Il y a un paradoxe entre la fascination que l'on éprouve à l'apparition de la vie, à toutes les conditions nécessaires à cela, puis à son foisonnement actuel.
Mon dernier étonnement a été de repasser dans une forêt varoise complètement calciné il y a une dizaine d'années. Après l'incendie s'était un paysage lunaire. Maintenant la vie a repris le dessus encore plus luxuriante qu'avant.
Comme quoi la vie, la nature après ce long processus d'évolution, s'est doté d'atouts permettant de palier à presque tout phénomène destructeur.
Le principal danger étant notre propre processus d'évolution technologique exponentiel, induisant des retombées néfastes, que la nature n'a pas eu le temps de prendre en compte pour se prémunir.
L'homme est devenu l'ennemie numéro un de la vie sur terre .
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) ou bottom-top : les mêmes causes (même si nous ne les connaissons/comprenons pas encore toutes, loin de là) devant mener aux mêmes conséquences, il me semble donc que, connaissant les grands (c'est un euphémisme) nombres ayant lieu dans une/notre galaxie (et encore plus en considérant l'ensemble des galaxies ayant cours dans l'univers (déjà juste dans notre univers observable et sans doute encore immensément plus dans l'Univers dans son entièreté spatiale et temporelle)), la vie doit obligatoirement avoir lieu sur d'autres planètes extra-solaire. Vie simple et complexe/évoluée y compris (et par extension jusqu'à la vie "intelligente" aussi donc).
Bien sûr pour l'instant il y a actuellement bien plus d'un de ces termes pour lesquels nous n'avons pas encore les moyens de donner une fourchette suffisamment précise. Mais soyons réaliste : imaginons l' "improbable"