J'ai entendu dire que si il était vrai qu'une particule dépasse la vitesse de la lumière la relativité temberait à l'eau( et un grand nombre de théorèmes physiques)
Est-ce que quelqu'un pourrait m'expliquer pourquoi ?
merci
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J'ai entendu dire que si il était vrai qu'une particule dépasse la vitesse de la lumière la relativité temberait à l'eau( et un grand nombre de théorèmes physiques)
Est-ce que quelqu'un pourrait m'expliquer pourquoi ?
merci
Bonjour,
ce qu'il se passe, c'est que l'énergie nécessaire pour accélérer une particule dépend de sa vitesse. Plus la particule va vite, et atteint des vitesses dite relativiste, plus cette énergie est élevée. Lorsque cette vitesse approche de celle de la lumière, elle augmente, augmente... jusqu'à l'infini. Donc pour franchir cette vitesse limite, il faudrait une énergie infinie, ce qui n'est pas possible. (Ceci n'est vrai que pour des particules ayant une masse).
Exemple : au LHC (ou dans n'importe quel accélérateur de particules) on accélère des particules de plus en plus vite. On injecte tout le temps de l'énergie, elels accélèrent, mais atteingnent une vitesse de 0.999(...)9 x c, mais jamais la vitesse de la lumière.
Si ça répond à votre question
\o\ \o\ Dunning-Kruger encore vainqueur ! /o/ /o/
Bonjour,
Pour présenter les choses un peu autrement, la théorie de la relativité générale implique qu'il existe une vitesse limite. C'est déduit d'hypothèses très générales et qui semblent raisonnables : isotropie de l'espace par exemple, etc...
Rien dans la relativité n'impose que cette vitesse soit celle de la lumière. Mais il se trouve que c'est ce que l'on trouve expérimentalement... et que c'est plus que largement vérifié, pour le moment
Bonne journée.
Not only is it not right, it's not even wrong!
C'est ce que je cherchai. Mercila théorie de la relativité générale implique qu'il existe une vitesse limite. C'est déduit d'hypothèses très générales et qui semblent raisonnables : isotropie de l'espace par exemple, etc...
Comme le disait Albanxii, la relativité implique l'existence d'une vitesse limite indépassable de transmission des interactions qui, expérimentalement, s'avère être la vitesse de la lumière.
Le non respect de cette limite de vitesse se traduirait par la violation de l'invariance de Lorentz. Tout contrevenant à cette règle très stricte est prié de le faire avec la plus extrême discrétion vis à vis des observateurs macroscopiques et, dans ce but, de veiller à ce que ça ne se reproduise pas statistiquement. Cette violation se traduirait par une violation statistiquement vérifiable du principe de relativité du mouvement (et la probable mise en évidence d'un référentiel privilégié, à ce jour indétectable précisément en raison du principe de relativité du mouvement et du principe de causalité relativiste qui va avec).
Il est à noter que le principe de relativité du mouvement est l'un des principes de la relativité. C'est à lui que s'attache la vitesse limite de transmission des informations et des interactions de type cause-effet. Le principe de relativité du mouvement s'ajoute aux principes de relativité de la position (homogénéité = invariance des lois de la physique selon l'endroit où on les teste = conservation de la quantité de mouvement), de l'instant (stationarité = invariance des lois de la physique selon l'instant où on les teste = conservation de l'énergie) et de l'orientation (isotropie = invariance des lois de la physique selon la direction où on les teste = conservation du moment cinétique).
C'est l'ensemble de ces 4 exigences que traduit la Relativité Restreinte (sous la forme mathématique du groupe de Poincaré).
Re,
De toute façon, chaverondier vous a donné tout ce qu'il faut pour faire les calculs vous même si le coeur vous en dit Mais...
Dans ce cas, fouillez un peu dans la bibliothèque virtuelle de physique en haut de cette rubrique. Vous y trouverez les cours d'Alain Laverne "Electrodynamique classique" et "Théorie classique des champs" qui traite de la relativité restreinte et qui donne plusieurs dérivations des transformations de Lorentz.
