Je n'arrive pas à situer à quel niveau discuter. Encore une fois, je me demande si j'utilise un vocabulaire compréhensible.
Vous assenez là des assertions contraire à ce que je crois connaître. S2 n'a pas de trou. J'enlève 1 point, je crée un "trou", j'obtiens le plan. J'enlève un point du plan, je crée un deuxième "trou", j'obtiens le cylindre ; etc. Comment peut-on compter autrement ?
Exemple d'un site corroborant la manière de compter dont je parle (http://www.mathcurve.com/surfaces/genre/genre.shtml
) :
Je ne vais pas me casser la tête à en chercher d'autres, mais il y en a plein !Exemples :
- le plan (sphère moins un point), le cylindre, avec ou sans bords (sphère percée de 2 trous), sont de genre nul.
- le ruban de Möbius ouvert ou fermé (plan projectif percé d'un trou) est de genre 1.
J'avais bien compris.Pour fixer les idées ce que j'appelle lieu de singularité c'est les points où la métrique diverge, c'est un fermé de la variété d'espace temps.
Maintenant, l'autre option est de virer ces points (créer des "trous" si ce sont des points isolés), cela évite d'avoir à parler de "la métrique en ces points" (ce qui n'a pas de sens !), mais permet néanmoins de dire que la métrique diverge au même sens qu'on dit que la fonction x² diverge quand x tend vers l'infini dans R. (Et R est S1 avec un trou, et "tendre vers l'infini" est bien le pendant de parler de ce qu'il se passe "vers un trou").
Cette autre option n'a pour moi que des avantages. Quelles en seraient les inconvénients ?
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