Qu'est-ce que le temps ? - Page 2
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Qu'est-ce que le temps ?



  1. #31
    chaverondier

    Re : Qu'est-ce que le temps ?


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    Citation Envoyé par Lévesque
    Sans changements d'états, impossible d'observer le temps ; sans temps, impossible d'observer des changements d'états.
    Et donc, sans changement des informations auxquelles nous avons accès, pas d'écoulement observable du temps macroscopique. Il paraît donc difficile de dissocier la flèche du temps des possibilités ou pas d'accéder à telle ou telle information enregistrée dans notre environnement (permettant de constater une évolution de son état). Sans processus d'enregistrement irréversibles d'informations stables (cad sans création d'états d'équilibre thermodynamique) et sans possibilité d'accès à ces informations "le film" se déroule sans qu'on le sache (comme si on avait les yeux fermés) et évolue par sauts quantiques chaque fois qu'on peut observer quelque chose de nouveau (chaque fois qu'on ouvre les yeux).
    Citation Envoyé par Lévesque
    "Pourquoi le temps s'écoule et (apparemment) toujours dans la même direction". Il y a des pistes de solutions (certaines ont permis à monsieur Chaverondier d'apporter sa contribution).
    Disons plutôt qu'elles m'ont (probablement) permis d'améliorer un peu ma façon de poser les questions (ce qui me semble important quand on discute sur un forum scientifique).
    Citation Envoyé par Lévesque
    J'ai parlé d'une piste pour expliquer le passage d'un état à un autre. Peut-être que je me trompe, mais l'Annexe de d'Espagnat intitulé "Réduction du paquet d'onde et flèche du temps" me semble explorer l'idée que le phénomène de réduction du paquet d'onde puisse être responsable d'un sens unique à l'écoulement du temps.
    En tout cas, il semble raisonnable d'envisager cette possibilité vu que la mesure quantique (et les phénomènes physiques qui en sont responsables) est considérée comme un phénomène irréversible.
    Citation Envoyé par Lévesque
    Donc, (je conclue) d'un passage unique de certains états à certains autres. (Je me relis: " réduction du paquet d'onde par destruction de cohérence". Vous avez raison, je fais erreur là.)
    Pour être sûr qu'on est d'accord, la réduction du paquet d'onde ne s'effectue pas par destruction de cohérence (le phénomène de décohérence est unitaire, déterministe et réversible. A l'issue de la décohérence le système observé se trouve dans un état mixte) mais engendre au contraire la reconstruction brutale d'une cohérence (le phénomène de réduction du paquet d'onde est instantané, indéterministe, irréversible et s'effectue en violation de l'unitarité. A l'issue de ce phénomène, le système se retrouve à nouveau dans un état pur).
    Citation Envoyé par Lévesque
    Si j'ai bien compris, la décohérence change l'état d'un système en faisant passer son état de pur à mixte.
    Oui.
    Citation Envoyé par Lévesque
    Par exemple, suite à une mesure du spin selon z d'un électron, il y a réduction du paquet d'onde et l'électron se retrouve dans un état pur de spin selon z. Dès que la mesure est terminée, la décohérence (gravitationnelle?) fait son oeuvre, et l'état se modifie de façon à ce que le spin soit dans une combinaison linéaire de différentes directions de spin.
    Je reformule. A la fin du processus de décohérence associé à la mesure de son spin selon z, l'électron se retrouve dans un état de spin mixte selon z (avec des termes extradiagonaux nuls quand son opérateur densité réduit est exprimé dans la base B=(|spin_z up>, |spin_z down>) ). Sous l'action brutale de la réduction du paquet d'onde, il retombe à nouveau instantanément dans un état pur, mais cette fois-ci il s'agit d'un état de spin pur non superposé selon z (et non d'un état de spin pur mais superposé selon z comme c’était le cas avant la mesure de spin selon z s'il était par exemple dans un état de spin pur non superposé selon x initialement). Il y a indéterminisme du résultat de la réduction du paquet d'onde c’est à dire création d'information (ou gain de négantropie). L’état de spin antérieur est quant-à lui oublié et il s'agit là d'une perte d'information (à laquelle est associée une croissance d'entropie traduisant l'irréversibilité de la réduction du paquet d'onde). La mesure est terminée dès que la réduction instantanée du paquet d'onde (décohérence gravitationnelle ?) a fait son oeuvre.
    Citation Envoyé par Lévesque
    Si notre théorie est celle des mondes multiples, y a-t-il une flèche du temps ?
    Il faudrait regarder la FAQ http://www.hedweb.com/everett/everett.htm .

    Bernard Chaverondier

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  2. #32
    invitee9ff1365

    Re : Qu'est-ce que le temps ?