Sinon, le livre d'Aurelien Barrau et Julien Grain "Relativité générale" présente aussi cette démonstration d'une façon que je trouve particulièrement élégante et en explicitant les hypothèses très clairement. Mais ça n'est qu'une page ou deux sur tout le livre, alors si le reste ne vous intéresse pas, je ne peux pas vous conseiller de l'acheter.
Bonne soirée.
Not only is it not right, it's not even wrong!
on peut ajouter que la théorie n'empêche pas l'existence de ce genre de particules, sans pour autant larguer la théorie de la relativité, le hic c'est qu'il ne peut pas faire partie de notre univers détectable.
Pour être plus précis, l’hypothétique tachyon aurait une vitesse plancher égale à celle de la lumière (en fait un chouilla supérieure) et une vitesse maxi infinie.
Et vu que l'imagination n'impose pas de limites, on pourrait même lui prédire une vitesse maxi bien concrète, aussi indépassable pour lui que celle de la lumière l'est pour notre univers. Et pourquoi pas un troisième volet borné par ces nouvelles données.
En physique il n'est pas rare de voir apparaître des équations avec une des solutions qui n'est pas retenue parce que ne reflétant pas la réalité expérimentale.
Cela ne veut pas dire que cela n'existe pas mais cela ne montre pas non plus que ça existe.
L'electronique, c'est fantastique.
Bonjour,Bonjour,
Pour présenter les choses un peu autrement, la théorie de la relativité générale implique qu'il existe une vitesse limite. C'est déduit d'hypothèses très générales et qui semblent raisonnables : isotropie de l'espace par exemple, etc...
Rien dans la relativité n'impose que cette vitesse soit celle de la lumière. Mais il se trouve que c'est ce que l'on trouve expérimentalement... et que c'est plus que largement vérifié, pour le moment
Bonne journée.
C'est la théorie de la Relativité Restreinte qui implique localement l'existence d'une vitesse limite qui se trouve correspondre jusqu'à la preuve du contraire, si jamais elle existe et comme vous le précisiez, à la vitesse de la lumière.
Tout est dans le localement,
Cordialement,
Zefram
je peux croire que je sais, mais si je sais que je ne sais pas, je ne peux pas croire
Ce sera toujours le même débat. Est-ce que le photon possède une masse ?
Si non et bien on pourrait le faire accélérer à l'infini. Y aura-t-il une barrière à la vitesse aussi grande soit-elle ?
Pourquoi la vitesse de la lumière est-elle une limite ? Peut-être que le photon possède une masse aussi infime soit-elle (la plus petite masse de toutes les particules que l'on connaisse). Ce qui imposerait inévitablement une limite.
Pourquoi la relativité tomberait à l'eau sinon ? Si l'on trouve une autre particule plus rapide que la lumière et bien on remplacera C par la nouvelle vitesse référentiel maximun. Blague à part, pourquoi la vitesse de la lumière est utilisée par Einstein pour décrire la relativité ? A-t-il admis d'office que c'est la particule la plus rapide de l'Univers ?
On veut atteindre un absolue en cherchant une masse nulle ou qui tend vers 0. L'absolue c'est le parfait, la masse nulle serait la particule parfaite. En absolue le terme d'espace-temps n'a pas cours, car le passé-présent-futur dans le référentiel de la particule "parfaite sans masse" en mouvement tendant vers l'infini n'existerait pas. Pour savoir si la vitesse de la lumière était la vitesse maximale, Einstein n'a-t-il pas procédé à des raisonnements conduisant le fait que à la vitesse de la lumière, représentait déjà ce modèle qui tend vers un absolue ?
N'étant pas physicien, je n'ai pas pas la formule qui me permette de connaitre la distorsion temporelle subit dans le référentiel d'une particule avec une masse en mouvement . Cependant pour connaitre le degrés absolue du photon, il serais donc curieux de savoir qu'elle distorsion temporelle il subit dans son référentiel. De nos jours on fait des hypothèses sur la masse du photon sans véritable expérience pratique !
