Bonjour,
Sûrement que la question que je vais poser a déjà été traitée maintes fois, émanant, comme ça, d'esprits comme le mien, sommaire, naif, voir niais, mais je n'ai pas trouvé de chemin pour arriver à la voir dans les archives, et donc les réponses liées.
Aussi, la voici, crue comme une carotte sortie fraîchement de terre :
Il est dit, (et interdit d'en émettre l'idée contraire, par la charte de ce forum), que le mouvement perpétuel ne peut être constaté.
Cependant, je constate que chaque seconde qui passe me fait vivre un environnement qui a évolué, changé, soumis à modification.
N'est-ce pas là la constatation d'un mouvement perpétuel, dans son acception non de renouvellement toujours identique, mais dans ce qui se présente comme une dynamique, une impulsion, pas forcement initiale (ce qui n'est pas définissable), mais plutôt constante, toujours renouvelée dans sa puissance.
La conservation de l'énergie (toute relative, et limitée au domaine où elle est constatée) n'explique pas le fondement de l'énergie, et par-là mëme l'inertie.
Si dans cette acception, on peut constater un mouvement perpétuel dynamisant l'univers visible ou extrapolé, et alors qu'aujourd'hui, et peut-être à jamais, on ne peut en détourner la moindre goutte à notre profit, au détriment du reste du monde, est-ce à dire irrévocablement que la chose ne peut avoir lieu?
Localement, il apparaît clairement que nous ne pouvons amplifier, ni même conserver mécaniquement, un phénomêne, pour cause de dissipations éparses, hors apport d'énergie connue.
Mais on peut aussi considérer que la mécanique de l'univers est également, et pourquoi pas, avant tout locale.
Est-il vraiment impossible d'ouvrir notre porte à l'appropriation partielle de la dynamique globale?
Merci. Cordialement.
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