Bonjour
Le fait de se réjouir de la mort des autres et de n'avoir aucune empathie, est-ce un symptome de la schizophrénie ou de la psychopathie ?
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Bonjour
Le fait de se réjouir de la mort des autres et de n'avoir aucune empathie, est-ce un symptome de la schizophrénie ou de la psychopathie ?
Cela pourrait apparaître dans les deux troubles.
Les personnes psychopathes ont une empathie très altérée et peuvent éprouver du plaisir à voir la souffrance d'autrui ou à la provoquer.
Quant aux personnes schizophrènes, elles peuvent souffrir de dissociation, et éprouver des sentiments inadaptés à la situation. Dans ce cas il y aura des réactions émotionnelles étranges et incongrues (exemple : rire lors d'un enterrement).
Oui merci, mais je faisais allusion à se réjouir de la mort des autres sans rire. C'est à dire se réjouir intérieurement de la mort ou du malheur d'autrui.
Oui, j'ai compris. Ca ne change rien à mon propos.
Bonjour vep,
Et lorsque la souffrance se retourne vers la personne psychopathe (par exemple par une sorte de self défense), l'impact n'est-il pas amplifié ?
Merci.
Bonjour
Ma réponse est basée sur « culture générale ».
La réponse est psychopathie.
Le schizophrène a un problème avec soi-même et le grand univers, les autres individus il ne les voit pas.
Le Psychopathe, son problème est avec les individus
C'est même plus compliqué. L'héboïdophrénie fait partie des formes de schizophrénie, mais ses symptômes sont très proches de la psychopathie (plus les distinctions avec sociopathie et personnalité antisociale).
N'a de convictions que celui qui n'a rien approfondi (Cioran)
Bonjour
Pardonnez ma rudesse : telle qu'elle est posée, votre question n'a pas de sens.
- D'abord parce qu'on ne peut confondre les catégories morales avec les catégories psychiatriques (sauf dans un régime coercitif)
- Ensuite, mais ce n'est que la conséquence du point précédent, parce qu'il existe mille et une raisons pour lesquels un individu peut se réjouir de la mort d'un autre, quelle que soit sa structure mentale.
Il serait extrêmement dommageable que l'on se permette un diagnostique sur la base d'un seul trait.
Se sont des gens sadique.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Sadisme
La mort de l'autre n'est pas la souffrance de l'autre, il y a une nuance importante. La question intègre une précision d'importance: "Le fait de se réjouir de la mort des autres et de n'avoir aucune empathie": le plaisir devrait induire pour être total, une absence tout aussi totale d'empathie. C'est peut-être là que la question se situe= l'absence d'empathie, sa(es) raison(s) et ses conséquences.Se sont des gens sadique.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Sadisme
BonjourLa mort de l'autre n'est pas la souffrance de l'autre, il y a une nuance importante. La question intègre une précision d'importance: "Le fait de se réjouir de la mort des autres et de n'avoir aucune empathie": le plaisir devrait induire pour être total, une absence tout aussi totale d'empathie. C'est peut-être là que la question se situe= l'absence d'empathie, sa(es) raison(s) et ses conséquences.
L'empathie n'est rien d'autre qu'une identification imaginaire : un sadique éprouve de l'empathie, faute de quoi la souffrance de l'autre ne présenterait aucun intérêt (le désir de faire souffrir l'autre implique une représentation subjective de cette souffrance).
Ce fait est confirmé par les IRMs pratiquée sur des individus classés parmi les psychopathes.
Ces derniers se distinguent du commun des mortels par une capacité à se détacher de leurs affects parce qu'il existe pour eux une "Loi" qui réclame cette capacité de dépassement (ils considèrent comme de la faiblesse le fait de se soumettre aux effets de l'empathie). Il faut encore ajouter que la souffrance de l'autre, rageusement voulue, s'intègre dans le cadre d'une "démonstration" (raison pour laquelle les sadiques désirent que leurs faits soient connus).