Ce qui suit n'est que mon avis :
Comment Einstein concevait-il la masse du photon ? A-t-il admit quelle était nulle ? Car s'il admet que le photon avait une masse nulle oubien la plus petite de l'univers cela représenterait un absolue pour lui. Ses équations tendent vers l'absolue (en terme de distorsion temporelle dans mon ex.)lorsque l'on arrive a la vitesse de la lumière C.
1)Einstein a prit la vitesse de la lumière et ainsi admis que sa masse est nulle oubien la plus petite possible dans l'univers. Comme il a admit certaines choses (comment pourquoi ?)les équations reposent sur la base que la vitesse de la lumière est l'absolue. Et donc oui, partant de là, la relativité tomberait à l'eau ?
2)Einstein a prévus le coup, il ne savait pas si la vitesse de la lumière était absolue, et donc ses équations ne sont pas basés sur un référentiel particulier.
3)La relativité ne tombe pas à l'eau jusqu'à maintenant, la preuve on l'utilise dans les GPS. Ainsi qu'une expérience bien connue qui a été faite avec les horloges atomiques. Cependant à ces vitesses négligeables par rapport à la vitesse de C, on ne pourra pas faire l'expérience pratique de savoir si C est absolue ou non. On a fait l'expérience en pratique pour ces horloges atomique, mais a-t-on vérifié en théorie si cela collait à la pratique en fonction de la vitesse de l'avion etc ?? Trop de paramètres. Et aussi,la vitesse de l'avion est négligeable par rapport à C. Ce qui est curieux de voir, c'est si l'on changerait la valeur de C dans les équations pour une plus grande vitesse, est-ce que la distorsion temporelle changerait beaucoup ? Tout est terme de rapport.
Plus la vitesse augmente plus la distorsion temporelle du référentiel changera. On n'a pas encore fait de test en pratique à des vitesses de C/5 ; C/4 pour vraiment voir si la distorsion colle à la théorie.
Donc si en pratique à des vitesses de la lumière on arriverait à mesurer la distorsion dans le référentiel en mouvement et que cela collerait en théorie avec la relativité, rien est à changer, la vitesse de la lumière serait le référentiel absolue. Si on contraire plus on tend en pratique vers la vitesse de la lumière, plus il y aura un décalage avec la théorie. Alors là oui la relativité ne tomberait pas à l'eau, mais devrait partiellement être modifier pour accueillir d'autre référentiels absolue....
Enfait, un photon, voit-il l'univers dans son ensemble passé-présent-futur confondu ?
Mais mon idée était posée pour faire réfléchir.
Je ne veux pas inventer de réalité psychique. Einstein en a donné une avec les jumeaux.
Si le photon dans son référentiel en mouvement verrait l'univers dans un sorte d'absolue, on ne pourrait pas quantifier ce qui se passe à des vitesses plus petites. L'univers n'étant pas infini, en pratique on voit qu'il existe des bornes (temps-espace de Planck, Kelvin etc....) on peut très bien penser à une vitesse limite qui nous interdirait d'être dans cet absolue.
Et donc le photon avec sa masse infime, ne verrait pas le temps (passé-présent-futur) dans un absolue.
Finalement ma pensée : plus la particule possède une masse tendant vers 0, plus grande pourra être sa vitesse, ainsi que sa distorsion temporelle.
Pour répondre à la question initiale du topic, si en pratique à la vitesse proche de C, on trouverait des décalages niveau distorsion temporelle par rapport à la théorie, la relativité ne serait pas parfaite.Car étant donné que la vitesse de la lumière ait été prise pour référentiel absolue, il existerait un autre référentiel de vitesse plus grande.
