Bonjour,
L'expérience de Michelson et Morley me laisse perplexe.
Si on fait la même expérience avec une source sonore, on n'obtiendra pas plus de déplacement d'interférence, qu'avec la lumière.
Pour le son qui se propage dans l'air, il est clair que l'air du laboratoire étant entraînée par la Terre, il n'y a plus guère de vitesses qui se composent à ce niveau, et par rapport au laboratoire, l'air est au repos. On n'a du reste jamais constaté de courant d'air est ouest plus important que nord sud dans un laboratoire.
S'il est vrai que dans les deux cas (du son et de la lumière), la célérité des ondes dans leur milieux sont des constantes. Doit-on pour autant en conclure que cette célérité est indépendante du référentiel considéré ?
Ma question est donc la suivante : Le vide tel que décrit par la physique quantique actuelle ne pourrait-il pas faire office de support à la propagation de la lumière ?
Ce vide pourrait en effet lui aussi être entraîné par la rotation de la Terre.
Amicalement,
Oliver
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