Effet de ventouse, comme l'inverse d'un overcraft, c'est-à-dire l'interposition d'une jupe qui modifie la géométrie de contact, donnant non-plus un disque, mais une surface comprise entre deux cercles ayant des rayons voisins et centre commun?
Re.
Tant pis si Obi76 trouve que je ne garde pas mon sérieux.
Imaginons donc, qu'il y a longtemps il y a eu chez les éléphants une mutation (Elephas orophaperipatus) qui leur permettait de marcher sur le plafond.
Manque de chance, l'absence presque totale de plafonds à l'époque (sauf dans les cavernes) fit que cette mutation ne leur donnât aucun avantage évolutif. Ainsi, cette mutation disparut. C'est la rasions pour laquelle, alors que nous avons beaucoup de plafonds, les éléphants ne marchent pas sur les plafonds.
A+
Pourquoi pas. Mais il faut justifier que ta sujetion n'est plus fondamentalement une compétition effet de volume contre effet de surface.
Bonjour,
Je tente un truc : la surface des pattes des éléphants est bombée vers l'intérieur (un peu comme un dôme à l'envers). Lorsqu'il pose la patte, le dôme s'écrase en chassant l'air et fait effet ventouse sur le plafond. L''éléphant tient!!
Si l'image n'est pas claire, faire l'analogie avec une ventouse pour les WC qu'on écrase au sol...
"Quand le calcul est en contradiction avec l'intuition, je refais le calcul"
Peut-être même, alors, à faire participer une relation inverse, en 1/r3, et ajouter un ou des paramêtres...
Pour établir une relation, les seuls données de masse et volume de l'interstice de contact, d'une part, et masse de l'éléphant, d'autre part, suffisent-elles?
Absolument c'est ça l'idée , ce qui est interessant c'est d'essayer d'étre un peu plus explicite, essayer d'ecrire un modèle avec de toutes petites équations simples qui montre que le phénomène que tu envisages c'est du r3 contre du r3.
Ne restent que le volume potentiel fait par une sphère de rayon correspondant à celui de la surface de contact (optimisée par un disque), la masse de l'éléphant (on déclare connaître sa masse volumique), et la gravitation. Y-at'il autrechose à envisager avant de conjuguer?
De façon microscopique les pattes des éléphants pourraient ne pas être plate. Ainsi la surface en contact avec le plafond pourrait être énormément supérieur à celle d'un disque (oui j'ai décidé qu'un éléphant avait les pattes rondes ) et ainsi, l'adhérence étant proportionnelle à l'aire, les grosses bestioles peuvent marché au plafond (c'est grosso modo la stratégie du gecko, non ?)
Sinon il faudrait que les éléphants cours suffisamment vite, mais vu leur aérodynamisme ca semble compromit ^^
Je n'ai pas la réponse puisque il s'agit d'un exercice d'imagination.
si je prends ton idée de ventouse il faut créer un volume vide d'air (pour avoir une force dirigée vers le haut du a la pression atmosphérique de 1kg/cm2) dont la surface serait celle des pattes.
Donc pour un éléphant d'une tonne (1000 kg) il faut une surface de 1000 cm2 soit 10 dm2 cad une surface "réaliste". Il faut que l'éléphant pompe un certain volume d'air, autrement dit que les mutations aient abouti a des pompes a vide!!!!!
Mariposa nous a enseigné que l'adhérence est proportionnelle au volume (de vide?) engendré.
Maintenant, il nous reste à inventer une largeur de patte et voir, compe-tenu que quand il marche, il en a trois de posées, quelle peut-être la largeur de chacune, pour que le creux dans les pattes ne remonte pas jusqu'aux noisettes (prihhhh....) de l'éléphant. On peut penser qu'un galbe de ses pattes correspondant à la meilleure solution abouti, une fois pendu, à une sphère? Pas si facile. Si tu peux établir le modèle de base de l'équation, j'ai un peu de mal avec la rigueur...
Edit. Excuses, Mariposa. Vous avez posté juste avant.
Ou alors, peut-être pourrait-on imaginer des éléphants avec des pattes chargées électriquement, et qui puissent alors interagir avec le plafond (qu'on pourrait supposer chargé négativement). Le problème serait qu'au niveau de l'éléphant, la force électrostatique n'est pas suffisante...
Et encore faudrait-il trouver un plafond de cette sorte! Et de toute façon, je doute que la sélection naturelle pousse les éléphants à vouloir s'accrocher au plafond ^^
B'jour,
Pour décoller une patte, le gecko commence par relever le bout des doigts et ainsi de suite phalange par phalange jusqu'à ce que les doigts soient recourbées en arrière. La force nécessaire n'est donc qu'une petite partie de la force d'adhérence totale.Ce sont celles que j'ai mentionnées. On dit avoir trouvé comment l'adhérence a lieu (lamelles, etc.), mais on ne s'occupe pas de savoir comment fait le gecko pour décoller une patte une fois collée, ni comment fait-il pour que la poussière ne se colle pas aux magnifiques pattes adhésives.
Pour la poussière, je ne sais pas.
En plus ils ont les doigts gras, ils laissent des empreintes.
Mais si t'as l'gosier, Qu'une armure d'acier, Matelasse. Brassens, Le bistrot.
Bonjour Sitalgo.B'jour,
Pour décoller une patte, le gecko commence par relever le bout des doigts et ainsi de suite phalange par phalange jusqu'à ce que les doigts soient recourbées en arrière. La force nécessaire n'est donc qu'une petite partie de la force d'adhérence totale.
Pour la poussière, je ne sais pas.
En plus ils ont les doigts gras, ils laissent des empreintes.
Oui. La force est plus faible. Mais le travail reste important. C'est comme pour décoller du velcro.
Je ne savais pas qu'ils laissaient des empreintes. C'est peut-être une piste pour le mécanisme de diminution de l'adhésion. Attendons que les biologistes fassent le rapprochement.
Cordialement,
Bonjour,Ou alors, peut-être pourrait-on imaginer des éléphants avec des pattes chargées électriquement, et qui puissent alors interagir avec le plafond (qu'on pourrait supposer chargé négativement). Le problème serait qu'au niveau de l'éléphant, la force électrostatique n'est pas suffisante...
Et encore faudrait-il trouver un plafond de cette sorte! Et de toute façon, je doute que la sélection naturelle pousse les éléphants à vouloir s'accrocher au plafond ^^
Encore une autre idée. On pourrait imaginer que l'éléphant a dans un premier temps les pattes conductrices et déposent en surface du plafond des charges électriques. Dans un deuxième temps, l'extrémité de ses pattes deviennent isolantes et forment un condensateur électriquement chargé. C'est original!!