    Bonjour Je souhaiterais intervenir, mais ma réponse est trop longue. En direct, et, en format Word, elle est refusée par le forum. J'essaie de la mettre en "txt". Je vous prie d'excuser ce format difficile à lire. Je réponds plus particulièrement à une intervention du Monsieur dont le pseudo est "Physastro"; mais ma réponse est générale. J'essaie !!!
    Fichiers attachés Fichiers attachés

  3. #33
    invitee9ff1365

    Re : Qu'est-ce que le temps ?

    Suite du fil précédent.

    La boîte de vitesse de la fonction temporelle a sept rapports, qui correspondent chacun à un « plan ontologique, ou à un ordre différentiel mathématique (arrangement spécifique des bases d’espace et de temps), donc à un « référentiel » spécifique». Examinons les trois plus « courts » :

    Les deux premiers plans sont dans le monde de la physique ; ils sont soumis à la constante de Planck :

    1. Le premier (gamme Do) correspond au monde des atomes visible, son domaine est celui du courant électrique, qui s’exprime dans plan à deux dimensions spatiales, et un écoulement temporel somme de « dt fixes et constants ». Son référentiel mathématique est celui d’Aristote.
    2. Le second (gamme Re) correspond au monde des champs électromagnétiques détectables avec un magnétomètre, qui s’exprime dans un volume à trois dimensions spatiales et à une relativité de une base temporelle. C’est le domaine de la « Relativité générale » ; Son référentiel mathématique est celui de Minkowski. Les vecteurs imaginaires sont cohérents à basse vitesse, et commencent à devenir plus ou moins incohérents au fur et à mesure que la vitesse se rapproche de 300.000km/sec.

    Le seuil entre le second et le troisième plan correspond à l’illusoire « Mur de Planck ».

    Le troisième plan (Gamme Mi) correspond aux ondes, non corpusculaires, non soumises à la constante de Planck, donc, non physiques, mais métaphysiques (au delà de 300.000 km/sec) du « mental authentique» (pas de son électronique, ni des traces électriques que son travail produit sur le cerveau. On ne créé pas du mental en implantant des électrodes dans le cortex cérébral !). Le mental est du soft, donc du « virtuel », pas du hardware. Ce mental ne s’exprime plus qu’à travers :

     l’ultime dérivée spatiale réduite à « un point spatial virtuel, sans ..dimension !», mais déplaçable par notre volonté.
     Mise en fonction avec les trois bases temporelles (« système tribasique Do-Mi-Sol » – « système tribasqique Rouge-Vert-Bleu », « système tribasique écrit aleph-mem-shin, système compté [aleph = 1] – [youd = 10] – [ koff = 100] », etc ..)

    Les vecteurs de ses nombres imaginaires sont polychromatiques et apparemment incohérents. En fait, c’est leur complexité qui donne l’impression d’incohérence. Leurs cohérence est soumise à notre volonté. Si notre volonté est intacte, nous pouvons les piloter, tout comme on pilote un avion à partir d’un manche à balai à commandes électriques. Si nous sommes ivre ou anesthésié, notre volonté devient inopérante, l’avion devient totalement incohérent, spatialement, et, temporellement. Son référentiel n’a pas encore été codifié. Je propose de l’appeler « le Référentiel d’Antioche ». Ce nom prestigieux est composé des trois racines hébraïques « aleph – youd et koff ». [ Aleph = 1) représente mathématiquement le premier ordre différentiel temporel ; [Youd = 10 représente mathématiquement, le second ordre différentiel temporel ; et , [ Kof = 100] représente mathématiquement, le troisième ordre différentiel temporel. Nous avons dans leur « somme » l’ensemble du système tri-basique de seuils, de potentiels de qualité, propres aux trois bases du temps.

  4. #34
    invite0e4ceef6

    Re : Qu'est-ce que le temps ?

    salut je me permet d'intervenir parceque le temps c'est aussi mon dada..

    il me semble que vos définitions du temps sont valable pour decrire en partie les phénomènes physiques, mais quid d'une réponse englobant le temps psychologique, après tout le temps propre de tout observateur fait aussi partie du monde, comment expliquez-vous que celui-ci diffère tant de celui de la physique ?

    m'a question ici, peux se devellopper en n'y aurait-il pas comme pour le mot "conscience" un ensemble de sous-phénomène que l'on tend a lier par habitudes les uns aux autres, sous une sorte de phénomène commun, mais dont une simple annalyse ne fait que révéller l'incoherence du comportement de ces sous-partie au sein d'un même "label", d'un même concept.

    et n'est-ce pas a ce type d'incohérence auquel tant physiquciens que psychologue ou philosophe ont toujours été confronté ?? alors tabula rasa!! et que nous reste-t-il ??

    un ensemble de fait de donné de pensé et de description éparse qui ne semble pas etre vraiment en corrélation?? quoique, l'habitude nous donne bien une valeur temps objective, ou relative selon les auteurs.. voir inexistant selon d'autre, ou permanant.