Par ailleurs, le commun des mortels peut très bien voir ses capacités d'empathie disparaître sous l'effet d'autres affects (la colère par exemple). Des tests montrent qu'un petit chat suscite plus d'empathie qu'un vieil homme à l'aspect rebutant (il est, à cet égard, idiot de vouloir fonder la morale sur l'empathie) Enfin, les "bouchons" qui se créent suite aux accidents de voiture montrent que le commun des mortels n'est pas étranger aux sentiments sadiques.
Salut,
Il ne faut pas oublier aussi qu'il peut y avoir de tels comportements associés à la sociopathie, qui n'est pas considérée comme un trouble mental (en Belgique, je ne sais pas en France ? Sauf associé évidemment à des troubles mentaux réels comme les psychopathes). Et d'une manière générale à des déviances morales, sociales et non pathologiques (les remarques de karlp vont bien dans ce sens).
Grossièrement un sociopathe éprouve peu ou pas d'empathie pour ses semblables et donc peu se réjouir de la mort d'autrui si cela sert ses intérêts. Et c'est une forme de déviance morale et sociale qui n'est pas nécessairement associé à un problème psychiatrique. On peut même avoir des cas où on se réjouit de la mort de quelqu'un avec qui on n'a pas d'attachement proche et "qui le mérite" au moins dans un sens que l'individu considère comme tel (mort d'un dictateur monstrueux du style Staline par exemple). Et là, tout le monde ne va pas avoir ce genre de réaction, mais il serait difficile de qualifier ça de déviance sociale !!!! De même que dans pays pratiquant la peine de mort, une personne en osmose avec l'orientation socio-judiciaire de son pays, pourra dire "justice est faite" avec satisfaction sans pour cela être un sociopathe ou un psychopathe ni même en ayant une moralité douteuse !
Il y a donc tout un spectre très complexe. Mais maintenant si une personne se réjouit de la mort de tout individu..... il faut très certainement se tourner vers des explications médicales telles que décrite plus haut. En tout cas ce n'est pas simple et dans le cas où ce comportement induit des soucis sociaux, familiaux, professionnels (*), .... seul un spécialiste est à même de se prononcer et seulement après une étude médicale approfondie.
(*) sauf peut-être chez les taxidermistes
Dernière modification par Deedee81 ; 06/02/2020 à 08h58.
"Il ne suffit pas d'être persécuté pour être Galilée, encore faut-il avoir raison." (Gould)
Bonjour
Même ce point peut être discuté: il existe des civilisations pour lesquelles la mort est une délivrance ou une renaissance célébrée dans la joie.
Je crois que c'était le cas chez les Navajos (à vérifier).
Sainte Catherine de Sienne souhaitait avec chaleur la mort des personnes qui lui étaient les plus chères.
Tout ne dépend pas de l'état "psychiatrique" de la personne, mais aussi de sa culture ou de ses représentations/ de sa mythologie personnelle.
Donc l'absence totale d'empathie est une déficience neurologique lorsqu'elle est systématique quelque soit le contexte et peut s'expliquer pour de multiples raisons (culturelles, émotionnelles..) dans un contexte donné?
Salut,
Evitons les raccourcis surtout lorsqu'on n'est pas psychologue ou neurologue (je connais mieux l'intérieur des circuits intégrés que celui des cerveaux ). Je dirais que :
- Le diagnostic (et ce qui s'ensuit) ne peut être évalué que par un spécialiste en fonction du patient et du contexte
- Un comportement inhabituel récurent doit mettre la puce à l'oreille.... et pousser à demander conseil au dit spécialiste
"Il ne suffit pas d'être persécuté pour être Galilée, encore faut-il avoir raison." (Gould)
Comme je vous le disais plus haut, l'absence de manifestation de sentiments d'empathie n'est pas corrélée à une déficience neurologique : les observations (IRM) ont montré que les psychopathes pouvaient éprouver de l'empathie mais disposaient du moyen de s'en affranchir Il ne s'agit pas d'une "carence" mais d'une capacité dont le commun des mortels est dépourvu ; les psychopathes peuvent contrôler ce que le commun est condamné à subir (ce qui aurait pu conduire à une déclassification du champ de la pathologie. Mais la normativité qui gouverne les classifications fait obstacle).
