Oui.
Mais alors on devrait être d'accord que l'approche de Lochardet ne s'applique pas, puisque les permittivité et perméabilité sont strictement électromagnétiques.
C'est une direction qui m'intéresse pas mal. Faut que je réfléchisse un peu plus sur la proposition elle-même, mais cela me paraît permettre d'éviter la restriction apparente à l'électromagnétisme.A coté, l'existence d'une vitesse limite peut se formaliser par des propositions comme "il existe des particules qui ne se rencontrent jamais quand elles vont dans la même direction, et qui ne peuvent rencontrer qu'une fois au plus les particules qui peuvent se rencontrer entre elles quand elles vont dans la même direction" : pas tout à fait sur que mon assertion improvisée soit juste, mais tu vois l'idée : faire un postulat sur des propriétés de rencontres entre particules, qui ne fasse pas explicitement appel à la valeur numérique d'une vitesse, mais qui puisse servir ensuite à la construction formelle d'un cadre d'espace-temps (synchronisation d'E-P utilisant ces particules ) , puis passer à la définition d'une vitesse dans ce cadre d'espace temps, pour laquelle elles auraient naturellement et par construction une vitesse constante.
Dans mes termes, on postulerait l'existence de particules "concrétisant" la vitesse limite, juste par certaines de leur propriétés.
(Il me semble qu'en QFT ce serait l'existence d'un champ bosonique de portée infinie, mais une approche purement "cinématique", comme ce que tu proposes, serait plus satisfaisante qu'en appeler à une théorie supplémentaire.)
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