    A+

  5. #35
    invitee9ff1365

    Re : Qu'est-ce que le temps ?

    Suite du fil précédent.

    La boîte de vitesse de la fonction temporelle a sept rapports, qui correspondent chacun à un « plan ontologique, ou à un ordre différentiel mathématique (arrangement spécifique des bases d’espace et de temps), donc à un « référentiel » spécifique». Examinons les trois plus « courts » :

    Les deux premiers plans sont dans le monde de la physique ; ils sont soumis à la constante de Planck :

    1. Le premier (gamme Do) correspond au monde des atomes visibles, son domaine est celui du courant électrique, qui s’exprime dans plan à deux dimensions spatiales, et un écoulement temporel somme de « dt fixes et constants ». Son référentiel mathématique est celui d’Aristote.
    2. Le second (gamme Re) correspond au monde des champs électromagnétiques détectables avec un magnétomètre, qui s’exprime dans un volume à trois dimensions spatiales et à une relativité de une base temporelle. C’est le domaine de la « Relativité générale » ; Son référentiel mathématique est celui de Minkowski. Les vecteurs imaginaires sont cohérents à basse vitesse, et commencent à devenir plus ou moins incohérents au fur et à mesure que la vitesse se rapproche de 300.000km/sec.

    Le seuil entre le second et le troisième plan correspond à l’illusoire « Mur de Planck ».

    Le troisième plan (Gamme Mi) correspond aux ondes, non corpusculaires, non soumises à la constante de Planck, donc, non physiques, mais métaphysiques (au delà de 300.000 km/sec) du « mental authentique» (pas de son électronique, ni des traces électriques que son travail produit sur le cerveau. On ne créé pas du mental en implantant des électrodes dans le cortex cérébral !). Le mental est du soft, donc du « virtuel », pas du hardware. Ce mental ne s’exprime plus qu’à travers :

     l’ultime dérivée spatiale réduite à « un point spatial virtuel, sans ..dimension !», mais déplaçable par notre volonté.
     Mise en fonction avec les trois bases temporelles (« système tribasique Do-Mi-Sol » – « système tribasqique Rouge-Vert-Bleu », « système tribasique écrit aleph-mem-shin, système compté [aleph = 1] – [youd = 10] – [ koff = 100] », etc ..)

    Les vecteurs de ses nombres imaginaires sont polychromatiques et apparemment incohérents. En fait, c’est leur complexité qui donne l’impression d’incohérence. Leur cohérence est soumise à notre volonté. Si notre volonté est intacte, nous pouvons les piloter, tout comme on pilote un avion à partir d’un manche à balai à commandes électriques. Si nous sommes ivre ou anesthésié, notre volonté devient inopérante, l’avion devient totalement incohérent, spatialement, et, temporellement. Son référentiel n’a pas encore été codifié. Je propose de l’appeler « le Référentiel d’Antioche ». Ce nom prestigieux est composé des trois racines hébraïques « aleph – youd et koff ». [ Aleph = 1) représente mathématiquement le premier ordre différentiel temporel ; [Youd = 10 représente mathématiquement, le second ordre différentiel temporel ; et , [ Kof = 100] représente mathématiquement, le troisième ordre différentiel temporel. Nous avons dans leur « somme » l’ensemble du système tri-basique de seuils, de potentiels de qualité, propres aux trois bases du temps.
















    Suite **** /// ****

    La conséquence de ce qui n’est (évidemment) pour le moment qu’une théorie, (très plausible, tout de même), serait qu’il ne peut pas exister d’antimatière ! Il y au un « transfert de bases » dans le système de la boîte de vitesse de la fonction temporelle. Le « corpusculaire » redevient du « vibratoire, non corpusculaire » dont les trois bases spatiales ont été réduites à un point , tandis que les trois bases temporelles ont « explosées », afin de prendre le relai. J’ai écrit qu’il y a six bases, trois spatiales quantiques, bien connues des physiciens (hauteur, largeur, et hauteur), et trois bases temporelles qualitiques, pour le moment inconnues des Physiciens (et pour cause, elles ne s’exercent plus dans le monde infra 300.000 kms/sec, soumis aux lois de la physique ). Un tel système fournit bien « sept combinaisons de rapports de bases ». Chaque combinaison correspond à un référentiel spatio-temporel spécifique.