Ca donnerait lieu à un référentiel privilégié en conflit avec le principe de relativité du mouvement. Le référentiel privilégié en question serait celui dans lequel la simultanéité au sens de l'envoi de particules voyageant à la vitesse c ce serait la même que la simultanéité au sens de l'envoi de particules voyageant à la vitesse C. On a alors un espace-temps un peu moins symétrique que l'espace-temps de Minkowski (c'est l'espace-temps de Minkowski "moins l'invariance de Lorentz"). En gros, ça devient le produit E1xE3 c'est à dire l'espace-temps qu'en général on appelle espace-temps de Newton (il a un autre nom, évoquant clairement son groupe de symétrie, mais ce nom est moins connu).
Quel est cet autre nom moins connu ?Ca donnerait lieu à un référentiel privilégié en conflit avec le principe de relativité du mouvement. Le référentiel privilégié en question serait celui dans lequel la simultanéité au sens de l'envoi de particules voyageant à la vitesse c ce serait la même que la simultanéité au sens de l'envoi de particules voyageant à la vitesse C. On a alors un espace-temps un peu moins symétrique que l'espace-temps de Minkowski (c'est l'espace-temps de Minkowski "moins l'invariance de Lorentz"). En gros, ça devient le produit E1xE3 c'est à dire l'espace-temps qu'en général on appelle espace-temps de Newton (il a un autre nom, évoquant clairement son groupe de symétrie, mais ce nom est moins connu).
Bonsoir,Mais mon idée était posée pour faire réfléchir.
Je ne veux pas inventer de réalité psychique. Einstein en a donné une avec les jumeaux.
Si le photon dans son référentiel en mouvement verrait l'univers dans un sorte d'absolue, on ne pourrait pas quantifier ce qui se passe à des vitesses plus petites. L'univers n'étant pas infini, en pratique on voit qu'il existe des bornes (temps-espace de Planck, Kelvin etc....) on peut très bien penser à une vitesse limite qui nous interdirait d'être dans cet absolue.
Et donc le photon avec sa masse infime, ne verrait pas le temps (passé-présent-futur) dans un absolue.
Finalement ma pensée : plus la particule possède une masse tendant vers 0, plus grande pourra être sa vitesse, ainsi que sa distorsion temporelle.
Soit le photon possède une masse même infime comme les neutrinos, dans ce cas sa vitesse même si elle est proche de la vitesse de la lumière est strictement inférieure à C.
En admettant qu'il n'exsite pas de particules sans masse, cela voudrait simplement dire qu'il existe une vitesse limite qu'on ne peut dépasser et qu'il n'y a pas de particules capables d'évoluer à C.
Soit il est dénué de masse, et sa vitesse de propagation est strictement égale à C qui est la vitesse de propagation des particules sans masse, dont le photon n'est que l'élément le plus visible ce qui fait que cette vitesse de propagation est appelée à tort vitesse de la lumière.
Cordialement, Zefram
je peux croire que je sais, mais si je sais que je ne sais pas, je ne peux pas croire
Enfait c'est la vitesse de propagation du photon qui est à la base de la définition de la vitesse de la lumière qui est de 299 792 458 m / s ? Non ?Bonsoir,
Soit le photon possède une masse même infime comme les neutrinos, dans ce cas sa vitesse même si elle est proche de la vitesse de la lumière est strictement inférieure à C.
En admettant qu'il n'exsite pas de particules sans masse, cela voudrait simplement dire qu'il existe une vitesse limite qu'on ne peut dépasser et qu'il n'y a pas de particules capables d'évoluer à C.
Soit il est dénué de masse, et sa vitesse de propagation est strictement égale à C qui est la vitesse de propagation des particules sans masse, dont le photon n'est que l'élément le plus visible ce qui fait que cette vitesse de propagation est appelée à tort vitesse de la lumière.
Cordialement, Zefram
La vitesse de la lumière a été défini expérimentalement par la pratique.
Mais théoriquement, comment a-t-on trouvé cette vitesse de 299 792 458 m / s ? Quels éléments sont rentrés en compte dans la démonstration ? Quelle relation entre masse nulle et C = 299 792 458 m / s ???
