Bonjour,
C'est une idée de Maxwell (je pense) d'évaluer la densité de l'énergie du vide à c², dans sa relation c² = 1 / (mu0 . epsilon0), pour mu "0" = perméabilité spatiale du vide et epsilon "0" = permittivité temporelle du vide.
Une petite erreur s'est glissée dans sa notation de la perméabilité (il l'a inscrite comme une im-perméabilité), car il faut inverser sa valeur pour obtenir c², la vitesse de la lumière au carré.
L'on voit grâce à sa formule magique, que je rappelle ici
Vitesse carrée de la lumière.png
que les rayonnements électromagnétiques se propagent dans un milieu extrêmement condensé à (300 000 000 m / sec)², ce qui donne le chiffre que j'ai donné dans le titre de cette conversation: 90 millions de milliards de pascals.
Il y a quelque chose de déroutant avec les rayons EM, c'est qu'à force de les observer, l'on se dit qu'ils ne peuvent tous "exister" de façon trop éloignée de ce "potentiel" où la masse n'a qu'une influence très secondaire; tout juste pourrait-on dire qu'elle est localement (discrètement ?) une dérivation de cette densité d'énergie.
Les rayons électromagnétiques, donc, sont tous situés en-dessous ou au-dessus de c² dans un fonctionnement (une résonance à gauche ou à droite, + ou -) déroutant. Si nous les comparons au trou dans l'eau que nous faisons avec la main en la retirant, les rayons devraient se retrouver à vibrer de chaque côté de la valeur (de la surface de l'eau) en faisant un trou, puis un mont, puis un trou, etc.
Or ce n'est pas le cas.
carres.png
Dans ce cas une conclusion et deux questions se posent. La conclusion, c'est que des rayons EM au-dessus de c² doivent "compenser" (annuler) les rayons se trouvant en-dessous. Et la question est : quelle est la force, ou le type de résonance, qui les fait exister de cette manière.. ?
De plus, quelle est la force ou l'emprunte qui "discrétise" la pression du vide en masses locales ?
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