Bonjour.
Je ne vois pas d’exemple dans lequel des quantités imaginaires soient nécessaires pour décrire des propriétés physiques.
Quand on utilise des exponentielles complexes pour décrire un phénomène, les pertes peuvent être incorporés à d’autres paramètres (indice de réfraction, permittivité, etc.) comme une partie imaginaire. Cette partie donnera une exponentielle avec un exposant négatif réel, qui décrit les pertes.
Mais tout cela n’est qu’une astuce qui simplifie énormément les calculs et dont il serait masochiste de ne pas s’en servir. Mais ce n’est pas nécessaire. C’est seulement très utile.
Si on est masochiste en phase terminale, on peut se taper le calcul des montages électriques sans utiliser le formalisme des impédances.
Et les pertes apparaîtront comme des résistances avec des valeurs réelles.
Au revoir.
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