Bonjour,
tout est dans le titre, je ne trouve pas le texte original de 1935 (ou traduit) de Bohr en réponse à l'article EPR. On trouve une multitude de vulgarisation, sur le sujet, qui doivent m'empécher de filtrer sur google. Je sais qu'il existe un bouquin en anglais qui le relate, mais seul cet article m'intéresse vraiment.
Merci d'avance si vous l'avez de le partager ici.
Bonjour,
le voici en anglais :
Can Quantum-Mechanical Description of Physical Reality be Considered Complete? N. Bohr. Phys. Rev. 48, 696
Il en a écrit plein d'autres sur le sujet.
Merci !
Oui j'ai le livre " Niels Bohr : Physique atomique et connaissance humaine ", Broché: 656 pages
Editeur : Editions Gallimard (sortie 14 janvier 2016),
très complet avec toutes les références de son oeuvre, c'est là qu'était référencé cet article justement, mais dommage qu'il ne soit pas dedans.
Merci encore.
Bonjour,
En 1949, Bohr revenait sur toute la controverse avec Einstein :
https://www.marxists.org/reference/s...ks/dk/bohr.htm
Ecrivant notamment, au sujet de sa réponse de 1935 à l'article EPR :
Rereading these passages, I am deeply aware of the inefficiency of expression which must have made it very difficult to appreciate the trend of the argumentation aiming to bring out the essential ambiguity involved in a reference to physical attributes of objects when dealing with phenomena where no sharp distinction can be made between the behaviour of the objects themselves and their interaction with the measuring instruments. I hope, however, that the present account of the discussions with Einstein in the foregoing years, which contributed so greatly to make us familiar with the situation in quantum physics, may give a clearer impression of the necessity of a radical revision of basic principles for physical explanation in order to restore logical order in this field of experience.
Et l'article dit "du chat de Schrödinger" a lui aussi été écrit en 1935 à la suite de l'article EPR :
http://hermes.ffn.ub.es/luisnavarro/...r_1935_cat.pdf
La réalité, c'est ce qui reste quand on cesse de croire à la matrice logicielle.
