salut a tous ,
je voulais savoir si le fait d'avoir un irm normal signifie que le cerveau n'est pas endommagé et n'a pas de lesions ?
merci a tous
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salut a tous ,
je voulais savoir si le fait d'avoir un irm normal signifie que le cerveau n'est pas endommagé et n'a pas de lesions ?
merci a tous
Bonjour.
La réponse à votre question est oui, en partant du principe que par "endommagé" vous parliez de lésions anatomiques ( hématome, tumeur, anomalies constitutionnelles comme l'absence ou la malformation d'une structure...)
voila ce qu'ils m'ont dit :
des structures medianes en place
un systeme ventriculaire dont les dimensions et la morphologie sont dans les limites de la normale
une bonne visibilité des sillons corticaux
absence d'anomalie de signal des differentes structures intra cerebrales explorées
(l'exploration comporte les sequences sagittale t1 et axiale t2 axiale FLAIR)
voila parce qu'en fait je me faisait du souci parce que pendant une courte periode j'ai a quelques reprises inhaller du depoussierant informatique et plus tard j'ai appris que ce genre de pratique pouvais detruire tissus cerebrale et neuronne et entrainer une atrophie cerebrale.
Donc a priori j'ai rien ??
merci de ta reponse
"limites de la normale" signifie "normal".
D'un point de vue théorique, il est possible d'avoir un problème neurologique qui ne soit pas visible en IRM. Inversement, un IRM peut montrer des problèmes qui n'ont aucune conséquence apparente.
+1.Inversement, un IRM peut montrer des problèmes qui n'ont aucune conséquence apparente.
Mais de toutes les façons, toutes ces questions sont à poser au radiologue qui a interprété les images, et au médecin qui a prescrit l'examen.
+1024
En apparté, c'est quand même incroyable le nombre de fois qu'on voit des questions qu'un thérapeute aurait du clarifier (et est le seul à pouvoir mettre en contexte dans le cas spécifique de la personne qui pose la question). Je me demande si ce ne serait pas lié à des mauvais choix sur la façon de communiquer.
Oh que si...Je me demande si ce ne serait pas lié à des mauvais choix sur la façon de communiquer.
Mais la communication est très gourmande en temps, d'une part, et d'autre part il faut souvent aller chercher les questions, je parle des vraies questions.
Autant les questions sur un point de détail sont posées facilement, autant celles qui sont réellement importantes pour les patients ont plus de mal à sortir...
A vrai dire, je doute que ce soit ça le problème. En général les vrai questions sont très prévisibles: Est-ce normal? Vais-je mourir? Est-ce que je vais rester comme ça toute ma vie? Est-ce que je vais pouvoir avoir une vie?
Vois-tu un exemple de vrai question qui puisse constituer une surprise?
Eh bien au risque de te surprendre, la question "vais-je mourir" ( ou son équivalent plus atténué) je ne l'ai pratiquement jamais entendue poser, et en tout cas pas par des malades gravement atteints...mais ça doit dépendre du mode de pratique, il faudrait demander à un confrère ayant une autre pratique ( Myoper, coucou...)
Ce n'est pas à ce genre de questions que je pensais en écrivant ça, ( j'aurais pourtant dû...) mais à un cas de figure que je rencontre personnellement souvent ( du fait de ma pratique) qui est la question de la culpabilité devant une fausse couche spontanée...sous-entendue, jamais posé ( ou exceptionnellement ) directement. Ceci dit, elle n'est pas une surprise.
On est en plein dans un hors-sujet, là!