    Qu’y a-t-il au delà du mental, soit, dans le champ de la quatrième boîte de vitesse de la fonction temporelle ? Il y a du « gnostique » ! C’est quoi le « gnostique », c’est le plan qui fournit l’intuition créatrice, et, qui permet de mettre en œuvre ce que l’on appelle « le génie ». Quelle est la différence fondamentale entre le mental et le gnostique ?

     Le mental est du troisième ordre différentiel temporel (gamme ontologique Mi du … soit règne animal ontologiquement achevé), il fonctionne selon la loi booléenne du « ou » (or). C’est, soit le mental pensé qui rentre en fonction, soit, le mental senti, mais, pas les deux, simultanément. (« Le cœur (mental-senti) a des raisons que la raison (mental-pensé) ne connaît pas », et inversement )
     Le gnostique est du quatrième ordre différentiel (gamme ontologique Fa du règne humain, « achevé » dans son évolution ontologique). Il fonctionne selon la loi booléenne du « Et » (And). Les deux voies cognitives « Effectrice et Affectante) fonctionnent, simultanément, et, surtout, « conjointement ».

     Lorsque Mozart invente une symphonie, il utilise le mode intuitif gnostique (il enclenche la quatrième vitesse de rapports de bases temporo-spatiales). Sa cognition n’est plus « amortie » par les contraintes spatiales. Il a « intégré les bases de temps » dans sa fonction temporelle. Ceci n’est pas une simple hypothèse ; c’est vérifiable à l’électro-encéphalo-graphie ». On y voit les « traces secondaires physiques » engendrées par ces changements de rapports de bases.
     Lorsque Mozart écrit sa symphonie sur une feuille de papier, il la dérive (il change son rapport de boîte de vitesse temporelle), en utilisant son mental. En rentrant dans l’espace, (la feuille de papier), il dérive, donc, trois fois, son rapport de bases, ( gamme spatio-temporelle Fa, vers gamme spatio-temporelle Do) afin d’écrire en utilisant une ligne d’écoulement temporel assimilée à une somme de « dt » fixes et constants. Il change son référentiel d’arrangements des six bases.

  6. #36
    invitee9ff1365

    Re : Qu'est-ce que le temps ?

    Bonjour Quetzal, et merci pour votre intervention. Je vais essayer de répondre à la citation, ci dessous.
    [ « n'y aurait-il pas comme pour le mot "conscience" un ensemble de sous-phénomène que l'on tend a lier par habitudes les uns aux autres ».).

    Depuis le début de mon intervention j’ai essayé de « viser les Mathématiciens », en tentant d’utiliser leur logique. Je ne suis pas un Mathématicien. Par contre, je suis un professionnel de la « cognition ». Le langage que vous utilisez, dans votre question, me convient encore mieux que celui des mathématiques, mais, il est difficile de se disperser. Si j’aborde, avec vous la psychologie, nous allons faire fuir les Pysiciens et les Mathématiciens. Or, il me semble capital que ce soient eux qui obtiennent l’intuition de ce qu’est la fonction temporelle. La Neuro Physio Psychologie ne fera un réel progrès que lorsque les Mathématiciens auront réussi à formuler un nouveau référentiel de systèmes de bases spatiales et surtout temporelles.

    J’ai essayé de « penser à vous en comparant le mécanisme logique du mental et celui du gnostique. Il y a bien, en effet, plusieurs possibilités d’arrangements de bases dans l’ensemble de la fonction que l’on appelle la « cognition ». On pourrait aller jusqu’au plan du cinquième rapport de la boîte de vitesse « Sol ». Les Hindous, qui le connaissent, (On les appelle les Jnani, ou Connaissants) disent qu’il s’agit du plan « causal » (Causal body) . Mais, n’allons pas si loin. Restons, si vous le voulez bien, à la frontière entre la matière corpusculaire et les champs mentaux non corpusculaires.

  7. #37
    invite0e4ceef6

    Re : Qu'est-ce que le temps ?

    hm, il y a pour moi dans vos assertions beaucoup de mots nouveau a intégré dans mes propres connaisances... disons que j'aurais une question simplment de linguistique, ou de sémantique, si l'on considère habituellement le temps comme une dimension "présente", ou les choses arrivent.. comment définissez-vous le terme dimention, histoire que nous accordions nos violons??

  8. #38
    invitee9ff1365

    Re : Qu'est-ce que le temps ?