Voici un article qui à la fois exprime ce que je vous dit, bien qu'il soit encore traversé dans son énonciation par cette normativité (morale). Il évoque également les conditions dans lesquelles le commun perd cette sensibilité empathique.
https://www.cerveauetpsycho.fr/sd/ps...thie-13054.php
Bonjour, intéressant l'article. C'est divertissant au début et plus qu'effrayant à la fin...
Par contre quand tu dis "les observations (IRM) ont montré que les psychopathes pouvaient éprouver de l'empathie mais disposaient du moyen de s'en affranchir", l'article dit plus exactement que les psychopathes testés en IRM ne présentaient aucune empathie émotionnelle "par défaut" au visionnage d'une personne qui souffre physiquement, et qu'il fallait une influence externe pour parvenir à déclencher quelque peu cette empathie (les convaincre d'essayer de se mettre à la place de la personne).
cdlt,
GBo
Dernière modification par GBo ; 07/02/2020 à 11h12.
Vous avez raison, mais cela ne change rien au fond de mon propos : ils ne sont pas dénués de la capacité d'empathie, mais sont "spontanément" immunisés contre ses effets -lesquels, il faudrait y insister, n'ont rien à voir avec la morale : venir au secours d'un individu parce que l'on s' identifie à lui est profondément différent de lui venir en aide parce que notre moralité nous y enjoint, quoique nous puissions ressentir en le voyant.Bonjour, intéressant l'article. C'est divertissant au début et plus qu'effrayant à la fin...
Par contre quand tu dis "les observations (IRM) ont montré que les psychopathes pouvaient éprouver de l'empathie mais disposaient du moyen de s'en affranchir", l'article dit plus exactement que les psychopathes testés en IRM ne présentaient aucune empathie émotionnelle "par défaut" au visionnage d'une personne qui souffre physiquement, et qu'il fallait une influence externe pour parvenir à déclencher quelque peu cette empathie (les convaincre d'essayer de se mettre à la place de la personne).
cdlt,
GBo
Bonjour,
Merci pour ce lien sur cet article de qualité.
Suite à la lecture, j'ai l'impression qu'il existe un biais "empathique" à l'instar du biais cognitif:
L'empathie émotionnelle me semble être spontanée et naturelle (ressenti) et l'empathie cognitive être un post traitement par la raison (verbalisation) de la première. Pour qu'il y ai disjonction entre les deux il faut un biais cognitif ainsi celui du chirurgien est conscient et consiste à laisser de côté l'émotionnel temporairement pour donner à autrui un gain, celui du psychopathe est permanent (mode off par défaut) et utilisé dans un but destructeur pour autrui.
Le mode off permanent est-il un état induit par le vécu de la personne, une altération cérébrale ou un état alternatif naturel situé à l'extrémité d'une répartition gaussienne dans la population (l'inverse absence d'empathie cognitive pouvant être envisagé aussi)?
En conséquence sociale, la part de personnes à prédominance pathologique d'empathie cognitive, est-elle susceptible de se concentrer dans certaines strates de la société et finir par induire des guerres?
bjr cher Karlp,
A titre d'exemple de distinction des deux.Vous avez raison, mais cela ne change rien au fond de mon propos : ils ne sont pas dénués de la capacité d'empathie, mais sont "spontanément" immunisés contre ses effets -lesquels, il faudrait y insister, n'ont rien à voir avec la morale : venir au secours d'un individu parce que l'on s' identifie à lui est profondément différent de lui venir en aide parce que notre moralité nous y enjoint, quoique nous puissions ressentir en le voyant.
Au japon, aider qcq qui est tombé à se relever peut être perçu comme une humiliation, et donc il est fréquent que les personnes s'en abstiennent.
Ce qui n'empêche nullement le sentiment d'empathie à son encontre.
Pour parler en connaissance de cause, pour se qui est de la schizophrénie, il y a autant de maladies que de malades, les profils sont tous très différents, il y a je crois qu'au japon qu'il y a une classifications très précise des cas.
