Voilà, j'ai une question :
Une source lumineuse émet des photons dans toutes les directions. Qu'on les regardent comme une onde ou comme des particules, c'est pareil : l'intensité des photons reçu par un objet quelquonque décroit - du moins, il me semble, avec l'inverse du carré de la distance...
Maintenant, on a une objet diffuseur : elle reçoit des photons de l'environnement, et les réémets dans des directions aléatoires. Tout est immobile : on peut donc considérer que le flux de photon reçut en chaque partie de l'objet est constant.
On devrait donc pouvoir considéré chaque point de l'objet comme une source secondaire, une lampe qui réémet le flux des photons reçut.
Voilà ma question : quand on regarde un objet, chaque point est une source secondaire qui réémet les photons..
Alors comment est il possible que la luminosité apparente ne varie pas avec l'inverse du carré de la distance de l'oeil à l'objet ??
Imaginons qu'on prenne maintenant en compte la surface sur la rétine : la surface (le stérangle d'un objet) devrait décroitre (approximativement) comme l'inverse de la distance..
Donc, si on prend une lampe et un mur blanc immobile, dans une univers uniformément noir, la lumière qui provient de toute la surface du mur blanc décroit comme l'inverse du carré de la distance de l'observateur, et comme la surface de rétine qui voit le mur blanc diminue comme l'inverse, on peut dire que l'intensité lumineuse par unité de surface de rétine devrait diminuer comme l'inverse de la distance.
Pourtant, dans la vie de tous les jours ça devrait se voir une variation, même avec une variation comme l'inverse ??!
En bougeant la tête dans une piéce, on verrait les murs s'illuminer plus ou moins les uns par rapport aux autres ?
Ou est ce que je me trompe ??
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