    [ Si l'on considère habituellement le temps comme une dimension "présente", ou les choses arrivent.. comment définissez-vous le terme dimention, histoire que nous accordions nos violons?? ]

    Bonjour, le but de mes posts est d’aider à corriger les erreurs que l’on nous a apprises à l’école, au lycée, et à la fac, et que l’on apprend toujours ! Regardez :

    « Si l’on considère habituellement » ; nous sommes sur ce site pour apprendre à ne plus considérer « le temps », comme nous avions l’habitude de le considérer, c’est à dire à partir d’une mesure effectuée avec un « chrono --- mètre ». Qu’on l’appelle un « Chrono --- Graffe » ; je veux bien, puisque son écoulement se projette sur une feuille de papier (un référentiel dit « d’Aristote ».) ; on peut donc, faire un « graffe » de la trace que le temps laisse dans le monde de la physique. Mais, de grâce, que l’on cesse d’utiliser le terme de « chrono-mètre » qui est foncièrement aberrant ; c’est un « contre sens ». Le temps a son système de bases propres (qui détermine la qualité et non pas la quantité), il est (comme une musique) qualitique et non pas « quantique », comme l’est une « longueur » ; laquelle, est une base exclusivement attachée aux caractères de l’espace .

    Cessons de mélanger les torchons et les serviettes ; le temps (c’est l’accélérateur de la voiture) qui génère des seuils de qualité, et l’espace, (c’est le frein de la voiture) qui absorbe, par son inertie, la dynamique qui lui sert de trame de fond sur lequel il repose. Les mailles mathématiques de l’architecture d’un cristal ou d’une construction fractale, sont les résonances vibratoires des rythmes de la dynamique temporelle.

    Prenons un exemple. Une mouette virevolte dans le ciel ; « flop ! », elle laisse tomber un splatch de fiente. Un Scientifique se précipite, et met un drapeau pour signaler le point d’impact « t = 1 » (dit-il). Allégée la mouette (jeune, donc dynamique, et experte) fait d’innombrables loopings et tonneaux. Une demie heure plus tard, (Sic), « re-flop », la mouette a encore besoin de s’alléger. Le Scientifique, méticuleux, comme tous les Scientifiques, positionne un second repère, qu’il appelle « t = 2 ». Il prend alors un mètre et dit : « le temps de vol de la mouette est égal à [ t2 – t1 ] » !

    Ne riez pas ! .. c’est … grave ! car c’est exactement comme cela que les Scientifiques « mesurent » ce qu’ils appellent le temps, en en imposant leur .. « dogme » ! ! ! Osons dire « vous avez tord, Monsieur le Professeur », et vous verrez si vous aurez votre Bac ; au RMI direct, même pas de chômage, puisqu’il ne peut pas y avoir de premier travail. Si vous osez dire « le temps ne se mesure pas » .. vous êtes sûr de recevoir votre dose de neuroleptique à long court, avec, écrit sur le front : « Danger : fada incurable ; à éviter ! ». C’est une nouvelle forme « d’Inquisition ». Nous n’avons pas le droit de refuser les dogmes imposés par les Mathématiciens, qui sont les « Pères Absolus de tout le savoir reconnu ».

    Le terme de « dimension » est à peu près défini dans Wikipedia ; que je cite : [Dans le sens commun, la notion de dimension renvoie à la taille ; les dimensions d'une pièce sont sa longueur, sa largeur et sa profondeur/son épaisseur, ou bien son diamètre si c'est une pièce de révolution. En physique et en mathématique, la notion de dimension est bien particulière ]. Tenons nous en à la « base » ou au système de base authentique. Il y a et ne peut y avoir que « trois » dimensions, celle correspondant aux longueur, largeur, et hauteur d’un volume qu’Aristote a organisé dans son référentiel selon l’axe des « dx », « dy » et « dz ». Ajouter et mixer une base temporelle (relativité) est un contre sens. La quatrième base du référentiel de Minkowski n’est pas (en soi) de l’ordre d’une dimension, puisqu’il n’appartient pas au système de bases spécifique à l’espace. La « Relativité », telle qu’elle est définie par les Mathématiciens, aujourd’hui, c’est de la « bouillabaisse marseillaise, mélangée à beaucoup trop de pastis »…. C’est bon, .. mais, ça saoule ; donc, c’est « très-très-très » incohérent ! (il y a trois bases temporelles, alors je triple le « très »).

  9. #39
    invite0e4ceef6

    Re : Qu'est-ce que le temps ?

    oui c'est une très bonne définition, quoique je lui préfère celui de l'espace vectoriel qui d'après ce qu'en dit wiki, est ce par quoi l'on peux traduire l'ensemble des données mesurable d'un evenement ou d'un objet.. (c'est ma traduction propre)

    ma question, les dimensions sont multiple pourtant les objets sont unitaire, comme l'esapce d'ailleurs. une dimension n'est-elle qu'un objet idéel de papier ? une droite ou une demi-droit que l'on trace sur un cahier, auqeul l'on rajoute une unité de mesure pour comptabiliser des evenements ou une quantité, ou une position ??

    cela te semble-t-il juste ??

