Boujour à tous,
Bon alors je m'interrogeait pour savoir si c'était la vitesse ou l'accélération qui était suceptible de contracter le temps.
D'après le paradoxe des jumeaux (je ne vais pas le réexpliquer ici, il a déjà était présenté dans plein d'autres discutions), ce serait l'accélération qui serait responsable du "déphasage temporel" (si vous me permettez l'expression).
Cependant voici ce que j'appelle le paradoxe de doppler :
A est en mouvement rectiligne uniforme, à une vitesse quasi-luminique, par rapport à B.
A mesure la vitesse relative (à lui) de B au moyen de l'effet doppler : a priori, il mesure une longueur d'onde quasi-infinie (il va presque aussi vite que le front d'onde)
B mesure la vitesse relative (à lui) de A au moyen de l'effet doppler : a priori, il mesure une longeur d'onde finie (la longueur d'onde a été seulement augmentée de la distance parcourru par A entre deux "crêtes")
Je dit "a priori" car en fait A et B sont obligés de mesurer la même longueur d'onde (on considère qu'ils ont émit à la même fréquence, de leur point de vue)
Pour homogénéiser les résultats il faut supposer que A a subit une contraction de son temps par rapport à celui de B de sorte que la fréquence avec laquelle il émet deviennent quasi-nulle, et donc B mesure une longueur d'onde quasi-infinie.
(en fait c'est peut-être pas exactement comme ça mais c'est pour dire que l'un des deux doit avoir subit une contraction du temps par rapport à l'autre)
Donc d'après cette "anecdote" (irréelle), on peut penser que c'est la vitesse qui induit une contraction du temps.
Or du paradoxe des jumeaux, on peut penser que c'est l'accélération qui induit une contraction du temps.
Je n'y comprend plus rien, c'est la vitesse ou l'accélération qui contracte le temps ???
Aidez-moi avant que ma boîte d'aspirine soit vide !!
-----