Sur
http://lecerveau.mcgill.ca/flash/i/i...iazepines.html
nous pouvons trouver le lien :
Une drogue légale aux effets ravageurs
Les pires ravages attribués à la drogue ne passent pas l'action véreuse d'un dealer propriétaire d'un coin de rue, mais par celle d'un vénérable médecin lové dans son cabinet. Joan Gadsby dénonce l'épidémie de la pilule.
http://www.ledevoir.com/2002/09/25/9827.html
sachant que :
"Il est plus difficile de sevrer des gens des benzodiazépines que de l'héroïne. Il semble juste que la dépendance est très ancré et les symptômes sevrage sont si intolérables que les gens ont beaucoup de problèmes à s'en défaire. L'autre aspect est que avec de l'héroïne, généralement, le sevrage est terminé sous une semaine ou deux. Avec les benzodiazépines, une proportion de patients ont des symptômes à long terme, ceux-ci sont très difficilement supportable mois après mois, et je reçois des lettres de gens disant que cela peut dure pour deux ans ou plus. Certains de ces groupes de victimes des trfanquillisants peuvent documenté sur des personnes qui ont encore des symptômes de sevrage dix ans après l'arrêt. "
– Professeur Malcolm H Lader , Royal Maudesley Hospital, BBC Radio 4, Face The Facts , March 16, 1999.
http://64.233.179.104/translate_c?hl...l%3Dfr%26lr%3D
Avec plus de 5 millions de personnes dépendantes aux benzodiazépines, devons nous pensez que cette situation relève d'une catastrophe sanitaire majeure en France ?
Cette discussion ne doit pas amener à un arrêt brutal du traitement médicamenteux. Elle doit favoriser le dialogue avec le médecin traitant sur l'intérêt de prendre le médicament et les alternatives possibles. L'arrêt brutal d'un traitement sans avoir consulté son médecin peut provoquer de sérieux problèmes liés au sevrage.
Clémentine, pour la modération
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