Bonjour,Enfait c'est la vitesse de propagation du photon qui est à la base de la définition de la vitesse de la lumière qui est de 299 792 458 m / s ? Non ?
La vitesse de la lumière a été défini expérimentalement par la pratique.
Mais théoriquement, comment a-t-on trouvé cette vitesse de 299 792 458 m / s ? Quels éléments sont rentrés en compte dans la démonstration ? Quelle relation entre masse nulle et C = 299 792 458 m / s ???
En fait à la base on avait définit un mètre étalon et un seconde étalon. Au début, avec des réflecteurs posés sur la Lune par les missions Apollo (dès les premières missions) on s'amusait à calculer la vitesse de la lumière à l'aide d'un faisceau laser qui faisait l'aller retour (dans la pratique c'est un peu plus compliqué car il faut repérer les photons de ton laser parmi les autres). Ensuite on a fixé la valeur de la vitesse de la lumière à une valeur entière que tu a rappelé et on a redéfinit le mètre et la seconde en fonction.
on a
donc
Si la particule à une masse m non nulle tu obtiens la quantité de mouvement,
Si la particule n'a pas de masse.
d'où V = C
Donc il existe une vitesse de propagation limite C qui correspond à la vitesse des particules sans masse. Maintenant si la vitesse des photons correspond à C alors la vitesse de la lumière est égale à C. Sinon, si les photons ont une masse, les photons se propage à une vitesse V en moyenne égale (parce que s'ils ont une masse cette vitesse doit varier) à 299 792 458m/s qui est inférieure à C. Et comme la masse des photons serait à priori très faible, C ne doit pas être de beaucoup supérieure à V mais supérieure quand même.
Maintenant, comme le postulat de la relativité dit explicitement que la vitesse de la lumière ( En réalité la vitesse de propagation des particules de masse nulle )est constante dans tout référentiel inertiel, dénué d'accélération, comme le dirait Einstein, dans un champ de gravitation, la valeur vitesse de propagation de la vitesse de la lumière dépend nécessairement du lieu.
Cordialement,
Zefram
je peux croire que je sais, mais si je sais que je ne sais pas, je ne peux pas croire
BonjourEnfait c'est la vitesse de propagation du photon qui est à la base de la définition de la vitesse de la lumière qui est de 299 792 458 m / s ? Non ?
La vitesse de la lumière a été défini expérimentalement par la pratique.
Mais théoriquement, comment a-t-on trouvé cette vitesse de 299 792 458 m / s ? Quels éléments sont rentrés en compte dans la démonstration ? Quelle relation entre masse nulle et C = 299 792 458 m / s ???
en théorie grace aux valeurs de la constante électrique et de l'impédance du vide.
l'une (8.854187... 10-12 Farad/m) divisé par l'autre (376.730... ohms) donne exactement 1 / c
quand à la relation entre la masse nulle et 'c', elle se trouve dans l'équation d'Einstein, largement démontrée depuis plusieurs générations d'accélérateurs de particules.
L'electronique, c'est fantastique.
ce n'est pas divisé mais multiplié...
L'electronique, c'est fantastique.
Tu pourrais me démontrer la relation entre la masse nulle et C à partir de l'équation d'Einstein? STP.
Il me semble pour ma part l'avoir démontré plus haut, mais il existe peut être une autre démonstration.
Zefram
je peux croire que je sais, mais si je sais que je ne sais pas, je ne peux pas croire
je présume que c'est pour moi ?
ce n'est pas une démonstration à proprement parler, tu l'as fait correctement.
Je voulais souligner E = Eo / racine (1-v²/c²), puisque qu'une particule de masse non nulle ne peut qu'avoir v<c alors M est forcément nulle si v=c.
L'electronique, c'est fantastique.
Bonnes explications.
C'est ce que je voulais savoir.
Donc en résumé la vitesse de la lumière qui est de C = 299 792 458 m / s est un absolue inatteignable en quelque sorte, seulement pour les particules sans masse. A-t-ton vraiment la preuve qu'il existe des particules sans masses ?
