Bonjour,
Nous avons déjà parlé de ce qui est arrivé au Queen Eliz. II, en nous portant sur le plan des pressions, et nous avons cité la fameuse constante de Bernoulli.
Nous pouvons bien essayer de dresser la liste des effets (problème inverse) qui sont répertoriés autour des pressions locales et vitesse d'un bateau en milieu aquatique.
Mais pourquoi ne pas tenter une approche en passant pas le débit ?
Ce serait la version "Archimède" de la sustentation d'un volume immergé, mais en mode dynamique..
Donc la question que je pose est plus ou moins la suivante: la quille d'un bateau en mouvement, cad la partie enfoncée dans l'eau, fait bouger une quantité d'eau, par seconde, identique à son débit de remplacement.. non ? Ces mètres-cubes d'eau par seconde fuient dans tous les sens pour laisser passer le bateau.
Donc, pouvez-vous me donner une approche pour faire le lien entre le volume du bateau et sa vitesse d'une part, et son débit de remplacement, d'autre part ? A partir de là, on pourrait, très spécifiquement reprendre le problème du surenfoncement du Queen Elizabeth 2, en parlant cette fois de débit inverse.
Merci d'avance
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