Dans les expériences d’interférence de type fentes de Young, aucune vérification expérimentale directe ne semble avoir été menée pour établir que l’entité détectée sur une frange donnée correspond effectivement à la particule issue des fentes. Cette absence de validation in situ met en évidence une lacune méthodologique : l’analyse s’est largement appuyée sur le cadre théorique et l’interprétation globale du motif d’interférence, sans que l’expérimentation n’ait, semble‑t‑il, été conduite jusqu’à confirmer ce point précis par une mesure locale directe.
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