Bonjour,
il y a une petite question que je me pose, suite à la lecture de mon cours sur le rayonnement dipôlaire.
Tout d'abord pour calculer le potentiel V et le potentiel vecteur A du champ créé par un dipôle vibrant, on a calculé A puis on en a déduit V en utilisant la jauge de Lorentz:
div A + 1/c²*d²V/dt² =0
Je ne comprends pas la légitimité de cette démarche.
A vrai dire, je ne comprends pas la légitimité de cette jauge de Lorentz: on l'a introduite pour la 1ère fois pour montrer que A et V vérifiaient une équation de propagation de d'Alembert si l'on ajoutait cette jauge comme condition. Mais qu'est-ce qui nous dit qu'il existe effectivement des potentiels dont le champ dérive et qui vérifient également cette jauge ?
J'aurais pu aussi bien dire: on utilise la jauge de X définie par rot A - grad V + 10Laplaciens A = 0 ou je ne sais quoi encore ...
Quelqu'un saurait me sortir de l'embarras ?
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