Bonjour, j'ai trouvé beaucoup d'informations sur les techniques photographiques et holographiques, mais il reste quelques zones d'ombre, pour faire plus clair chaque question est suivie d'un numéro.
Je voudrais savoir si l'on peut faire une analogie entre la photographie interférentielle de Lippmann et l'holographie.
Les ondes enregistrées dans l'émulsion de Lippmann sont stationnaires, donc forcément destructives car opposées? (Quelles incidence sur la photographie que les ondes soient destructives ou constructives?(1)) Et c'est à ces endroits (entre les nœuds) que se forment des grains d'argent à des positions précises, après développement, on peut voir toutes les longueurs d'ondes de la photographie, pourquoi?(2) (est-ce du à la position précise des grains d'argent?)
L'holographie utilise une lumière cohérente, et il y a interférence, superposition d'ondes, et dans ce cas ci,pourquoi sont elles constructives par exemple en cas d'holographie par réflexion (faisceau originel venant du laser, les interférences sont créée par le reflet dans l'émulsion de l'objet)(3), est-ce que le fait que les ondes soient parfaitement constructives permet de recréer la phase? (4)
Et enfin, comment la phase est-elle recréée sur la plaque holographique? (5)
La taille des grains d'argent en holographie est bien plus petite qu'en photographie, pourquoi? (6)
Et pour finir, je voudrais savoir si la distance entre les franges d'interférences d est d=lambda/2n sin(theta/2)
sachant que n est l'indice de réfraction de la plaque holographique qui, j'imagine s'approche du 1,6 et theta représente l'angle entre les deux faisceaux incidents, dans le cas d'un montage en réflexion, est-ce que theta =0 si la plaque est perpendiculaire au faisceau originel? J'ai trouvé pas moins de trois formules différentes pour d, même si celle ci semble plus juste.
D'avance merci.
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