Soit la mesure de l'impact d'un électron sur un système.
Avec quelle précision peut-on connaître des informations sur la trajectoire de cet électron, si on connaît la position initiale de la source d'émission ?
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Soit la mesure de l'impact d'un électron sur un système.
Avec quelle précision peut-on connaître des informations sur la trajectoire de cet électron, si on connaît la position initiale de la source d'émission ?
Soit un atome d'hydrogène isolé. En première approximation simple il constitue avec sa sphère d'espace proche un système 4 - dimensionnel propre.
Etant donnée l'émission de son électron, capté par un appareil de mesure, qui mesure son point d'impact, ainsi que sa quantité de mouvement au moment de l'impact.
Où se trouve le proton ? A quelle vitesse va-t-il relativement à l'appareil de mesure ?
une sphere d'espace 4D???Soit un atome d'hydrogène isolé. En première approximation simple il constitue avec sa sphère d'espace proche un système 4 - dimensionnel propre.
Etant donnée l'émission de son électron, capté par un appareil de mesure, qui mesure son point d'impact, ainsi que sa quantité de mouvement au moment de l'impact.
Où se trouve le proton ? A quelle vitesse va-t-il relativement à l'appareil de mesure ?
Sinon, l'atome d'hydrogene étant stable, l'emission de son electron ne se fera pas tout seul... et vu que vous le precisez isoler...
Avec une précision suffisante pour que l'on puisse regarder la télé...
(désolé, je n'ai pas d'écran plat...)
Oui exactement une sphère d'espace 4D dans un espace 5D. Pour qu'un système soit considéré comme isolé, on doit considérer son temps comme étant propre et non consensuel. Donc une sphère que l'on ne "mesure pas", doit être considérée comme un espace 4D avec son temps causal propre.
L'atome d'hydrogène est stable mais peu importe. Si on attend suffisamment longtemps l'électron va faire un "saut quantique" selon la terminologie 4D. Si on veut on peut choisir de considérer un atome moins stable, ça ne change pas l'approche, et la question essentielle.
j'ai comme l'impression que ça ne veut pas dire grand chose mais bon...Oui exactement une sphère d'espace 4D dans un espace 5D. Pour qu'un système soit considéré comme isolé, on doit considérer son temps comme étant propre et non consensuel. Donc une sphère que l'on ne "mesure pas", doit être considérée comme un espace 4D avec son temps causal propre.
L'atome d'hydrogène est stable mais peu importe. Si on attend suffisamment longtemps l'électron va faire un "saut quantique" selon la terminologie 4D. Si on veut on peut choisir de considérer un atome moins stable, ça ne change pas l'approche, et la question essentielle.
Sinon, faite la meme chose en mecanique classique, ça sera plus simple a calculé avec la conservation de l'impulsion (vu que de toute façon il n'y a pas de vitesse en MQ...)
C'est fondamental au contraire.
L'observateur est désormais défini en rapport avec l'objet comme étant lui même un espace fermé 4D, séparé de l'objet, lui même espace 4D.
De ce fait on peut, connaissant des conditions initiales, et connaissant ce qui sort de l'espace à mesurer - sans donc "forcer la mesure", uniquement en tenant compte de ce qui sort - avoir une idée extrêmement précise de ce qui reste.
Cela signifie aussi que la causalité n'est pas absolue, elle ne peut être comprise par un espace d'observation que dans la mesure de la connaissance acquise, et n'est pas consensuelle.
Si deux observateurs ont une vision causale consensuelle de l'objet à mesurer, alors ils ne sont pas dans des espaces séparés, et doivent être considérés comme faisant partie d'un même espace d'observation.
La cinquième dimension est la dimension propre de l'observateur.
Il veut dire quoi ce "consensuelle" qui sert d'adjectif à tout le vocabulaire de physique (qui s'en passe tres bien, cela dit en passant...)?
Etudier ceci : http://arxiv.org/PS_cache/arxiv/pdf/...705.3974v1.pdf
Permettra de comprendre.