De plus les schizophrènes ne sont pas plus enclin a la violence que certains bipolaires (qui retourne d'ailleurs le plus souvent la violence contre eux) ou bien autistes. j'en ai croisé des pas mal.
c'est une maladie qui a mauvaise réputation notament dans les médias….ect , qui ne se guérit pas mais qui se soigne.
Voila ca c'était pour la parenthèse. ou le HS comme bon vous semble.
pas si HS que ça.
c'était important à rappeler.
Cdt
ps: j'ignorai pour le Japon, mais c'est un autre sujet ( aussi intéressant soit-il ).
Concernant l'empathie, il y a aussi le cas de la Finlande, j'ai vu un reportage sur l'éducation dans ce pays qui est très orienté vers l'attitude bienveillante, j'ai l'impression qu'il s'agit plus de psychologie sociale, il faut peut-être séparé ce fil?
bonjour,
Il faudrait peut-être aussi s’inquiéter de la santé mentale de certains religieux, de savoir si ces gens-là sont toujours tous très bien comment dire … équilibrés psychiquement ?
Même ce point peut être discuté: il existe des civilisations pour lesquelles la mort est une délivrance ou une renaissance célébrée dans la joie.Mais maintenant si une personne se réjouit de la mort de tout individu..... il faut très certainement se tourner vers des explications médicales telles que décrite plus haut.
Je crois que c'était le cas chez les Navajos (à vérifier).
Sainte Catherine de Sienne souhaitait avec chaleur la mort des personnes qui lui étaient les plus chères.
Tout ne dépend pas de l'état "psychiatrique" de la personne, mais aussi de sa culture ou de ses représentations/ de sa mythologie personnelle.
Perso pour avoir côtoyé des religieux pendant une durée de temps significative, je peux dire que je pense qu’en réalité beaucoup de ces gens-là ont des problèmes psychiatriques et devraient consulter.
Et mieux vaudrait, je pense et d’un point de vue simplement éthique ou « moral », éviter de qualifier de « saints » ou de « saintes » des personnes et d’autres qui n’ont jamais de leur vivant, demandé à être instrumentalisés de la sorte, qualifiés de la sorte.
Pour souhaiter la mort de quelqu’un il faut surtout lui en vouloir. Vouloir qu’il dégage pour des raisons et d’autres. Raisons qui a priori et sauf endoctrinement idéologique forcené en amont, n’ont a priori rien à voir avec ce qu’il peut arriver (ou pas) après la mort, vu que personne n’est encore revenu du séjour des morts pour décrire ce qu’il s’y passe.
Et donc il faut toujours s’inquiéter de la structure mentale des personnes qui souhaitent la mort d’autres personnes ou se réjouissent à l’avance de leur propre mort ou de celle des autres, en raison de la mort elle-même dont nul ne sait rien hormis qu’elle doit se produire.
Rien à voir avec le sadisme, c’est juste par curiosité et l’être humain est curieux par nature, cela ne dit pas qu’il est sadique par nature !les "bouchons" qui se créent suite aux accidents de voiture montrent que le commun des mortels n'est pas étranger aux sentiments sadiques.
Dans les deux cas les protagonistes sont enfermés en eux-mêmes, ne voient dans l’autre qu’eux-mêmes ou un semblant d’eux-mêmes via l’endoctrinement psychique ou psychiatrique car en amont ce sont des personnes (privées ou morales) fragiles ou entièrement artificielles, factices, fabriquées, confectionnées par des choses et d’autres.Le schizophrène a un problème avec soi-même et le grand univers, les autres individus il ne les voit pas.
Le Psychopathe, son problème est avec les individus
Par exemple les médias en général peuvent être qualifiés de psychopathes car ils sont aveuglés par des choses et d’autres genre par la nécessité de faire « du chiffre », et donc de l’audimat et donc cette course à l’échalote au chiffre ou à l’audimat font qu’ils peuvent ne voir plus que cela et donc « eux-mêmes » en quelque sorte.