  10. #40
    invitee9ff1365

    Re : Qu'est-ce que le temps ?

    [ je lui préfère celui de l'espace vectoriel]. En fournissant à un « espace » une dynamique vectorielle, tu mélanges les bases d’inertie (spatiale) et les bases de dynamique (temps). Un vecteur n’est ni un élément spatial, ni un élément temporel ; c’est une « mise en rapport effecteur », et donc une « mise en fonction mathématique » d’un élément spatial - et - d’un élément temporel. Dans une telle fonction, les Mathématiciens disent que seules les trois bases spatiales (dx-dy-dz) peuvent être les variables, alors que l’élément temporel est considéré par eux comme une « non variable » (Aristote) ou un élément de relativité (Minkowski). Mais, en aucun cas les Mathématiciens n’acceptent la possibilité que les trois bases temporelles soient « les » variables.

    Or, si dans le monde de la physique (infra 300.000km/sec) ils ont raison, dans celui du psychisme qui devient celui de la métaphysique –trans 300.000 km/sec) ils ont alors tord. On ne peut avoir « que » dans le monde physique (cis 300.000 kms/sec) une matière, dite positive, et son inverse, appelée « antimatière ». Dans le monde trans 300.000 km/sec, soit dans le monde mental, il n’y a plus de matière du tout. Il ne peut donc pas y avoir d’antimatière.

    Dans les mondes métaphysiques, les trois bases temporelles se substituent aux trois bases spatiales du monde physique, pour devenir les trois variables de la fonction. La différence fondamentale étant que si les variables sont les trois bases spatiales, leur rapport est « seulement quantique », tandis que, si ce sont les trois bases temporelles qui deviennent les variables de la fonction, leur mise en rapport devient (non plus seulement quantique) mais, qualitique. On ne manipule plus des quantités, mais des potentiels de qualitativité.

    Prenons un exemple : prononçons le son « hè ». Quantiquement, soit, avec l’informatique actuelle, les trois éléments suivants « è », « et » « est », ont la même valeur. Ils n’ont pourtant, grammaticalement, pas du tout la même valeur. Avec un ordinateur seulement quantique, il est impossible de faire la différence. Avec notre mental qui est un super ordinateur « quantique – ET – qualitique », dès que l’on sort de l’école primaire on sait faire la différence entre l’ordre de valeur d’une racine verbale, celui d’un mon, celui d’un adjectif, celui d’une conjonction, celui d’un verbe, dont le son se prononcerait « hè ». Pour faire cette différence, il est nécessaire de pouvoir mettre en mathématique un système logique qui sache « différencier les ordres », les seuils de qualitativité. Seul un ordinateur qui utilisera le solfège colorimétrique, dans son processeur, et qui remplacera la logique booléenne par de la logique dont les trois bases temporelles sont devenues les variables pourra «auto - intellegerer ».

    Pour la seconde partie de ta question tu fais allusion à la notion de « manifestation momentanée ». Chaque objet est, comme un enfant, le fruit dune mère (l’espace) et d’un père (le temps). La mère fournit la forme, le père introduit les forces, soit la dynamique, qui s’amortit (donc qui est vouée à la mort) dès que le « couple espace temps individualisé » a été conçu. En mathématiques on appelle cela « un « moment », ou un « rapport de relativité ». Attention, ce n’est pas un « dipôle », parce que ce concept impliquerait que les deux termes (pôles) soient du même ordre logique. Ici, l’étude des ordres différents, de la structure générale, (toupie à sept rapports de boîte de vitesse) s’appelle l’ontologie (Science de l’Etre) ; c’est elle qui détermine les seuils de l’évolution genésique, soit la succession « Chrono … logique », des règnes, ou la « logique .. de Chronos ». (fonction temporelle intégrale).

    C’est à cause du viol de cette logique, par les Généticiens, que la maladie de « Kreusfeldt Jacob 3 », a été artificiellement introduite en laboratoire. Ils ont implanté des morceaux de gènes humains (quatrième ordre de l’ontologie issu de la gamme FA), dans des chaînes d’ADN d’ovins (troisième ordre ontologique ouvrant leur partition génétique dans de la gamme Mi) afin d’en accélérer la synthèse des protéines, et donc de faire plus de profits. La loi du « seulement quantique » a violé le « qualitique ». Les Mathématiciens ne connaissent pas encore la polychromatie des vecteurs imaginaires. Il y a eu « erreur de seuil de couleurs, dans ces vecteurs ». Jouer simultanément un Mi et un Fa, sur un piano et vous comprendrez que les gènes du pauvre mouton trafiqué n’apprécient pas le « couac ». Leur structure en double hélice a cassé ! Résultat :des dizaines d’humains, sont morts en Angleterre. Les imperfections des Théories d’Einstein ont engendré des Franckeinstein.

