Bonjour à tous,
Je remercie les auteurs qui par leurs réponses à des topics similaires ont déjà indirectement éclairer ma très littéraire lanterne. Il me reste des questions qui me valent le plaisir de solliciter à mon tour leur bienveillance dans l’espoir de pouvoir réaliser mon projet.
Les vélos à assistance électrique semblent souvent équipés d’une batterie 36 volt de 10 ou 12 A/h alimentant un moteur de 250W.
Ils comportent quatre points faibles :
- Un prix d’achat et de réparation assez élévés
- Un surpoids significatif
- Une fausse écologie du fait de devoir recharger le batterie par le courant domestique
- Mais principalement, une assistance de fort courte durée
Il m’arrive très régulièrement dans mes Ardennes de freiner sur 2 ou 3 km voir plus, sans pédaler. J’envisage de récupérer partiellement l’energie du freinage. On pourrait même concevoir, dans les descentes moins fortes, de pédaler tout en freinant et t’atteindre une puissance significative.
Poids total de l’équipage +/- 110 kg
Dénivellée de 0 à 350 m
Vitesse de 1 à 12 m/s sans freinage ni pédalement
Puissance moyenne du cycliste +/- 100 W
L’idée serait de placer une tête comme celle d’une dynamo classique contre la jante de la roue arrière, mais la tête serait ici beaucoup plus longe et cônique. L’action sur la poignée de frein ferait monter ou descendre le cône par rapport à la jante de la roue et donc augmenter ou diminuer la vitesse de rotation de son axe. A la base du cône, un anneau libre tournant sans entraîner le générateur permettrait d’obtenir une position de frein au repos.
La question sera de calibrer la démultiplication de façon à obtenir une intensité supérieure à 36V mais pas plus de (?) pour ménager la batterie.
Dans le cas ou l’intensité est inférieur à 36V et n’est pas renvoyée à la batterie que devient l’énergie produite ? Est-elle nulle et en conséquence pas de frein moteur ?
Est-il préférable de disposer d’un moteur distinct du générateur ou d’employer le même appareil pour les deux fonctions ?
Merci d’avance
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