non. Cette énergie correspondant en fait à l'énergie au repos du boson de Higgs et donc sa masse, elle n'est pas quantifiée
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je vous trouve bien affirmative. La recherche en physique des particules ne fonctionnent pas comme ca.Conclusion : si une théorie prédit l'existence et les propriétés d'une particule et que les physiciens expérimentateurs ne trouvent pas cette particule, les physiciens théoriciens vont émettre de nombreuses hypothèses que les physiciens expérimentateurs expérimenteront dès que possible. Mais quelle est la nature de ces hypothèses ? L'une de ses hypothèses peut-elle être ontologique ?
Merci.
Eva
Déjà c'est une discipline où expérience et théorie se renvoient constamment la balle.
Mais bon plaçons nous dans le cas de figure que vous décrivez. Déjà, il faut que les particules citées aient une masse dans la gamme d'énergie des accélérateurs actuels (ce qui n'est pas le cas, loin de là de toutes les particules).
Ensuite s'il s'agit d'une particule dans la bonne gamme d'énergie et qui est censée etre détectable facilement (probabilité pas trop faible d'etre émise lors d'un processus de collision entre deux particules) alors le problème vient non pas l'expérience, ni de l'existence de la particule mais du modèle théorique lui-même ce qui est bien plus profond.
Les physiciens ne vont des lors pas chercher à emettre des hypothèses nombreuses mais au contraire à changer et repenser leur modèle. Et ca se fait le plus souvent dans un langage mathématique et non philosophique bien évidemment
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