La solution du problème de l’inséparabilité quantique ?

[invite6754323456711]

Bonjour,

http://pagesperso-orange.fr/dualite-...NVIER_2009.pdf

Cette approche a elle été portée à la critique de la communauté scientifique ?

Patrick
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[invite6754323456711]

Bonjour,

Cette anomalie majeure, constaté par l'auteur, dans les fondements de l'électromagnétisme relativiste est-elle avéré ?

L'auteur semble avoir mené des activités R&D dans le domaine de l’électromagnétisme au Commissariat à l’Energie Atomique.

Les modèles actuels de physique ne savent-il donc pas expliquer de manière complète l'interaction entre un aimant et un circuit conducteur ?


Patrick

[Spinfoam]

En survolant le papier, je ne vois aucune formule après le chapitre 2. J'en conclu que l'auteur ne démontre rien, et que le papier est inintéressant.
On ne fait pas de la physique avec du texte.

[mariposa]

Bonjour,

http://pagesperso-orange.fr/dualite-...NVIER_2009.pdf

Cette approche a elle été portée à la critique de la communauté scientifique ?

Patrick

Bonjour,

Quans je lis une telle intervention qui prétent trouver des failles dans la MQ je commence à vérifier ce qu'il sait ou comprends de la MQ. Et là aucun doute, il a une lecture et une compréhension plus que superficielle de la MQ.

Voilà ce que j'ai extrait:

"
On remonte ainsi aux racines des anomalies concernées : les ondes électromagnétiques ont été imputées à la propagation du champ alors qu’elles procèdent de la création et de l’émission des particules que sont les photons."

"Examinons d’abord, en ce qui concerne cet aspect des choses, le contenu de la quantification mathématique. On se reportera à l’ouvrage : Photons et atomes, Introduction à l’électrodynamique quantique de Claude COHEN-TANNOUDJI, Jacques DUPONT-ROC, Gilbert GRINBERG ( 12 ). On y trouve conjointement l’interprétation classique (macroscopique) du rayonnement hertzien (champ du
dipôle oscillant) et les principes de base de la quantification de la théorie classique. Il est d’abord rappelé comment la théorie classique formule le rayonnement du dipôle oscillant à partir de la Théorie de MAXWELL-LORENTZ, ce qui conduit à la conclusion : « on retrouve les trois termes bien connus du rayonnement du dipôle, décroissant respectivement comme 1/r3, 1/r², 1/r . » Le même problème est repris dans le cadre du processus de quantification, avec la conclusion : « la moyenne du champ quantique est identique au champ classique. » Entre ces deux étapes, la théorie a été quantifiée. Qu’est-ce que cela implique pour l’état du champ et de son
énergie ? La réponse apparaît sous la forme suivante : « Tout se passe comme si cet état représentait un ensemble de particules…(l’énergie et la quantité de mouvement de chacune étant proportionnelles à la constante de PLANCK et à une
fréquence). Ces particules sont appelées des photons. Elles décrivent les excitations élémentaires des divers modes du champ électromagnétique quantifié.»"

Le fait même qu'il cite Cohen-Tannoudji (ce qui pourrait laisser croire qu'il a sérieusement réfléchit à la question) montre qu'il n'y a rien compris entre la relation du concept de photon et celui d'onde électromagnétique classique.

En plus il veut s'attaquer à un problème qui n'existe pas vraiment. Celui de l'inséparabilité quantique dont il ignore totalement les conséquences. Il voit une contradiction entre la relativité et la MQ qui n'existe pas.

A noter qu'il ne propose rien du tout là ou la QED est en accord avec l'expérience avec plus de 10 chiffres significatifs.

[A voir en vidéo sur Futura]

[invite6754323456711]

Bonjour,

La fameuse "instantanéité des interactions de couplage" n'est pas un fait expérimental avéré ?

L'anomalie majeure est donc plutot dans sa vision.

Patrick