Je sais bien ce que tu chercheEnvoyé par shokin
Alors quel aspect t'intéresse pour poser dans cette section la question ?
Shokin… Seulement, je ne vais pas tomber dans le piège
( et entre nous, là, le diction est bien connu
!!!)
C’est un topic, bien réussi … et on doit pas comme même le gâcher par ce genres de …
Que la faite continue
Tout est en constant changement, et pourtant on donne des définitions - relativement "fixes" - à tout.
Mmm... on dévie vers l'épistémologie, non ?
Shokin
Dernière modification par shokin ; 24/11/2006 à 21h13.
Pardon, humilité, humour, hasard, tolérance, partage, curiosité et diversité => liberté et sérénité.
en changement oui, mais beaaauuucoup plus lent que celui des humains.
J'ai supprimé les chamailleries sans intérêt à l'objet de la discussion
Merci Clémentine, c'est gentille de ta part ...
Bonsoir,
La perte de la faculté de raisonné:"de la raison", n'est pas nécessairement justement une incapacité à raisonner. Mais plutôt une façon de raisonner partant d'une perception erronée de la situation et de ses conséquences possible.
Dans les névroses, par exemple, Il n'y a pas de perte de contact avec la réalité. Il y a souvent une cause identifiable dans la situation de vie de la personne qui se sent soudain dépasser par les événements. Je donne l'exemple de la dépression face à un deuil, alors que le parent vient de perdre son enfant et qui n'arrive pas s’y résoudre.
Dans les psychoses, il y a perte plus ou moins partielle avec la réalité. Le raisonnement peut être affecter avec des variantes de sévérité et donner lieu à des comportements et des propos décousues, sans liens identifiables entre eux ou n'ayant aucun rapport avec la réalité. Si je reviens à mon exemple, une personne qui est sur qu'un proche est mort alors que tous le monde sait que c'est faux. Ou encore une personne qui, étant sûr qu'il est le pape, vous condamne à être changé en statue de sel parce que vous lui avez refusé une permission.
Depuis trente ans que je travaille en milieu psychiatrique et aussi en milieu naturel dans la communauté. J'ai appris à détester le mot fou, parce qu'il est une terminologie qui est devenu avec le temps une façon de se foutre (justement) des différences entre les individus qui souffrent des troubles mentaux.
Bonne nuit.
lecture enrichissante et bienvenue. "perdre la raison", c'est délirer ?Bonsoir,
La perte de la faculté de raisonné:"de la raison", n'est pas nécessairement justement une incapacité à raisonner. Mais plutôt une façon de raisonner partant d'une perception erronée de la situation et de ses conséquences possible.
Dans les névroses, par exemple, Il n'y a pas de perte de contact avec la réalité. Il y a souvent une cause identifiable dans la situation de vie de la personne qui se sent soudain dépasser par les événements. Je donne l'exemple de la dépression face à un deuil, alors que le parent vient de perdre son enfant et qui n'arrive pas s’y résoudre.
Dans les psychoses, il y a perte plus ou moins partielle avec la réalité. Le raisonnement peut être affecter avec des variantes de sévérité et donner lieu à des comportements et des propos décousues, sans liens identifiables entre eux ou n'ayant aucun rapport avec la réalité. Si je reviens à mon exemple, une personne qui est sur qu'un proche est mort alors que tous le monde sait que c'est faux. Ou encore une personne qui, étant sûr qu'il est le pape, vous condamne à être changé en statue de sel parce que vous lui avez refusé une permission.
Depuis trente ans que je travaille en milieu psychiatrique et aussi en milieu naturel dans la communauté. J'ai appris à détester le mot fou, parce qu'il est une terminologie qui est devenu avec le temps une façon de se foutre (justement) des différences entre les individus qui souffrent des troubles mentaux.
Bonne nuit.
un patient impatient
Bonsoir…
En parlant de troubles !!! Quand est ce qu’on peut parler de troubles mentaux ??? Dans certains pathologies accompagnées de fièvre sévère, on peut noter aussi, la présence de troubles dans le comportement … de délires, d’hallucination … mais ces troubles peuvent disparaître si la ‘pathologie source’ est traiter … est ce qu’il s’agit là, de troubles mentaux momentané ? Peuvent-ils subsister et être sources de ‘vrais troubles mentaux’ si la pathologie et non ou mal traiter ???
En fait, y a pas mal de temps, j’avais une grippe, dans un moment ou mon système immunitaire n’était pas dans sont top (stresse, dû surtout à un manque de sommeille ...) ... y avais une nuit dans laquelle mon état c’est aggravée … et je sentais une telle pression sur ma petite cervelle… que je me suis dit … est ce que je risque de devenir " ... "
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Bonsoir,
En parlant de troubles !!! Quand est ce qu’on peut parler de troubles mentaux ??? Dans certains pathologies accompagnées de fièvre sévère, on peut noter aussi, la présence de troubles dans le comportement … de délires, d’hallucination … mais ces troubles peuvent disparaître si la ‘pathologie source’ est traiter … est ce qu’il s’agit là, de troubles mentaux momentané ? Peuvent-ils subsister et être sources de ‘vrais troubles mentaux’ si la pathologie et non ou mal traiter ???
En fait, y a pas mal de temps, j’avais une grippe, dans un moment ou mon système immunitaire n’était pas dans sont top (stresse, dû surtout à un manque de sommeille ...) ... y avais une nuit dans laquelle mon état c’est aggravée … et je sentais une telle pression sur ma petite cervelle… que je me suis dit … est ce que je risque de devenir " ... "
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Lorsque le corps est malade, le cerveau l'est aussi par implication, car le cerveau est parti du corps. Une fièvre causer par une augmentation de température corporelle peut perturber le fonctionnement du cerveau et conduire à des pensées plus ou moins délirantes. On parle alors d'un symptôme de causalité physique. Pas de maladie mentale.
A la prochaine.
