Salut !
Lorsque Bohr a adapté le modèle de Rutherford, il a du résoudre une problème :"Le problème posé par ce modèle est que l'électron, charge électrique accélérée, devrait selon la physique classique, rayonner de l'énergie et donc finir par s'écraser sur le noyau."
Je conçois que les électrons émettent de la lumière donc de l'énergie mais pourquoi cela implique-t-il qu'ils vont finir par s'écraser sur le noyau en physique classique avant le modèle de Bohr ?
Il me semble qu'il y est une piste avec les équations d'Einstein avec Ec=mv² effectivement on peut comprendre que si l'énergie diminue la masse diminue est l'électron v² étant constante mais bon je peux pas aller plus loin... Qu'en dite vous ?
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A 8 km/s la fusée est en orbite circulaire basse. Elle se fait fournir temporairement de l'énergie cinétique par son propulseur pour passer instantanément à 11 km/s à rayon constant. Elle se retrouve alors au périgée d'une orbite elliptique de transition qui va l'emmener à rayon plus élevé. Plus sa distance à la Terre va augmenter, plus sa vitesse va diminuer à partir de ces 11 km/s. Une fois arrivée à l'apogée, elle sera retombée à moins de 8 km/s. Elle va devoir à nouveau se faire fournir temporairement de l'énergie cinétique par son propulseur pour rester sur une orbite circulaire à rayon constant. Et sur cette nouvelle orbite haute circulaire, même avec ce nouvel apport d'énergie cinétique, elle ira à moins de 8 km/s, selon la loi en v=K/sqrt(r) par rapport à l'orbite basse. C'est ce que j'entends par diminution de la vitesse quand le rayon augmente. J'ai déjà dit qu'effectivement à rayon constant il fallait perdre de la vitesse pour passer à une orbite plus basse, et c'est ce que fait le freinage de rayonnement. Mais une fois cette orbite plus basse atteinte, la vitesse est plus élevée, pour l'électron comme pour la fusée.