Le problème n'est pas le mot "photon", mais plutôt le mot "particule". On imagine le photon comme une balle de fusil pouvant passer par deux fentes. On s'en fait une représentation mentale corpusculaire.
Je préfère me dire que c'est un "petit morceau d'onde". Sans préciser davantage, pour me forcer à lui attribuer les propriétés prévues par la mécanique quantique, et non les propriétés d'une quelconque analogie classique.
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