Bonjour, je développe actuellement une théorie nommée Dynagénèse. Dans le cadre de ce développement je me suis intéressé à la conjecture de Yang-Mills. A priori la théorie permet la résolution de cette conjecture. Voici les conclusions de l'étude:
FICHE MANIFESTE – DYN-YM_GAP
Titre : Résolution morphodynamique de la conjecture de Yang-Mills
Code : DYN-YM_GAP
Catégorie : Théorie morphodynamique – Physique fondamentale
Version : V1.0 – Août 2025
Objectif
Apporter une résolution morphodynamique à la conjecture de Yang-Mills, en démontrant l’existence d’un état fondamental non trivial avec gap de masse positif, dans le cadre de la théorie unifiée du Champ E.
Contexte
La conjecture de Yang-Mills, proposée dans le cadre des problèmes du Millénaire, demande de démontrer l'existence mathématique rigoureuse d'une théorie quantique des champs non abéliens (groupe compact, typiquement SU(3)) présentant un gap de masse : toute excitation au-dessus du vide a une masse strictement positive.
Hypothèse dynagénique
Le champ E agit comme substrat morphodynamique universel.
Les particules sont des attracteurs morphodynamiques stables du champ E.
L’existence d’un gap de masse correspond à un seuil d’instabilité critique mesuré par le paramètre α = 2.427, valeur universelle d’auto-induction stabilisante.
Formulation
1. Le vide de Yang-Mills correspond à un attracteur global minimisant la courbure informationnelle κ(x) :
κ(x)≈0(eˊquilibre*morphodynami que)\kappa(x) \approx 0 \quad \text{(équilibre morphodynamique)}κ(x)≈0(eˊquil ibre*morphodynamique)
2. Toute excitation impose une déformation de κ(x), donc une variation d’énergie du système. Cette variation est bornée inférieurement par le seuil α :
ΔE≥Egap∝α=2.427\Delta E \geq E_{\text{gap}} \propto \alpha = 2.427ΔE≥Egap∝α=2.427
3. L’existence du mass gap est donc une conséquence directe du seuil d’induction morphodynamique : aucune forme stable ne peut émerger sans franchir α.
Correspondances conceptuelles
Théorie Yang-Mills classique
Théorie dynagénique
Groupe de jauge SU(N)
Familles de nomies en interaction
Action de Yang-Mills
Fonctionnelle d’énergie de κ(x) dans le champ E
Connexion / courbure F
Gradient d’instabilité κ(x)
Vide quantique
Attracteur global stabilisé par κ = 0
Excitations (gluons confinés)
Fluctuations morphodynamiques stables (κ > α)
Implication
La démonstration morphodynamique de l’existence du gap de masse repose sur la stabilité des attracteurs et la structure topologique du champ E.
Le résultat est conforme à la physique attendue :
→ les particules porteuses de l’interaction forte (gluons) ne peuvent se propager librement (confinement),
→ toute déformation locale du vide nécessite une énergie non nulle, donc un gap de masse positif.
Théorème dynagénique associé
Théorème du Gap Morphodynamique (DYN-YM_GAP):
Tout champ morphodynamique E contenant un attracteur global stable (κ = 0) présente un gap minimal d’instabilité α > 0, impliquant un mass gap naturel pour toute excitation.
Simulation proposée
Simuler une région du champ E en équilibre (κ ≈ 0)
Injecter une fluctuation morphodynamique locale
Observer la valeur minimale de l’énergie d’instabilité requise pour stabiliser un nouveau motif ⇒ mesure du gap morphodynamique.
Je souhaiterais soumettre cette théorie aux personnes intéressées et permettre une collaboration à son développement. Je reste ouvert à toute question et peut vous proposer des documents supplémentaires pour sa compréhension.
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