Deplus même s'il existerait des particules avec masse nulle, ne seraient-elle pas perturbés par des influences extérieures tel que des champs gravitationnels pour ne jamais atteindre C.
Un photon possède une masse nulle au repos, mais quel intérêt de parler de repos pour un photon.
Si même celui-ci posséderait une quelconque masse aussi petite soit-elle, à des vitesse tellement grandse lorsque qu'il serait en contact avec la matière devrait se réintégré. Je sais une particule n'est pas de la matière. La masse peut-elle alors être équivalente à de l'énergie pour le photon ?
J'aimerai vraiment connaitre la distorsion temporelle que subit une particule à la vitesse proche de C dans son référentiel. On parle de jumeaux qui voyagent, par curiosité, je veux du concret. Une particule qui voyage à 299 792 350m/s pendant 10ans dans mon référentiel, combien de temps pour elle dans son référentiel ? Et aussi à C l'absolue pour une masse non-nulle, combien de temps pour son référentiel ?
Des questions que je me pose pour voir plus loin. Notamment de faire un rapport avec la physique quantique.
Si je prends l'exemple d'un système intriqué, deux objets séparés spatialement interagissent en même temps entre eux sont donc étudiés globalement. Si effectivement des particules voyagent vraiment à C = 299 792 458 m / s se pourrait-il que dans leurs référentiel leurs distorsion temporelle est telle que passé-présent-futur sont quasi-confondus, serait-ce un début de raisonnement pour expliquer la simultanéité de leurs interaction dans l'espace qui sépare les deux objets ?
Dernière modification par philname ; 10/07/2012 à 20h01.
pour te répondre je vais utiliser ton texte car il y a du bon et du mauvais, mais la réflexion y est.
Donc en résumé la vitesse de la lumière qui est de C = 299 792 458 m / s est la vitesse des photons et est un absolu inatteignable pour les particules dotées d'une masse si la masse des photon est nulle. Mais si les photons ont une masse, alors il existe une vitesse de propagation des particules de masse nulle légèrement supérieure à C=299 792 458 m/s. Les neutrinos ont une masse très faible, leur vitesse de propagation est très proche de celle des particules de masse nulle C= 299 792 458 m/s (aux dernières nouvelles). Mais si on découvrait une masse au photons, alors il existerait une vitesse de propagation des particules de masse nulle très légèrement supérieure à 299 792 458 m/s mais supérieure quand même.
A-t-ton vraiment la preuve qu'il existe des particules sans masses ?
Théoriquement, c'est possible au regard de la démonstration. Maintenant, à ma connaissance seul le photon est une particule de masse nulle mais si preuve il y a, elle est empirique parce qu'ilne faut pas oublier, comme il l'a été rappelé qu'Einstein à démontré qu'il exsistait une vitesse limite que l'on ne pouvait franchir, avec comme conséquence que cette vitesse correspondait la vitesse de propagation des particules de masse nulle, mais il a identifié cette vitesse à celle de la lumière.
Deplus même s'il existerait des particules avec masse nulle, ne seraient-elle pas perturbés par des influences extérieures tel que des champs gravitationnels pour ne jamais atteindre C.
les photons (sous entendus de masse nulle à partir de dorénavant) sont perturbé par les champs gravitationnels : déflection de la lumière et effet Shapiro, mais en tout état de cause leur vitesse de propagation reste toujours égale à la vitesse de la lumière.
Pour l'heure le consensus dit que la vitesse de la lumière est une constante physique, que sa valeur est localement égale à 299 792 458. Je pense pour ma part qu'elle varie dans un champ de gravitation (je m'y emploi à le démontrer ou tout du moins à ne pas me faire démontrer le contraire, restons modeste).
Un photon possède une masse nulle au repos, mais quel intérêt de parler de repos pour un photon.
Mais das tous les cas, la vitesse des photons reste localement égale à la vitesse de propagation des particules de masse nulle, c'est à dire celle de la lumière puisque les photons qui véhiculent l'énergie lumineuse sont dénués de masse.