Pour un athée et pour une personne normale, les descriptions faites par des « saint(e)s » (catholiques ou autres) d’états de vie post-mortem, s'apparentent à du franc délire
Pardonnez ma rudesse : telle qu'elle est posée, votre question n'a pas de sens.Le fait de se réjouir de la mort des autres et de n'avoir aucune empathie, est-ce un symptome de la schizophrénie ou de la psychopathie ?
- D'abord parce qu'on ne peut confondre les catégories morales avec les catégories psychiatriques (sauf dans un régime coercitif)
- Ensuite, mais ce n'est que la conséquence du point précédent, parce qu'il existe mille et une raisons pour lesquels un individu peut se réjouir de la mort d'un autre, quelle que soit sa structure mentale.
Ecrits qui parfois décrivent ou prétendent décrire « l’enfer » ou « le paradis », donc des hypothétiques états de vie post-mortem que nul vivant ici-bas et pour des raisons évidentes, n’a encore pu endurer ou vivre :
« L'entrée me parut semblable à une ruelle très longue et très étroite, ou encore à un four extrêmement bas, obscur et resserré. Le fond était comme une eau fangeuse, très sales, infecte et remplie de reptiles venimeux. A l'extrémité se trouvait une cavité creusée ... » (Thérèse d’Avila)
https://books.google.fr/books?id=tNb...0comme&f=false
… perso j’ai beaucoup d'estime pour les saints et pour les saintes mais bon quand même là, je me dis que des choses et d’autres transparaissent dans ce genre d’écrits qui décrivent ou pensent décrire des états de vie qui pourraient se produire après la mort et donc là direct je dis, que des dysfonctionnements psychanalytiques ou psychiatriques inhérents aux auteurs (encore en vie ou morts maintenant telle Thérèse d’Avila bien entendu) transparaissent dans ces écrits
@aygline:
tu n'as pas l'impression d'être HS et même hors charte en te focalisant sur le "religieux".
par ailleurs,
ce type de propos me semble particulièrement déplacé ( pour ne pas dire plus )… perso j’ai beaucoup d'estime pour les saints et pour les saintes mais bon quand même là, je me dis que des choses et d’autres transparaissent dans ce genre d’écrits qui décrivent ou pensent décrire des états de vie qui pourraient se produire après la mort et donc là direct je dis, que des dysfonctionnements psychanalytiques ou psychiatriques inhérents aux auteurs (encore en vie ou morts maintenant telle Thérèse d’Avila bien entendu) transparaissent dans ces écrits
On arrête le HS religieux.
Merci !
Et les pseudos diagnostics à distance également !
Dire que cette question, telle que posée, « n’a pas de sens », est-ce bien raisonnable ?Le fait de se réjouir de la mort des autres et de n'avoir aucune empathie, est-ce un symptome de la schizophrénie ou de la psychopathie ?
Tout ne dépend pas de l'état "psychiatrique" de la personne, mais aussi de sa culture ou de ses représentations/ de sa mythologie personnelle.
Si j’achète une maison « en viager » je me réjouis à l’avance de la mort de la personne âgée qui occupe la maison ou alors quand elle sera morte je me réjouirai qu’elle soit morte parce qu’ainsi je pourrai récupérer la maison ? Donc je ne me réjouis pas de cette mort en tant que telle mais en tant qu’elle va me procurer quelqu’intérêts.
Mais euh même là pour raisonner ainsi, il faut être dans un état psychique ou psychiatrique comment dire euh … pas très normal je pense !
Et se réjouir de la mort de quelqu’un ou de sa propre mort à venir, pour des raisons de croyances personnelles ou collectives, cela n’est jamais non plus le signe d’une santé morale ou psychique comment dire euh … très normale
Le soucis est que la question initiale est posée comme générale alors que 36ans se présente lui-même comme schizophrène "simple" ( j'ignore ce que cela signifie précisément )
https://forums.futura-sciences.com/p...ignifie-t.html.
Ce fil serait donc une interrogation fondée sur un ressenti personnel.
Dans cet esprit, comme toute question sur d'éventuelles pathologies, ce n'est pas aux intervenants d'établir des "diagnostics" personnalisés.