Pour toute question, il y a une réponse simple, évidente, et fausse.
Comme l'explique Phys4, un photon garde son énergie et est "directionnel", c'est le flux qui diminue avec la distance.
Donc comment se fait-il que le photon par exemple ne se dissipe pas en 3 dimensions comme le ferait le son par exemple? Le son peut perdre de l'energie avec la distance et se dissiper, mais pas le photon, pourquoi?
Bah c'est comme ça.
Pourquoi tenir à vouloir rapprocher le comportement de la lumière avec celui d'une onde sonore ?
Le concept de photon n'est pas simple, ce n'est pas une petite bille qui part de quelque part et arrive ailleurs.
Le concept de photon est un concept à la fois quantique et relativiste (masse nulle, vitesse c), ce qui le rend tout sauf intuitif.
Vous raisonnez là en terme de particule, et des fois ça marche, des fois ça marche pas. La question que vous posez tombe dans "ça marche pas". L'approche qui marche pour parler de "dissipation avec la distance" est l'ondulatoire.
Il y a une approche pas exactement ondulatoire, mais quantique (sans être rigoureux, c'est juste une image) : la probabilité d'être absorbé pour un photon diminue avec la distance. Il y a bien une "dilution spatiale", mais elle se traite en termes de probabilité.
Pour toute question, il y a une réponse simple, évidente, et fausse.
Parce que les 2 milieux se propagent dans des milieux tridimensionnels. L'espace est particulier car les ondes qui se propagent dedans ne se dissipent pas. Il doit bien y avoir une raison.
De ce que je comprends la particule est "diluée" dans son onde, elle a une certaine probabilité d'etre a tel endroit de son onde. Et c'est la particule qui garde l'energie a cet endroit la.Le concept de photon n'est pas simple, ce n'est pas une petite bille qui part de quelque part et arrive ailleurs.
Le concept de photon est un concept à la fois quantique et relativiste (masse nulle, vitesse c), ce qui le rend tout sauf intuitif.
Vous raisonnez là en terme de particule, et des fois ça marche, des fois ça marche pas. La question que vous posez tombe dans "ça marche pas". L'approche qui marche pour parler de "dissipation avec la distance" est l'ondulatoire.
Il y a une approche pas exactement ondulatoire, mais quantique (sans être rigoureux, c'est juste une image) : la probabilité d'être absorbé pour un photon diminue avec la distance. Il y a bien une "dilution spatiale", mais elle se traite en termes de probabilité.
Est-ce que ce serait possible d'avoir une onde sans particule dedans qui se dissiperait en 3 dimensions, ou bien est-ce que ca serait impossible parce que l'onde ne peut pas perdre son énergie?
C'est plutôt dans l'autre sens. Une onde est en général quelque chose qui s'étale "dans le vide", qui se "dissipe" (pas vraiment le terme adapté) dans l'espace (vide).
Pour toute question, il y a une réponse simple, évidente, et fausse.
C'est ca que je voulais dire, que se passerait-il si une onde n'avait pas de particule, est-ce qu'elle se dissiperait en 3 dimensions?
Autrement dit, est-ce que ce n'est pas normal que les ondes "directionnelles" ait la dualite onde-particule, parce que sinon, elles se dissiperaient.
Pas facile de vous suivre et vous répondre, vous utilisez des expressions d'une manière assez différente de leur usage en physique.C'est ca que je voulais dire, que se passerait-il si une onde n'avait pas de particule, est-ce qu'elle se dissiperait en 3 dimensions?
Autrement dit, est-ce que ce n'est pas normal que les ondes "directionnelles" ait la dualite onde-particule, parce que sinon, elles se dissiperaient.
Je vous propose les "bases" suivantes :
Un modèle particulaire ne présente pas de "dissipation" (au sens où vous l'employez).
Un modèle ondulatoire présente une "dissipation".
Les modèles de la physique quantique ne sont ni particulaire, ni ondulatoire, et si on y cherche quelque chose comme une "dissipation", ce sera en termes de probabilité.
Pour toute question, il y a une réponse simple, évidente, et fausse.