Si même celui-ci posséderait une quelconque masse aussi petite soit-elle, à des vitesse tellement grandse lorsque qu'il serait en contact avec la matière devrait se réintégré. Je sais une particule n'est pas de la matière. La masse peut-elle alors être équivalente à de l'énergie pour le photon ?
La masse est reliée à l'énergie par E=mc² lorsque la particule est au repos. Il existe deux formes d'énergies l'énergie matérielle véhiculée par des particules possédant une masse; et l'énergie immatérielle véhiculée par des particules de masse nulle. Ce sont les supports de l'énergie. Toute autre forme d'énergie est une combinaison des deux.
A la base, l'énergie contenue dans une pile électrique est une énergie potentielle, pour la libérer il faut la relier à un circuit électrique deux fils de fer et une ampoule par exemple. l'énergie électrique obtnue grâce à ta pile va être celle des électrons qui vont glisser sur le fil et est donc dans ce cas une énergie matérielle. mais sans circuit l'énergie de ta pile électrique n'est que celle de sa masse multipliée par la vitesse de la lumière au carré si elle est simplement posée sur une table.
la force de gravitation n'agir pas directement sur la masse mais sur l'énergie qu'elle représente. Comme la force de gravitation ne fais pas la distinction entre l'énergie matérielle et l'énergie immatérielle, elle agit également sur les photons.
J'aimerai vraiment connaitre la distorsion temporelle que subit une particule à la vitesse proche de C dans son référentiel. On parle de jumeaux qui voyagent, par curiosité, je veux du concret. Une particule qui voyage à V=299 792 350m/s pendant 10ans dans mon référentiel, combien de temps pour elle dans son référentiel ? Et aussi à C l'absolue pour une masse non-nulle, combien de temps pour son référentiel ?
pour une particule de masse nulle, il suffit de remplacer V par C et tu obtiendras 0. Mais les particules de masse nulles n'ont pas de référentiel propre à eux. C'est la conséquence du postulat de la relativité qui dit que la vitesse de la lumière est constante pour tous les système de référence (référentiels) dotés d'un mouvement inertiel entre eux; j'insisterai jamais assez pour dire que dans un champ de gravitation, deux référentiels situés à une distance différente sur une même radiale du centre de la source du champ de gravitation ne sont pas inertiels entre eux.
Des questions que je me pose pour voir plus loin. Notamment de faire un rapport avec la physique quantique.
Si je prends l'exemple d'un système intriqué, deux objets séparés spatialement interagissent en même temps entre eux sont donc étudiés globalement. Si effectivement des particules voyagent vraiment à C = 299 792 458 m / s se pourrait-il que dans leurs référentiel leurs distorsion temporelle est telle que passé-présent-futur sont quasi-confondus, serait-ce un début de raisonnement pour expliquer la simultanéité de leurs interaction dans l'espace qui sépare les deux objets ?[/QUOTE] Je suis une bille en physique quantique mais les photons n'ayant pas de référentiels propre à eux n'ont pas de passé de présent ni de futur.
Aussi si tu projette avec une lampe un photon contre un mur. Que tu définis ton temps d'origine comme la date à laquelle ton photon est à mi chemin de la distance D séparant la lampe du mur. donc tu va dire que à tp= -d/2C le photon est parti de la lampe (passé) et qu'au temps futur tf = d/2C il atteindra le mur. Mais ce ne sera pas le passé, le présent, le futur du photon, qui n'en a pas, mais ce sera ton passé, ton présent, et ton futur.
Donc si ton idée de fusion du temps passé-présent-futur est loins d'être une idiotie, c 'est impropre au photon et plus généralement aux particules de masse nulle parce que cela sous-entend l'existence d'un temps propre, d'un référentiel, pour ces particules.
Cordialement,
Zefram
je peux croire que je sais, mais si je sais que je ne sais pas, je ne peux pas croire