Bonjour,
Je viens vous présenter une théorie qui veut :
_ Corriger la loi de la relativité générale.
_ Présenter un modèle en remplacement du modèle standart en enterrant à jamais les notions d'énergie noire et de matière noire.
_ Et peut-être, mais selon toute logique ce devrait être le cas, unifier les forces.
Avant-propos :
Je m'apelle XXXXXXX, mon niveau d'étude est trés faible, mes connaissances en mathématique frôle le néant, mais il n'y a pas de raison pour que cela m'empêche de comprendre les principes de relativité ni d'être logique.
Je vais présenter une théorie qui va pointer du doigt avec précision comment corriger la relativité générale, Il ne manquera qu'une mise en équations mathématiques que je supose relativement aisée pour tout bon scientifique, professeur ou même étudiant, il est vain de me reprocher de ne pas l'avoir fait, j'en suis incapable.
Si vous pensez que ma théorie est fausse, prouvez-le.
Le point de départ de la théorie : un univers dont l'expansion s'accélère
N'étant pas trés intelligent et de surcroit trés fainéant, j'ai des raisonnements d'une simplicité infantile.
S'il y a accélération, c'est qu'en faisant défiler le film à rebours il y a décélération, et je me dis qu'à force de ralentir on risque fort de se retrouver au bout d'un moment ... à l'arrêt.
Je sais que cela ne correspond pas à ce qui est observé mais comme j'ai l'intention de retoucher la RG une nouvelle interprétation des observations s'en suivra fatalement.
L'accélération de l'univers est plus forte dans les zones sombres de l'univers, ce qui laisse suposer que la matière (ou plutôt l'énergie sous toutes ses formes) freine l'expansion et qu'il doit y avoir un seuil énergétique pour lequel l'expansion est nulle.
Si nous poursuivons ce raisonnement en supposant donc que l'expansion de l'univers à toujours été en accélération, nous aboutissons à un univers primordial homogène, avec une énergie donnée constituant le seuil maximum et avec une vitesse d'expansion ..... nulle (adieu big-bang).
L'expansion étant un phénomène lié à une énergie moindre, la moindre hétérogénéité lance le processus (procédé de démarrage déja décrit dans le modèle standart).
A ce stade je soupçonne les trous noirs d'être un retour à ce stade énergétique primordial avec vitesse d'expansion nulle, ceux-ci ne démarrant pas de phénomène d'expansion du fait qu'ils disposent d'une bordure.
Retour sur l'expérience de pensée des voyageurs de langevin :
Nous avons donc deux frères jumeaux, l'un reste sur terre tandis que l'autre part se promener dans l'espace à une vitesse proche de la vitesse de la lumière.
A son retour sur terre, celui qui a voyagé se retrouve être beaucoup plus jeune que celui qui est resté.
Un novice pourrait alors avoir ce raisonnement :
Je l'ai vue parcourir telle distance à une vitesse proche de la lumière, mais lui l'a fait en beaucoup moins de temps que je ne l'ai vu le faire : il a donc dépassé la vitesse de la lumière.
Mais nous, nous savons que c'est faux, il n'a pas dépassé la vitesse de la lumière, il a déformé l'espace-temps et a parcouru une distance moindre que celle perçue sur terre.
Revenons à la lumière maintenant :
La vitesse de la lumière est constante, mais la lumière peut traverser des espaces-temps différents.
Observée depuis notre dimension d'espace-temps, elle pourra dans un sens parcourir des distances de plus en plus importantes jusqu'à l'infini et dans l'autre sens des distances de moins en moins importantes jusqu'à être nulles, dans quel cas nous ne la verrions plus.
Observons l'univers pour nous demander si quelque part la distorsion de l'espace-temps fait disparaitre la lumière à nos yeux ébahis, et hop : les trous noirs
Distances nulles me semble parfaitement en accord avec expansion nulle.
Alors vous me direz les trous noirs n'ont pas des distances nulles puisque nous pouvons discerner leurs bordures, mais c'est parce que nous jugeons ces distances du point de vue de notre dimension d'espace-temps.
La dimension d'un trou noir combiné à sa masse est une mesure de NOTRE courbure d'espace-temps.
Mais du point de vue du trou noir les distances n'existent pas et sa courbure d'espace-temps est nulle.
Expansion de l'univers :
Nous avons donc pour les trous noirs une courbure d'espace-temps nulle et pour le vide une courbure d'espace-temps infini.
Donc : moins il y a d'énergie, plus la courbure d'espace-temps est importante et l'expansion rapide.
Et c'est là que l'on peut pointer du doigt le défaut de la RG.
La Relativité Générale :
Maintenant tout devient simple à comprendre, c'est le postulat de départ qui est mauvais dans la RG.
Celui-ci dit que la matière (ou l'énergie) déforme l'espace-temps et que donc dans le vide la courbure de l'espace-temps est nulle.
C'est une vision newtonienne apliquée à la relativité et cela ne marche évidement pas.
C'est le défaut d'énergie qui déforme la courbure de l'espace-temps et dans le vide la courbure d'espace-temps devient infini.
XXXXXXX
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