-on me montrer par le calcul, sur un modèle simplifié, que je suis complètement à la rue et que la température à eu le temps de s'élever suffisamment localement malgré la masse énorme d'acier à réchauffer et la grande conductivité thermique?
m@ch3
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