  11. #41
    invite29707834

    Re : Qu'est-ce que le temps ?

    Je suis un autodidacte en astronomie et dans les sciences en général.
    J'ai écrit des poèmes, des essais relatifs aux sciences et à l'existentialisme en soulignant mes pensées philosophiques .
    La notion du temps a toujours été un sujet sur lequel on glisse vers l'incertitude.
    Aussi, je me suis efforcé, après mûres réflexions,à ce que pouvait bien représenter le temps? Je vous présente donc mon poème, avec une certaine émotion, intitulé:
    "Quand la conscience du temps se meurt".
    .





    Sur la branche un fruit mûr est prêt à tomber,
    Apparaît un oiseau affamé qui vient le becqueter :
    Il ne faudra guère de secousses pour rompre l’attache,
    La chute est inévitable, le sol s’approche sans relâche.

    L’arbre nourricier est à ses côtés imperturbable,
    La nature n’a pas de sentiments pour ses semblables.
    La création est éphémère, comme la destruction,
    La différence des deux se trouve dans l’observation.

    Le soleil qui semble cintrer notre ciel
    N’en demeure pas moins immobile au regard du réel.
    Les luminescences fugaces des aurores boréales
    S’effacent dans le crépuscule des ombres australes.

    A la lumière naissante, l’horizon embrasse la sphère céleste
    Nappé d’un bleu azur éblouissant d’un spectre qui reste
    Encré à jamais sur les innombrables pages de la mémoire
    Des hommes qui ont tracé les chemins de l’histoire.

    Les mers et les océans frissonnent sans cesse
    Sous les tentacules éthérés des vents qui naissent
    De nulle part, emportant le souvenir des années
    Cristallisées par les embruns d’une époque fanée.

    On pourrait énumérer indéfiniment tant de choses,
    Puis être arrêté d’un coup par une soudaine pause,
    Dans laquelle le présent impalpable s’avoue néantisé.
    Etouffant le feu de ma conscience que la vie avait attisé.

    Mais, la nature s’immobilise-t-elle pour autant ?
    Certes pas, le temps que je lui comptais en mouvements
    Etait lié à la cadence de mon cœur palpitant, savamment
    Fractionné par mon horloge cérébrale d’instants.

    La conscience engendre inéluctablement le temps,
    L’un sans l’autre se dissout tout simplement
    Dans l’inextinguible énergie de l’univers
    Qui a créé en un instant l’espace de ces vers.

    Si j’avais la réminiscence d’une vie antérieure,
    J’accorderais, peut-être, de l’originalité à la mort,
    Pendant laquelle je voyagerais dans l’éther astral
    En cherchant Dieu pour qu’il me remonte le moral.

    Voyant bien que bêtement je perdrai mon temps,
    J’adresserai mon respect à Einstein, s’il m’entend.
    Puis, méditatif face à l’empyrée étiré par l’infinité,
    Je penserai à Rodin, perplexe devant l’éternité.

    Il est possible que j’appelle Jésus, au cas où ?
    Que j’aille voir si les trous noirs avalent tout,
    Et si par hasard c’était vrai, « adieu mon karma » !
    Je serais impitoyablement transformé en magma.

    C’est là, finalement, que je serai réellement mort.
    Reste l’humanité qui, un jour, subira le même sort.
    La conséquence suscite la question suivante :
    Qui pourra bien juger du temps sans âmes vivantes

    « Mais Dieu » s’écriera le traîne savate de la confrérie.
    Ou, « mes frères, c’est Jéhovah, en vérité je vous le dis »
    Annoncera un de ses témoins en attendant Harmaguédon.
    Puis restent tous ceux qui n’ont pas encore de nom.

    Je ne pense pas que la nature nous ait créés
    Pour constater l’ampleur de sa complexité,
    Car si elle était consciente de cette stupidité
    Nous serions une erreur face à son ingéniosité.

    Nous sommes l’empreinte d’une certaine évolution,
    Condamnés à se poser sans arrêts des questions.
    Quant à l’univers lui, il existe sans passions
    Sur un écran de rêves en cauchemars sans raison.



    La vie, la conscience, le temps déterminent l’être
    Et dans l’enveloppe de cette unité nous faisons naître
    L’espoir d’une longue vie emplie de bonheur
    Qui le jour fatal nous figera dans la mort.

    Hommage à Socrate, Platon, Lao-Tseu, Pascal, Kepler,
    Einstein, Pythagore, Newton, Bergson, Montesquieu, Voltaire.
    Leur amour de la science et de la connaissance
    Ont permis à quelques - uns d’échapper à la démence.

    S’il était possible d’apprécier l’épaisseur d’une ombre
    Je construirais un temple croissant vers le sombre
    Pour présenter à la soi-disant Lumière Divine
    Les âmes effacées que sans remords elle redessine…

    Pour employer les termes juridiques de convenance,
    Je m’interroge en mon âme et conscience :
    La vie ne serait-elle pas une étude fractale
    Sur laquelle la nature déjoue son mal ?

    Malgré les dires, ce n’est pas le temps qui passe ; c’est nous !
    C’est une dimension où mouvement et inertie se nouent
    Dans les méandres de notre réseau neuronal excitant
    Nos sens entrelacés par une illusion appelée « temps »

    Le temps n’existe pas dans le monde quantique, à notre échelle
    Il n’a donc qu’une représentation macroscopique virtuelle
    Que seule notre conscience peut analyser par de nouvelles formes
    Liées à la matière ou par la pensée et cette dernière n’a pas de norme.

    Les horloges ne sont plus synonymes de temps par excellence,
    Elles indiquent un mouvement relatif par rapport à une constance
    Mécanique qui exploite une énergie aléatoire inhérente à la matière.
    Qu’elles avancent ou retardent, cela ne change rien à nos repères.

    Notre corps et nos concepts sont soumis à cette différence qu’ordonne
    Un système de coordonnées qui englobe l’ensemble d’une seule donne.
    La différence temporelle consiste à extraire un élément en le projetant
    Instantanément vers un autre espace où s’affirme un nouveau temps.





    Mais un problème fondamental se pose dans cette éventualité de fiction :
    L’impossibilité de contacter et d’avoir une réponse en temps zéro d’addition.
    Cette conséquence suscitée par notre mental exhorte des mondes supposés
    Où l’imagination peut s’intégrer sans installer ses propres composés.

    Ce manque impose une vision restreinte de l’univers qui bouleverse la raison,
    Où est la vérité absolue si tant est qu’elle existe dans toutes ses déraisons ?
    Je ne suis pas les chemins qui mènent à une impasse malgré les beaux décors
    Qui ornent les alentours : c’est un pourtour à l’instar d’un cadre sans valeur.

    L’essentiel est en soi et nulle par ailleurs, le monde n’est que référence
    Et ne possède pas le pouvoir de vous maintenir dans votre existence.
    Le temps des uns n’est pas le vôtre et réciproquement, cette petite différence
    Infinitésimale dans notre monde est un aperçu occulte de la conscience.


    Alinovitch.

  12. #42
    melchisedec

    Re : Qu'est-ce que le temps ?

    Le temps c'est le scalaire qui permet de quantifier l'évolution d'un système.

    Moi j'ai une autre question dont je n'ai pas toujours une réponse claire : Le temps et l'énergie ne sont-ils pas cousins, voir plus si affinités ?

  13. #43
    invite094d8e48

    Re : Qu'est-ce que le temps ?

    Bonjour, je relance le débat sur "Qu'est ce que le temps ?"
    Je suis tombé sur un article très intéressant concernant la gravitation quantique à boucle.
    Au final le concept est assez simple bien que très compliqué à modéliser au niveau mathématique.
    Cependant il a la vocation à unifier complètement le temps et l'espace pour ne faire qu'un.
    Voici le principe :
    L'espace n'est plus continu mais formé de petit point ( on se trouve à des échelles de l'ordre de 10E-70 : une espace discret fait de quantum d'espace).
    Au départ l'idée était basée sur des boucles et l’interaction des boucles constitue le tissus spatio-temporel.
    Puis finalement ils se sont aperçu que plutôt que de parlé d’interaction des boucles, ils étaient plutôt en présence de grain de probabilité.
    Ils ont créé ainsi ce qu'ils appellent un réseau de spin (un réseau de grain de probabilité). L'espace est donc constituer de grain de probabilité.

    Cette modélisation est intéressante car l'espace et le temps ne font qu'un et le temps est induit directement par la topologie de l'espace.
    S'il y'a interaction avec la matière qui pèse sur le tissu spatio-temporel cela induit automatiquement une modification de l'écoulement du temps car l'espace entre les grains de probabilité change.


    D'où une nouvelle définition du temps :
    Le temps c'est la vitesse d'écoulement de la lumière entre 2 grains de probabilité de l'espace temps.

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